Dommages collatéraux sur le business avec la Chine ( cf liberation)
Dur de faire des affaires en Chine pendant les Jeux olympiques… Les autorités chinoises, obsédées par le contrôle des étrangers pendant la période critique, Jeux paralympiques de septembre compris, refusent depuis des semaines de renouveler les visas «business».
De nombreux hommes d’affaires ou employés sont contraints de retourner dans leur pays d’origine pour les formalités. Dans les villes olympiques, comme Shanghai ou Qingdao, l’attribution des visas est gelée jusqu’à la fin des festivités. Même problème à Pékin et Hongkong, où la Chambre de commerce européenne s’est récemment inquiétée de ces nouvelles réglementations qui pourraient poser «de sérieux problèmes pour les entreprises». Les changements, niés par les autorités, ont été imposés sans avertissement et dans l’opacité la plus totale, les administrations ayant elles-mêmes du mal à s’y retrouver.
A cela s’ajoute une nouvelle donne, effective depuis le printemps et officialisée depuis la mi-juillet : interdiction d’importer plus de 50 000 euros par an en devises étrangères. Au delà, l’argent est bloqué jusqu’à la fin décembre. Les entreprises à faible fonds de roulement et qui ont dépassé la limite risquent de fermer avant la fin de l’année, incapables de payer les salaires.
Les sociétés françaises, victimes des tensions diplomatiques franco-chinoises depuis les émeutes du Tibet et le passage de la flamme olympique à Paris, redoutent d’être doublement pénalisées. Selon le quotidien économique les Echos, les services administratifs pékinois auraient reçu l’ordre de geler tous les investissements tricolores pendant trois mois, en représailles aux déclarations des dirigeants hexagonaux sur le Tibet. Cette information n’a pas été confirmée hier par les milieux économiques et diplomatiques français en Chine.
Dur de faire des affaires en Chine pendant les Jeux olympiques… Les autorités chinoises, obsédées par le contrôle des étrangers pendant la période critique, Jeux paralympiques de septembre compris, refusent depuis des semaines de renouveler les visas «business».
De nombreux hommes d’affaires ou employés sont contraints de retourner dans leur pays d’origine pour les formalités. Dans les villes olympiques, comme Shanghai ou Qingdao, l’attribution des visas est gelée jusqu’à la fin des festivités. Même problème à Pékin et Hongkong, où la Chambre de commerce européenne s’est récemment inquiétée de ces nouvelles réglementations qui pourraient poser «de sérieux problèmes pour les entreprises». Les changements, niés par les autorités, ont été imposés sans avertissement et dans l’opacité la plus totale, les administrations ayant elles-mêmes du mal à s’y retrouver.
A cela s’ajoute une nouvelle donne, effective depuis le printemps et officialisée depuis la mi-juillet : interdiction d’importer plus de 50 000 euros par an en devises étrangères. Au delà, l’argent est bloqué jusqu’à la fin décembre. Les entreprises à faible fonds de roulement et qui ont dépassé la limite risquent de fermer avant la fin de l’année, incapables de payer les salaires.
Les sociétés françaises, victimes des tensions diplomatiques franco-chinoises depuis les émeutes du Tibet et le passage de la flamme olympique à Paris, redoutent d’être doublement pénalisées. Selon le quotidien économique les Echos, les services administratifs pékinois auraient reçu l’ordre de geler tous les investissements tricolores pendant trois mois, en représailles aux déclarations des dirigeants hexagonaux sur le Tibet. Cette information n’a pas été confirmée hier par les milieux économiques et diplomatiques français en Chine.