L'Euro...

Myself

Ange
01 Déc 2009
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Shanghai
La zone euro reste plus que jamais sous la menace de la crise de la dette, avec de nouvelles turbulences financières autour du Portugal et de grandes difficultés pour boucler avec les banques un deuxième plan d'aide indispensable en faveur de la Grèce.
Le répit n'aura été que de courte durée.
Au bord du précipice il y a moins d'une semaine encore, l'Union monétaire a pu souffler lorsque le Parlement grec a voté un plan d'austérité contesté, dont les bailleurs de fonds ont fait une condition pour maintenir ouvert le robinet de l'aide financière.
Las, il n'aura pas fallu 24 heures pour comprendre que le deuxième plan d'aide à moyen terme promis à Athènes, allant au-delà de prêts d'urgence pour lui permettre de passer l'été, serait plus plus long et compliqué à mettre sur pied qu'escompté.
Il doit atteindre un montant un peu supérieur à 100 milliards d'euros, comme le premier lancé il y a seulement un an, pour couvrir les besoins du pays jusqu'à au moins mi-2014.
Problème: les Européens, sous la pression de l'Allemagne, ont entrepris de faire contribuer cette fois les créanciers privés de la Grèce, banques et autres fonds d'investissement ou de pension. Mais l'exercice est délicat car il risque de pousser les agences de notation à déclarer a Grèce en état de faillite.
Cette semaine, l'agence de notation Standard and Poor's a rejeté en l'état le plan envisagé par les Européens, sur la base d'idées françaises, estimant qu'il conduirait "probablement à un défaut de paiement", ce que l'Europe veut éviter à tout prix pour éviter la contagion.
La zone euro doit donc remettre son ouvrage sur le métier et la finalisation du plan est désormais repoussée à la rentrée de septembre.
"Dans les semaines qui viennent nous allons commencer à discuter du prochain plan de soutien à la Grèce (...) On doit être prêts pour septembre", a déclaré mercredi le ministre français des Finances, François Baroin.
Le retard ainsi pris risque-t-il d'indisposer le Fonds monétaire international?
L'institution de Christine Lagarde conditionne en effet en principe le déblocage de sa part de 3,3 milliards d'euros dans la prochaine tranche de prêts à la Grèce à l'assurance européenne - toujours non concrétisée - que les besoins de financement de la Grèce seront couverts pour l'année à venir.
Pour ne rien arranger, après la Grèce, c'est le Portugal qui à nouveau se retrouve sous la pression des marchés.

L'agence de notation Moody's a relégué mardi le Portugal dans la catégorie des investissements "spéculatifs", en abaissant de quatre crans sa note à long terme, car elle estime que le pays pourrait avoir besoin d'un deuxième plan d'aide. Alors que le premier, de 78 milliards d'euros, vient tout juste d'être décidé.
"Ce n'est pas le regard d'une agence de notation qui va régler l'affaire de la dette souveraine", a rétorqué mercredi M. Baroin, tandis que le ministre grec des Affaires étrangères Stavros Lambrinidis a dénoncé la "folie" des agences de notation.
Mais l'inquiétude à Lisbonne est palpable.
La zone euro risque donc de rester durablement en état d'urgence. "La crise mondiale et en particulier la crise de la dette ont jeté le doute sur les fondamentaux de l'intégration européenne. L'impensable est devenu envisageable: la sortie d'un pays de la zone euro, la fin de l'euro et même la désintégration de l'UE ne sont plus tabous", estime le think-tank bruxellois Europolicy Center dans une récente étude.
Pour les dirigeants européens, il faut tenir bon. "Nous n'avons pas le choix. Si la zone euro disparaissait, l'UE elle-même serait en danger et nous ne pouvons nous permettre une telle situation", prévenait fin juin le chef de la diplomatie française, Alain Juppé.
AFP le 06/07/2011 à 10:44
 
la solution est politique !
mais personne n'a le courage politique de faire ce qui doit être fait : déposséder les états de leur prérogatives et créer enfin un vrai Etat européen.
c'est ça que les marches attendent !
mais quand on voit la machine a gaz qu'est l'UE actuellement + retour des nationalismes, oui il va falloir du temps pour trouver une 3eme voie !
 
prévisions :

plusieurs pays vont etre ejectés de la zone euro

ou bien l'allemagne va en sortir (ce qui revient au meme)

un etat européen, ça n'existera jamais....
 
