La rubrique de nos annees 60/70/80 - BD - Jouets - Disques - Vehicules - Actualites - Series TV ...

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Et l humour dans tout ca?

La censure sevissait et il etait parfois difficile de durer comme en temoigne le malheureux 1 et demi d existence du PETIT RAPPORTEUR de Jacques Martin et consorts. (Officiellement Martin devait realiser un film "fantome":) )

Jean Edern hallier en fut la victime :) (Il me manque parfois tout comme des grandes figures de cette epoque, par exemple Marchais)
Lien retiré

Qui dit petit rapporteur dit Pierre Desproges bien sur:
http://www.tudou.com/programs/view/zdJtHXJCu2w/

Thierry Le Luron

Coluche bien sur. Bon nombre de ses textes furent ecrits et joues dans les annees 70
Lien retiré
http://www.tudou.com/programs/view/a_wHlo_jieY/

Pour les plus anciens: Robert Lamoureux, Fernand Raynaud...

Sans oublier le maitre du canular telephonique (Enfin un des maitres) Francis Blanche et son compere Pierre Dac.

Pourt Chris: Raymond Devos

Quelques grands acteurs passes par la scene comme Bourvil

Des musiciens aussi comme Boby Lapointe

Des moins connus... Patrick Raynal par exemple et son sketche en tant que spectateur de match de rugby...

Et bien d autres encore qui nous ont apportes rire, reflexion ou bien etre...


Un post sur l humour ne serait pas complet sans un petit detour au Cirque et rendre hommage a Achille Zavatta que j ai eu la chance de connaitre
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Malabar
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En 1959, la marque lance les premières vignettes mais ce n’est qu'en 1969 qu’y apparaît le célèbre blondinet vêtu d’un maillot jaune et arborant sur le torse un « M » entouré d'un ovale rouge. Ses aventures se sont longtemps déclinées sur des vignettes contenues dans l’emballage, sous la forme de courtes bandes dessinées. De très nombreux dessinateurs se sont succédé pour la création des vignettes. En 1978, Monsieur Malabar apparaît pour la première fois dans un spot télévisé.

Depuis 1975, la marque Malabar est présente à la télévision dans des spots de publicités. En 2005, Pop'n'Gum, la chanson de Superbus, a été associé à la publicité télévisée pour les Malabar Bubbaloo, Julien Trousselier, réalisateur du clip, aurait aussi réalisé la plupart des passages de la publicité1.

En mars 2011, la mascotte « Monsieur Malabar » est remplacée par Mabulle, un chat noir arborant des lunettes ainsi qu’une cravate jaune brodée du « M » de Malabar. Ce choix est justifié par un repositionnement de la marque vis-à-vis d'un public plus jeune et moins adolescent, un proche du dossier déclarant : « Il n'y avait plus de lien entre M. Malabar et son public. Il avait peut-être pris un rôle trop autoritaire sur les enfants ». Cette décision est la conséquence de plusieurs études marketing, Mabulle étant déjà l’emblème d'autres sucreries de la marque dans le sud de l'Europe et en Turquie2. Ce changement est dénoncé par de nombreux internautes qui estiment que la marque perd sa mythique identité visuelle.

La marque française « Malabar », au sein du groupe Kréma-Hollywood, a successivement appartenu à General Foods, Kraft Foods, puis Cadbury3.

Depuis 2010, elle appartient de nouveau au groupe américain Kraft Foods, à la suite de son rachat de Cadbury. Il devient alors sponsor du club omnisports parisien de rugby du Stade français. Depuis 2012, à la suite de la scission du groupe Kraft Foods, Malabar appartient au nouveau groupe Mondelēz International.

Source
 

Astérix, d'abord Astérix le Gaulois, est une série de bande dessinée franco-belge, créée le 29 octobre 1959 par le scénariste René Goscinny et le dessinateur Albert Uderzo, dans le no 1 du journal Pilote. Après la mort de René Goscinny en 1977, Albert Uderzo poursuit seul la série, puis passe la main en 2013 à Jean-Yves Ferri et Didier Conrad.

La série met en scène en -50 (peu après la conquête romaine) un petit village gaulois d'Armorique qui poursuit seul la lutte contre l'envahisseur grâce à une potion magique préparée par le druide, cette boisson donnant une force surhumaine à quiconque en boit. Les personnages principaux sont le guerrier Astérix et le livreur de menhirs Obélix, chargés par le village de déjouer les plans des Romains ou d'aller soutenir quiconque sollicite de l'aide contre la République romaine.

Publiée dans Pilote de 1959 à 1973, la série est éditée parallèlement en album cartonné, pour les vingt-quatre premiers albums, d'abord aux éditions Dargaud, puis à partir de 1998 aux éditions Hachette, et enfin aux éditions Albert René pour les dix albums suivants. Les ventes cumulées des albums, traduits dans cent-sept langues, représentent 350 millions d'exemplaires, ce qui en fait la bande dessinée européenne la plus vendue dans le monde.

La série est avant tout humoristique et parodie principalement la société française contemporaine à travers ses stéréotypes et ses régionalismes, ainsi que des traditions et coutumes emblématiques de pays étrangers. Le comique de répétition est très présent avec notamment le naufrage des pirates. Le dessin est lui semi-réaliste, fortement inspiré de l'école de Marcinelle.
par les danois Stefan Fjeldmark et Jesper Møller et produit par les studios M6 Films à partir de l'album Astérix et les Normands. Le graphisme est résolument moderne et le film atteint le chiffre de 1 374 870 entréesc 10'3.

Un neuvième film d'animation voit le jour en 2014 : Alexandre Astier et Louis Clichy signent une adaptation en 3D de l'album Le Domaine des dieux65, produite en partie en Belgique66. Avec des graphismes entièrement réalisés en modélisation 3D, et un casting vocal de qualité, ce film a enregistré un record historique pour un dessin animé d'Astérix, puisque celui-ci a dépassé les 2,5 millions d'entrée au box-office Français ainsi que tous les autres dessins animés.

Source

J'ai toute la collection, dès qu'il sortait un nouveau je l'achetais
 
Malabar... Concours de bulles qui explosent bien sur en atteignant la frange des cheveux. On jouait les Monsieur, fier de porter un tatouage. L odeur.... Unique. De bons souvenirs. Merci Lafoy d y avoir pense.
 
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Bonux
(initialement Bonus) est une marque commerciale de lessive créée en France en 1958 par le groupe américain Procter and Gamble et qui est rapidement devenue emblématique par une innovation marketing remarquable : la présence d'un cadeau promotionnel à l'intérieur du paquet. À tel point que l'expression « cadeau Bonux » est entrée dans le langage populaire français. À sa création la marque s'appelle « Bonus », elle deviendra « Bonux » en 1960.
À l'origine, Bonux n'existe que sous la forme d'une lessive en poudre et le cadeau est un petit objet ensaché dans une pochette enfouie dans la poudre. La marque, créée au début d'une période historique de croissance de la consommation, a également profité du développement de la plasturgie à partir des années 1960, qui a permis de fabriquer facilement à faible coût des petits objets en grand nombre.

La lessive Bonux faisait alors l'objet de très peu de publicité, la présence du cadeau suffisant à provoquer l'acte d'achat des consommateurs. La lessive à peine rapportée à la maison, les enfants se dépêchaient d'ouvrir le paquet et d'y dénicher le cadeau tant attendu. Celui-ci pouvait être un jouet (voiture miniature, jeu de cartes, figurine…) ou un objet utilitaire (sifflet à roulette, dé à coudre, mètre de couturière, couteau à beurre…). Historiquement, le premier cadeau Bonux était un petit train en plastique.

La lessive Bonux s'est diversifiée pour devenir une gamme : lessive liquide, lessive pour machine, lessive pour lavage à la main… Au début des années 1990, le cadeau Bonux disparait pour réapparaître en 2000.