C'est sur qu'il faut un etat europeen. Mais avec les 27 ou je ne sais plus combient de pays qui ont rejoint la zone, c'est maintenant mission impossible...
 
C'est principalement l'Allemagne qui en grande partie tient l'Euro (avec la France dans une moindre mesure). L'Allemagne s'est completement reconstruite apres guerre, a paye le cout de la reunification, je ne pense qu'elle soit prete a payer indefiniment pour les pays qui ne jouent pas le jeu.
Le Portugal a vu sa note rabaisse. Elle aura les memes problemes que la Grece.
 
Lu sur libération
Message de la part du Ministre des Finances Evangelos Venizelos : * Nous sommes membres de l'Union européenne et membre de la zone euro. C'est définitif*.

C'est sur que la Grèce et le Portugal sont des boulets pour l'Europe. Les agences de notifications ont dévalués le Portugal et pour la Grèce ça va être la même chose...

Comme tu dis Myself, L'Allemagne a cravaché après la guerre, et on voit aujourd'hui la puissance économique qu'elle véhicule...

L'Europe est censé être soudé entre pays de l'union européenne mais il y en a qui ont marre de toujours aider(payer) et d'avoir rien en retour. Soit ils vont les virés de la zone euro (ils ne vont plus avoir L'Euro) soit ils vont devoir trouver des mesures draconiennes...
 
leur dettes c'est simple, c'est les citoyen européen qui payent pour rembourser la dette que le pays a emprunter aux banque, qui ont revendu a d'autre banques européenne cette dette sous forme de bon, alors voyant que la grece ne pouvais plus rembourser, ses banques se sont donc retourner vers ce qu'elle savais faire de mieux, les etats en esperant qu'elle puissent recuperer leurs mise....
en fait on se fait en..... de tout les coté, non seulement on payent nos banque sous forme de cotisation et autre prelevement, mais en plus on leur en redonne sous forme d'impot pour eviter qu'un pays se casse la gueulle, mais si la grece et d'autre on fais des emprunt toxique en toute legalité avec les moyen de cacher ses emprunt est ce a nous citoyen de payer??? pourquoi se ne serait pas aux banque de faire un effort cette fois ci... parceque nous on en fais des efforts mais c'est toujours a nous qu'on nous taxe.... le pire c'est les agence de notations elle vivent comment??? on peut se demander si elle ne contracte pas des contrat avant de donner des note histoire de vivre confortablement????
bref le monde est pourrie....
 
Perso je pense que l'Europe c'est étendue un peu trop vite et n'a pas été assez stricte en général avec tous les pays membres sur les regles budgétaires.
On se retrouve avec des regles qui sont censees etre appliques puis change au fur et a mesure quand on voit que les objectifs ne seront pas tenus.
Le fait qu'il n'y ait pas d’indépendance réelles des instances européennes (en theorie oui mais en pratique non) c'est un peu comme si a l'ecole on demandait aux eleves de faire le bareme eux-meme.
 
Les grecs sont nos frères. Il faut les aider.
En plus sur les billes c'est aussi écrit Euro en grec : εʊρω.
J'aime bien ça fait un peu comme l'elfique dans le seigneur des anneaux.
 
Ale lou Yah ! Ale lou Yahh!
Mes frères, tenez vous les mains, écartez les jambes, ça va passer tout seul !
Mon message était ironique, mais effectivement à part payer dans un premier temps, et corriger ce qui n'a pas été dans un second, je doute qu'on ait le choix.
 
Dernière édition:
Le texte en question dit bien qu'il n'est pas souhaitable de sortir. C'est un pis-aller, une mesure de dernière extrémité. Et la question des pays fragilisés se pose aujourd'hui, on ne peut pas l'ignorer sous prétexte qu'on a lu un texte.

J'aime assez le texte mais un paragraphe m'a semblé totalement surréaliste :

Commencera alors la période la plus difficile, qui devrait deux à trois mois. Les entreprises seront prises entre le blocage des prix et la hausse des produits qu’elles importent. Il conviendra de les aider par des crédits ou des abattements exceptionnels d’impôts tandis que l’on négociera les conditions de la sortie du blocage des prix.
J'ai une entreprise depuis 8 ans, et j'ai jamais vu une seule fois l'Etat faire de façon globale un "crédit" ou des "abattements exceptionnels d'impôts" de façon généralisée. Je crois que faut pas trop rêver, il y a des centaines de milliers d'Entreprises. Si la "période la plus difficile" (de l'après-sortie) n'est documenté que sur 3 lignes - pas très explicite du reste - sur plusieurs dizaines de pages, je crois que c'est révélateur du peu de crédit accordé par l'auteur lui-même à l'éventualité de la sortie en fanfares. Il dit de toutes façons à plusieurs reprises que pour lui le mieux est de faire pression sur l'Allemagne en menaçant (bluff calculé) de partir.
 
Dernière édition:
Le texte, parfaitement documente par ailleurs, comme c'est si souvent PEU le cas, montre plutot que le pire c'est de rester dans le systeme actuel.
Je prefere laisser le soin a ceux qui ne l'ont pas encore lu de le lire, car il n'est nul besoin de rajouter quelque chose, tellement tout est bien explique et accessible a tous.

Sinon puisque tu me parles de la situation des entreprises en France aujourd'hui, il y a cet article sympathique :
http://www.marianne2.fr/Scandaleux-...rives-du-CAC-40-n-est-que-de-33-_a208207.html
 
Dernière édition:
Aucun système complexe ne reste actuel. Voici quelques passages que tu peux relire s'ils t'ont échappés :

1. Sortir ou rester ?
Si rester dans la zone Euro en l’état est extrêmement coûteux pour la France, tant en termes économiques que sociaux, la question d’une possible évolution de la zone reste posée. Cette solution est en théorie la meilleure, car elle présente les avantages d’une sortie sans ses inconvénients.

Il convient donc de garder une souplesse dans la position française qui doit être à la fois suffisamment ferme et décidée pour être prise au sérieux par ses partenaires, mais qui doit laisser une porte ouverte à une négociation.

Il est évident qu’une sortie de l’Euro est un basculement dans l’incertain. C’est pourquoi cette sortie doit se préparer très sérieusement pour en réduire les incertitudes et les risques potentiels.

L'auteur est loin de prôner une sortie obstinée de l'Euro.
 
Dernière édition:
Je relance le sujet avec un edito provocateur mais ça donne a réfléchir :
http://www.boursorama.com/votreinvite/interview.phtml?num=10787176
[h=2]L'édito de la semaine : "Le jour où la zone euro explosera..." (Marc Touati)[/h]
[FONT=microsoft sans serif,verdana,helvetica]
[FONT=ms sans serif,verdana,arial] La fin de la zone euro fin 2012 ? C'est le scénario envisagé par Marc Touati, directeur des études économiques d’Assya Compagnie Financière. Un cauchemar prévisible à moins que... [/FONT]
Lien retiré
[FONT=ms sans serif,verdana,arial]
attachement_news.phtml
Paris, le 12 novembre 2012. Le sommet franco-allemand, présenté comme celui de la dernière chance, s’est soldé par un nouvel échec. La Chancelière allemande Angela Merkel vient de claquer la porte, refusant les propositions de la Présidente française Martine Aubry. Il faut dire qu’après avoir battu Marine Le Pen au second tour des élections présidentielles en obtenant seulement 58 % des voix, le nouveau Chef de l’Etat français a effectué un fort virage à gauche, pensant par là même apaiser le malaise social qui s’est imposé dans l’Hexagone depuis quinze mois.