Une série de bande dessinée publicitaire en cinq épisodes a été réalisée par Jijé (Joseph Gillain) sous les pseudonymes de « Benoîst » et « Benoît », dans laquelle un jeune garçon, appelé « Bonus Boy » puis « Bonux-Boy », montre tout ce qu'on peut faire avec les cadeaux Bonux. Un journal publicitaire, appelé aussi Bonux Boy, a été publié de 1960 à 19611.
*suite*
 
Malabar... Concours de bulles qui explosent bien sur en atteignant la frange des cheveux. On jouait les Monsieur, fier de porter un tatouage. L odeur.... Unique. De bons souvenirs. Merci Lafoy d y avoir pense.

concourt à celui qui arrivait à en mettre le plus possible dans la bouche....
 
Voir la pièce jointe 66077
Bonux
(initialement Bonus) est une marque commerciale de lessive créée en France en 1958 par le groupe américain Procter and Gamble et qui est rapidement devenue emblématique par une innovation marketing remarquable : la présence d'un cadeau promotionnel à l'intérieur du paquet. À tel point que l'expression « cadeau Bonux » est entrée dans le langage populaire français. À sa création la marque s'appelle « Bonus », elle deviendra « Bonux » en 1960.
À l'origine, Bonux n'existe que sous la forme d'une lessive en poudre et le cadeau est un petit objet ensaché dans une pochette enfouie dans la poudre. La marque, créée au début d'une période historique de croissance de la consommation, a également profité du développement de la plasturgie à partir des années 1960, qui a permis de fabriquer facilement à faible coût des petits objets en grand nombre.

La lessive Bonux faisait alors l'objet de très peu de publicité, la présence du cadeau suffisant à provoquer l'acte d'achat des consommateurs. La lessive à peine rapportée à la maison, les enfants se dépêchaient d'ouvrir le paquet et d'y dénicher le cadeau tant attendu. Celui-ci pouvait être un jouet (voiture miniature, jeu de cartes, figurine…) ou un objet utilitaire (sifflet à roulette, dé à coudre, mètre de couturière, couteau à beurre…). Historiquement, le premier cadeau Bonux était un petit train en plastique.

La lessive Bonux s'est diversifiée pour devenir une gamme : lessive liquide, lessive pour machine, lessive pour lavage à la main… Au début des années 1990, le cadeau Bonux disparait pour réapparaître en 2000.

Une série de bande dessinée publicitaire en cinq épisodes a été réalisée par Jijé (Joseph Gillain) sous les pseudonymes de « Benoîst » et « Benoît », dans laquelle un jeune garçon, appelé « Bonus Boy » puis « Bonux-Boy », montre tout ce qu'on peut faire avec les cadeaux Bonux. Un journal publicitaire, appelé aussi Bonux Boy, a été publié de 1960 à 19611.
*suite*
Merci Marcou
Fameux moments en effet
 
Année 70,
j'avais juste onze an,
les vacances d'été je les ai passé pour la première fois en colonie, ça c'était vraiment mal passé.
Septembre arrive, rentrée des classes en 6eme, mais pas n'importe laquelle, en pension dans une école ou je ne devais pas y être, je suis rentré en 6eme normale, alors qu'il y avait des 6eme et 5eme transition , demis correctionnel. Y avaient des jeunes qui avaient 16 ans et qui n’attendaient que la fin de l'année pour partir en apprentissage ou arrêter l’école. Pas mal de jeunes de quartiers que je ne connaissaient pas, de la région parisienne. Pour la plupart ils avaient un tuteur ou fichés par la police, voleur, violeur, ou pointé d'un couteau leur parents. Moi du haut de mes onze ans un boulotant et pas très grand, fallu me faire ma place.
J'étudiais chez un aveugle le piano lorsque j'étais encore à l'école communal, dans cette école il y avait un orge à tuyau dans la chapelle, je voulais en jouer, mais pour cela fallait continuer le piano, la première leçon dans l'école se faisait dans une tour du château, dans l'apart d'un curé, lorsque j'ai pris mon tour pour jouer, un élève qui sortait me dit, monsieur le curé aime bien les petits garçons, si tu veux apprendre faut être gentil, lorsque je me mis au piano et que je lui ai montré ce que je savais jouer, il me mis la main sur ma jambe tendis que son autre main était dans son pantalon, certainement qu'il se touchait la b....
Le soir dans le dortoir lorsque les couteaux volant ou les zuriquens (étoiles de ninja) ne volaient pas, ou tu te retrouvais le lit en cathédral coincé entre les placards, tu allais fumé dans le ciroir, là j'ai expliqué à mon voisin de lit ce que le curé faisait. C'est là qu'il m'expliqua comment on se faisait cassé le cul, je ne suis jamais retourné faire du piano.
A peine un mois dans le collège,ou je rentrais quand même tous les week end, il y eut une colle générale de la classe à cause d'une boule puante jeté en plein court. La colle pendant le week end consistait à copier bêtement un livre, je restais les bras croiser pendant toutes les heures de colles sans bouger, ce qui m'a valu un deuxième week end de colle, puis un troisième, etc .. viré de la messe obligatoire pour avoir chanté comme un canard, puis mes vacances de la Toussaint, puis les vacances de noël arrivait. Ma mère craqua et demanda à mon père de voire le directeur pour que je puisse rentrer.
J'ai demandé à avoir une autorisation pour que le mercredi après midi pour que je puisse allé apprendre du sport à l'extérieur, boxe française, Aïkido et judo. J'ai vite appris à cassé la gueule à plus grand que moi lorsqu'on me rackettait.
j'y suis rester dans cette école jusqu'à mes 18ans, la dernière année, j'ai fait intervenir le service sanitaire pour condition de nourriture avarié. beurre rance au petit déjeuné, pâtisseries aux charançons, le menu consistait à ; patte le lundi parce qu'ils épluchaient les patates, mardi frite, mercredi pomme de terre à l'eau, jeudi purée avec l'eau des patates qui trempaient depuis le lundi (l’assiette retourné la purée ne tombait pas) et vendredi poisson riz....
Le seul avantage que cette école ma donné, c'était les 7 heures de travaux d'entretiens par semaine, tu passais du jardin, à l'atelier serrurerie, à la forge, à la menuiserie, maçonnerie, électricité, mécanique, tous les corps de métiers y passaient, ce qui m'a donné cette avantage de tout pouvoir faire de mes mains. On réparait nos lits, nos placards, le plancher des dortoir,etc..., les instruments agricole du jardin, de la ferme...
chateau mesniere.jpg
 