Tout a effectivement commencé le 12 septembre 2011 avec la sortie de la Grèce de la zone euro. A l’époque, les Grecs étaient exagérément montrés du doigt par l’ensemble des dirigeants politiques et monétaires eurolandais qui refusaient coûte que coûte toute restructuration de la dette publique hellène. Face à cette obstination tenace et devant la grogne sociale qui commençait à se traduire par des émeutes de plus en plus violentes, le gouvernement Papandréou devait alors démissionner, laissant la place à un gouvernement élu sur un programme radical : « sortons de la zone euro ».

La mise en place de ce plan fut évidemment très douloureuse pour la Grèce et surtout pour ses créanciers. En remplaçant l’euro par la « nouvelle drachme », qui fut dévaluée de 50 % par rapport à son niveau d’entrée dans l’UEM, l’Etat grec décida également d’engager un moratoire sur sa dette publique. Après avoir tant refusé le moindre rééchelonnement de cette dernière, les grandes banques de la zone euro durent alors boire le calice jusqu’à la lie. Comme en 2008, au lendemain de la faillite de Lehman Brothers et de la panique financière qui s’en suivit, les Etats européens durent venir à la rescousse, mais, cette fois-ci, en demandant le soutien d’autres puissances et notamment de la Chine. Bien entendu, face à cette ingérence économique chinoise, les Etats-Unis ne restèrent pas de marbre et décidèrent d’engager des mesures de rétorsion en matières de barrières douanières et de transferts financiers vers et en provenance de la zone euro. D’économique, la crise devint alors politique.

Les dirigeants européens n’étaient cependant pas au bout de leur peine. Et pour cause : le 9 octobre 2011, face à une nouvelle vague d’augmentation des taux d’intérêt de leurs obligations d’Etat, le Portugal et l’Irlande décidèrent d’engager un programme de sortie de la zone euro. Leur incitation à engager une telle politique était d’autant plus forte qu’en dépit de taux d’intérêt obligataires toujours très élevés, les émeutes grecques s’étaient calmées. Mieux, la patrie d’Aristote commençait à sortir la tête de l’eau et à retrouver une certaine dose d’espoir, montrant par là même à ses anciens partenaires que la sortie de la zone euro n’était pas forcément le pire des maux, surtout lorsque la crise sociale était déjà présente.

L’Allemagne encaissait difficilement le coup, mais la contagion ne faisait que commencer. Mis de nouveau en minorité, le gouvernement Berlusconi devait même démissionner et ouvrir la porte à une vague europhobe sans précédent au sein de la Péninsule transalpine. Tous ces désordres donnèrent des ailes au Front National en France, dont la Présidente arriva seconde au premier tour des élections présidentielles, avec 23 % des voix, juste derrière Martine Aubry, avec 24 % et loin devant Nicolas Sarkozy (19 %), Jean-Louis Borloo (10 %) et Dominique de Villepin (7 %).

En dépit de ce cataclysme, Angela Merkel espérait néanmoins que son homologue français mènerait une politique « à l’allemande » de réduction des dépenses et de la dette publiques. Elle fut malheureusement déçue, dans la mesure où, face à la pression de la rue, Martine Aubry dût engager une politique budgétaire laxiste. Pour essayer de réduire la facture, elle décida d’augmenter massivement les impôts, notamment sur le patrimoine, ce qui n’a évidemment pas suffi à compenser l’augmentation des dépenses publiques. Et ce d’autant qu’en annonçant une telle hausse de la pression fiscale, un mouvement de fuite des investisseurs français à l’étranger s’est enclenché. Les agences de notation n’ont alors pas manqué de dégrader la note de la France de AAA à BBB, provoquant une très forte hausse des taux d’intérêt obligataires et replongeant l’Hexagone dans la récession.

En ce lendemain du 94ème anniversaire de l’armistice de la première guerre mondiale, un point de non-retour a donc été franchi, puisque l’Allemagne a décidé de créer une zone euro à cinq, avec, pour seuls partenaires, l’Autriche, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas. Quant à la France, si l’on commence seulement à chiffrer les coûts exorbitants du retour au franc, les tensions sociales se font de plus en plus fortes, en particulier depuis les émeutes du 11 septembre 2012 sur les Champs-Elysées qui se sont soldées par une vingtaine de morts et l’incendie de nombreux haut-lieux touristiques de la célèbre avenue, à commencer par le Fouquet’s et la boutique Louis Vuitton...

C’est alors que le réveil se met à sonner. Il est 6h50. Nous sommes le 11 juillet 2011. Ouf ! Tout cela n’était qu’un affreux cauchemar. Mais attention, la réalité dépasse parfois la fiction. Qui aurait cru par exemple il y a encore quatre ans que la note de la dette grecque serait CCC et que la viabilité de la zone euro serait remise en question ? Nous-mêmes, lorsque nous écrivions début 2009 que cette dernière était en danger existentiel, nous étions loin d’imaginer que ce risque se matérialiserait aussi vite.

Par conséquent, pour éviter que le pire devienne réalité, les dirigeants eurolandais doivent agir vite et bien. Ils doivent notamment accepter un rééchelonnement de la dette grecque avant qu’il ne soit trop tard. Il leur faudra également restaurer une croissance plus forte au sein de l’UEM, principalement grâce à un euro plus faible et à une politique budgétaire eurolandaise efficace. Enfin, ils devront aussi instaurer une zone monétaire optimale, en harmonisant les conditions fiscales et réglementaires, en établissant un marché du travail et en créant un budget fédéral conséquent. S’ils n’y parviennent pas, nous sommes au regret d’annoncer que l’explosion de la zone euro et le scénario catastrophe que nous venons de décrire nous apparaissent inévitables. Avouons que cela serait vraiment dommage...
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Tres bien ecrit de la part de Touati.
C'est au tour de l'Irlande dont la note vient d'etre abaissee de se re-retrouver dans la tourmente.

Je crois plus a des petites zones Euro qui correspondent a des economies similaires ainsi qu'a des mentalites proches, Allemagne, Autriche, Hollande, pays Nordiques peut faire sens. Linguistiquement parlant cela est proche egalement.

On pourrait faire aussi une zone Romane: France-Italie-Espagne, Portugal.

Ce qui permettrait a la Belgique de se separer, une allant vers la 1er zone l'autre vers la zone Romane.

Je crois qu on sous-estime les problemes identitaires en France. Trop de gens n'adherent pas ou plus au projet France et dans un systeme genereux tel le notre, cela ne peut marcher. Enfin cela fonctionne mais avec du deficit.

Enfin le scenario politique illustre la fracture qu'il y a en France: Aubry-Le Pen. Pas facile pour gouverner la France par la suite.
Dans les deux cas je vois la fin de l'Euro pour la France.
Pour Marine Le Pen, elle fera le necessaire pour que la France retrouve une souverainete monetaire.
Et pour Aubry, comme il est ecrit, elle fera une politique encore plus sociale et laxiste qui donnera le coup de grace aux finances francaises.
 
Reprenons les sols et les deniers, rétablissons l'ancien régime en France (j'aimerai le duché de Bretagne, si le futur Roi me lit), et les guerres de religion. Ça aura le mérite d'être amusant, à défaut d'être réaliste.

Wikipedia a dit:
En 1787, le pouvoir d'achat d'un sol était approximativement celui d'un euro de 2005
 
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