Année 70,
j'avais juste onze an,
les vacances d'été je les ai passé pour la première fois en colonie, ça c'était vraiment mal passé.
Septembre arrive, rentrée des classes en 6eme, mais pas n'importe laquelle, en pension dans une école ou je ne devais pas y être, je suis rentré en 6eme normale, alors qu'il y avait des 6eme et 5eme transition , demis correctionnel. Y avaient des jeunes qui avaient 16 ans et qui n’attendaient que la fin de l'année pour partir en apprentissage ou arrêter l’école. Pas mal de jeunes de quartiers que je ne connaissaient pas, de la région parisienne. Pour la plupart ils avaient un tuteur ou fichés par la police, voleur, violeur, ou pointé d'un couteau leur parents. Moi du haut de mes onze ans un boulotant et pas très grand, fallu me faire ma place.
J'étudiais chez un aveugle le piano lorsque j'étais encore à l'école communal, dans cette école il y avait un orge à tuyau dans la chapelle, je voulais en jouer, mais pour cela fallait continuer le piano, la première leçon dans l'école se faisait dans une tour du château, dans l'apart d'un curé, lorsque j'ai pris mon tour pour jouer, un élève qui sortait me dit, monsieur le curé aime bien les petits garçons, si tu veux apprendre faut être gentil, lorsque je me mis au piano et que je lui ai montré ce que je savais jouer, il me mis la main sur ma jambe tendis que son autre main était dans son pantalon, certainement qu'il se touchait la b....
Le soir dans le dortoir lorsque les couteaux volant ou les zuriquens (étoiles de ninja) ne volaient pas, ou tu te retrouvais le lit en cathédral coincé entre les placards, tu allais fumé dans le ciroir, là j'ai expliqué à mon voisin de lit ce que le curé faisait. C'est là qu'il m'expliqua comment on se faisait cassé le cul, je ne suis jamais retourné faire du piano.
A peine un mois dans le collège,ou je rentrais quand même tous les week end, il y eut une colle générale de la classe à cause d'une boule puante jeté en plein court. La colle pendant le week end consistait à copier bêtement un livre, je restais les bras croiser pendant toutes les heures de colles sans bouger, ce qui m'a valu un deuxième week end de colle, puis un troisième, etc .. viré de la messe obligatoire pour avoir chanté comme un canard, puis mes vacances de la Toussaint, puis les vacances de noël arrivait. Ma mère craqua et demanda à mon père de voire le directeur pour que je puisse rentrer.
J'ai demandé à avoir une autorisation pour que le mercredi après midi pour que je puisse allé apprendre du sport à l'extérieur, boxe française, Aïkido et judo. J'ai vite appris à cassé la gueule à plus grand que moi lorsqu'on me rackettait.
j'y suis rester dans cette école jusqu'à mes 18ans, la dernière année, j'ai fait intervenir le service sanitaire pour condition de nourriture avarié. beurre rance au petit déjeuné, pâtisseries aux charançons, le menu consistait à ; patte le lundi parce qu'ils épluchaient les patates, mardi frite, mercredi pomme de terre à l'eau, jeudi purée avec l'eau des patates qui trempaient depuis le lundi (l’assiette retourné la purée ne tombait pas) et vendredi poisson riz....
Le seul avantage que cette école ma donné, c'était les 7 heures de travaux d'entretiens par semaine, tu passais du jardin, à l'atelier serrurerie, à la forge, à la menuiserie, maçonnerie, électricité, mécanique, tous les corps de métiers y passaient, ce qui m'a donné cette avantage de tout pouvoir faire de mes mains. On réparait nos lits, nos placards, le plancher des dortoir,etc..., les instruments agricole du jardin, de la ferme...
Voir la pièce jointe 66114
Comme le nom de l'école était donné dans ton fichier image, je suis allé voir sur le web, et, apparemment, l'école existe toujours et semble même s'être développée: http://www.lycee-saintjoseph-mesnieres.fr/index.html
sais tu si les choses ont changé depuis ton époque?
 
Dernière édition:
Comme le nom de l'école était donné dans ton fichier image, je suis allé voir sur web, et, apparemment, l'école existe toujours et semble même s'être développée: http://www.lycee-saintjoseph-mesnieres.fr/index.html
sais tu si les choses ont changé depuis ton époque?
oui, l'on m'avait téléphoné lorsque le château à bruler pour me le dire, et je suis sur facebook avec l’école forestière et j'ai vu qu'ils ont ouvert une école de restauration. La ferme et les ateliers ont été arrêtés, le jardin existe toujours.
désolé midi et la cuisine m'attendais j'ai oublié de mentionné l'école, merci de l'avoir fait.
 
Dans le collège ou j'étais en pension je passais ma communion solennelle, comme cadeau j'ai reçu ma première montre, une LIP. Elle était en or plaqué et était plus grosse que mon poignet, j'ai pu la porter que quelque fois et en de rare occasion tellement elle était imposante.

Les montres LIP.
Il est l’ancêtre de tous les LIP qui, d’une petite entreprise de quinze personnes installée en 1868 par Emmanuel Lipmann dans la Grande Rue à Besançon, firent la plus puissante des manufactures françaises. »1
En 1807, une montre à gousset est offerte à Napoléon Bonaparte par la communauté juive de Besançon.
L'essor


Réclame de 1924.
En 1896, le Chronomètre Lip est lancé, cette désignation devient la marque de la Manufacture horlogère et apparaît sur tous les cadrans des montres. La fabrication s’élève alors à environ 2 500 pièces par an.

En 1931, la marque LiP devient LiP S.A. d’Horlogerie. Des actions de la société sont alors données aux distributeurs pour accélérer les ventes. Les trois directeurs sont alors : James Lipmann (fils de Camille) responsable du commercial, Fred Lipmann (fils d'Ernest) responsable de la technique et Lionel Lipmann (fils d'Ernest) responsable de la communication.

Les parents de Fred et Lionel Lipmann sont arrêtés et conduits à Drancy le 5 novembre 1943, puis déportés le 20 novembre 1943 par le convoi no 62. Ils ne reviendront pas d'Auschwitz. En l'absence de son frère Lionel et de celle de James Lipmann, devenu l'un des principaux collaborateurs de Jean Monnet à Washington, Fred Lipmann devient président de Lip en 1945. Ni Lionel ni James Lipmann ne reviendront dans l'affaire qui se développe par des accords de fabrication avec les Russes. Lip lance des calibres d’une grande modernité, comme le T18 conçu par André Donat2 et le R25 créé par Jean-Georges Laviolette3.

En 1952, Lip lance l'Electronic, première montre électronique (considérée comme telle et non pas électrique, en raison de la présence d'une diode).

1973-1976 : L’affaire Lip
Article détaillé : Affaire Lip.
En juin 1973, des ouvriers de Lip apprennent l'existence d'un plan de licenciement et d'un projet de gel des salaires. L'usine est aussitôt occupée et des manifestations sont organisées. Malgré une tentative de négociation durant le mois d'août, la lutte continue avec plus d'intensité en septembre. En janvier 1974, Lip est repris par Claude Neuschwander, alors numéro deux du groupe Publicis et membre du PSU.

Claude Neuschwander démissionne le 8 février 1976. L'entreprise dépose le bilan en avril et l'usine est de nouveau occupée le mois suivant.

Face à l’absence de repreneurs, Lip est définitivement liquidée le 12 septembre 1977. Le 28 novembre 1977, après de longs débats, les Lip créent six coopératives dont Les Industries de Palente, dont les initiales sonnent toujours LIP.
*lien*

Mon grand père avait acheté un lip électronique, je savais par son sifflement de la vibration du quartz que j'entendais ou elle était
Ce que l'on sait encore moins se sont les montres à aiguilles fluorescente, c'est que la fluorescence est radioactive.
 
Dernière édition:
j'avais oublié le grand classique du petit garçon des années 70:
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"Panini est une maison d'édition italienne connue pour l'édition d'albums d'images autocollantes à collectionner, à travers ses nombreuses filiales (France, Espagne, Allemagne, Brésil, États-Unis, Angleterre, etc.).


Panini édite également des magazines pour la jeunesse (Panini Kids) sous licence (Hasbro, Mattel, etc.) ; des bandes dessinées, au travers ses pôles d'édition Panini Comics (Marvel Comics, Fusion Comics, Mark Millar, etc.) et Panini Manga, ainsi que des romans via Panini Books....
Dans les années 1950, Giuseppe et Benito Panini, deux frères marchands de journaux à Modène se rendent compte par le biais de leur réseau Agencia Distribuzione Giornali Fratelli Panini que les enfants adorent collectionner les photos de footballeurs trouvées dans les tablettes de chocolat. Pour mieux vendre leurs journaux, ils décident d’en glisser une au cœur de chaque quotidien après avoir récupéré un stock de ces images à Milan. Devant leur succès commercial, ils ont l'idée en 1961 de vendre des images de footballeurs (vignettes en carton à coller avec un tube de colle) à collectionner et à coller dans un album appelé Calciatori (footballeurs en italien). Le succès est rapide et les deux autres frères Panini, Umberto et Franco rejoignent bientôt l'entreprise familiale. Au cours des années 1970, l'image autocollante, véritable bouleversement technologique, fait son apparition et le marché s'internationalise. Le premier album distribué en France est celui consacré à la Coupe d'Europe des clubs champions en 1976, année de la fabuleuse épopée de l'AS Saint-Etienne. En 1988, la société Panini est achetée par le groupe Maxwell, puis, en 1992 par Giampaolo Possagno et par De Agostini. Deux ans plus tard, c'est Marvel Entertainment Group qui fait l'acquisition de Panini....
"
http://fr.wikipedia.org/wiki/Panini_(maison_d'édition)
 
Dernière édition:
Je me souviens aussi je sais pas pour vous mais en tout cas chez moi il y avait un Martinet !
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Aie aie aie , lorsqu'il n'y avait personne je le caché ou alors je coupai les lanières avec les ciseaux ^^


A l'école nous avions un savon comme ça
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Pour se laver les mains je ne sais pas si ça existe encore dans certaines écoles .
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Je me souviens aussi je sais pas pour vous mais en tout cas chez moi il y avait un Martinet !
Voir la pièce jointe 66569
Aie aie aie , lorsqu'il n'y avait personne je le caché ou alors je coupai les lanières avec les ciseaux ^^


A l'école nous avions un savon comme ça
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Pour se laver les mains je ne sais pas si ça existe encore dans certaines écoles .
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Ha oui les savons, je m'en souviens aussi.

Dans un style complètement différent, qui n'a jamais jouer au caïd avec ce magnifique couteau/peigne à cran d'arrêt ?

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Ha oui les savons, je m'en souviens aussi.

Dans un style complètement différent, qui n'a jamais jouer au caïd avec ce magnifique couteau/peigne à cran d'arrêt ?

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Ha oui le peigne je me souviens en avoir eu un à cause de la série Happy Days
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Fonzzy celui qui avait toujours un peigne sur lui pour se recoiffer :)
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Triumph Spitfire

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La Triumph Spitfire est une automobile de type roadster à deux places et moteur 4 cylindres en ligne, construite de 1962 à 1980 par le constructeur automobile britannique Triumph, conçue par Harry Webster, et munie d’une carrosserie dessinée par Giovanni Michelotti. Prévue pour être une voiture de sport à bon marché, elle est basée sur la Triumph Herald, une petite berline. La Triumph GT6, un coupé à moteur 6 cylindres, en est dérivée.

Cinq versions de Spitfire sont produites d'octobre 1962 à août 1980 :

  • Triumph Spitfire 4, produite à 45 000 exemplaires de 1962 à 1964, équipée d'un moteur de 1 100 cm3 de cylindrée. Des exemplaires modifiés seront engagés par l'usine en rallye et pour les 24 heures du Mans, avec à la clef une victoire de catégorie en 1965. Elle est parfois appelée rétrospectivement Spitfire MK1 ;
  • Triumph Spitfire 4 MK2, produite à 37 000 exemplaires de 1964 à 1967, très proche de la précédente, avec des changements mécaniques et esthétiques très minimes ;
  • Triumph Spitfire MK3, produite à 65 000 exemplaires de 1967 à 1970, avec un moteur porté à 1 300 cm3 et quelques changements esthétiques, notamment un pare-chocs remonté en « os entre les dents » ;
  • Triumph Spitfire MKIV, produite à 70 000 exemplaires de 1970 à 1974, qui apporte le changement esthétique le plus important, avec un avant et un arrière complètement redessinés dans un style plus moderne, et un nouvel intérieur, mais garde le même moteur ;
  • Triumph Spitfire 1500, produite à 95 000 exemplaires de 1974 à 1980, ultime version très proche de la précédente, mais dotée d'un moteur de 1 500 cm3 qui permet de pallier la perte de puissance causée par les modifications faites pour lutter contre la pollution, notamment sur les exemplaires destinés au marché américain.
Durant ces 18 ans de production, la Spitfire reste sensiblement la même voiture, ne connaissant que des évolutions techniques et esthétiques relativement limitées tout en gardant la même structure. Dans le même temps, la catégorie des roadsters plus haut de gamme de Triumph voit se succéder quatre modèles entièrement différents, les Triumph TR4, TR5, TR6 puis TR7

Source

Ma premiere automobile une Mk3 de 1968 en 1975 :rolleyes: et debut 80 une MK4 .
 
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Norton Commando

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Les premières Norton Commando de 850 cm³ ont été lancées en avril 1973. Les moteurs de ces motos ont la même puissance que ceux de la 750 cm³, mais avec moins de tensions (certains modèles de la 750 cm³ se sont révélées peu fiables avec des problèmes de portance et de tête de joint).

La 850 cm³ Commando MK3 a été lancé en mars 1975 et pour la première fois, a été équipé d'un démarreur électrique. Toutefois, ce fut une bonne idée de garder le démarreur à pied car le démarreur électrique n'était qu'un "assistant" et drainait rapidement la batterie. Le cahier des charges est resté inchangé jusqu'en octobre 1977, lorsque les dernières machines furent produites. Pendant 10 ans, la Norton Commando (750 cm³ et 850 cm³) a été en production et était populaire dans le monde entier. Au Royaume-Uni, elle a remporté la distinction de « Machine de l'année » pendant 5 années, de 1968 à 1972.

Source
 
The Beatles

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The Beatles est un groupe musical britannique originaire de Liverpool, composé de John Lennon, Paul McCartney, George Harrison et Ringo Starr. Il demeure, en dépit de sa séparation en 1970, l'un des groupes de rock les plus populaires au monde. En dix ans d'existence et seulement huit ans de carrière discographique (de 1962 à 1970), les Beatles ont enregistré douze albums originaux et ont composé plus de 200 chansons. Une productivité particulièrement remarquable dans la période 1963-1966, où, entre les tournées incessantes et la participation à deux longs métrages, ils ont publié sept albums, treize singles et douze EPs, par ailleurs emportés dans un phénomène d'ampleur dénommé Beatlemania.

Considérées comme la « bande-son » des années 1960, les chansons des Beatles ont marqué leur décennie ainsi que les générations suivantes, et leurs mélodies ont été adaptées à de nombreux genres musicaux, notamment le jazz, la salsa, le reggae, la soul ou la musique classique et baroque. Au XXIe siècle, le groupe jouit toujours d'une grande popularité ; ses chansons sont jouées et reprises dans le monde entier. Le duo d'auteurs-compositeurs Lennon/McCartney reste célèbre comme créateur de standards qui ont fait l'objet de milliers d'adaptations dans les décennies suivantes.

Les Beatles demeurent les artistes ayant vendu le plus grand nombre de disques au monde[1],[2]. Ce chiffre était déjà estimé par EMI dans les années 1980 à plus d'un milliard de CD, vinyles, et même 78 tours en Inde, vendus à travers la planète et il a continué à augmenter jusqu'à aujourd'hui atteignant un chiffre supérieur à 2 milliards. Par ailleurs, on a calculé dans les années 1970 qu'à tout moment, l'une des interprétations de la chanson Yesterday (on en dénombre plus de 3 000) était jouée par une radio quelque part dans le monde.

« Placés à la proue » de l'évolution de la jeunesse et de la culture populaire des années 1960, leur style, leur habillement, leurs discours, leurs orientations, leur popularité planétaire, leur conscience sociale et politique grandissantes au fil du temps, ont étendu l'influence des Beatles bien au-delà de la musique, jusqu'aux révolutions sociales et culturelles de leur époque.

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