La rubrique de nos annees 60/70/80 - BD - Jouets - Disques - Vehicules - Actualites - Series TV ...

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Bon ok, a la base c est pas un jouet, c etait notre moyen de locomotion ado pour aller bosser. La porte des libertes. Mais c etait aussi un jeu lorsqu on etait enfant ou courses, cross a travers les champs, derapages... etaient nos activites.

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103 SP contre Motobecane ou encore ciao s affrontaient pour notre plus grand plaisir.
Exact meme lafoy a eu une mobylette jaune ! :)

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on veut des tofs.
J en ai pas en Chine. Pas sur qu il y en ait d ailleurs.
Lafoy, c est un peu mes cousins de 10 ans mes aines... La journee, je leur vidais le reservoir en faisant le con dans les champs et le soir je me faisais engueuler car plus assez de jus pour aller voir les ablettes en concert :)
 
Dernière édition:
Gaston
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Gaston est une série de bande dessinée franco-belge humoristique créée en février 1957 par André Franquin. La série met en scène un employé de bureau nommé Gaston Lagaffe, travaillant au journal de Spirou, grand fainéant et commettant chaque semaine de nombreuses gaffes.
Son supérieur sera d'abord Fantasio qui disparaîtra de la série quand Franquin arrêtera de dessiner les aventures de Spirou et Fantasio. Il sera remplacé par Prunelle jusqu'à la fin de la série. Parmi les gags récurrents il y a le Gaffophone, les contrats non signés avec M. de Mesmaeker, les appeaux ou encore la chimie amusante. Bricoleur et inventeur, Gaston fabrique de nombreuses inventions qui échouent la plupart du temps à la suite d'une gaffe.

La série est d'abord publiée chaque semaine dans le journal Spirou, puis éditée en albums chez Dupuis jusqu'en 1992. Depuis lors, elle est publiée par Marsu Productions, maison monégasque d'édition de bandes dessinées. L'ordre de publication, chronologiquement illogique, de la série originale des albums (0, 2, 3, 4, 1, 5, 6, 7, 8, R1, 9, R2, 10, R3, 11, R4, 12, 13, 14, R0, R5, 15) est dû à la non-réédition des premiers albums de la série sortis au format à l'italienne. Cette décision amènera la série à ne pas avoir de no 5 (au format standard) pendant 20 ans ; ce sera là l'origine de la légende de l'album fantôme. En 1997, les planches ont été triées chronologiquement et publiées dans 18 albums (plus un 19e sorti plus tard et inédit dans l'édition originale), constituant ainsi l'édition définitive.

Source
 
Gaston est une série de bande dessinée franco-belge humoristique créée en février 1957 par André Franquin. La série met en scène un employé de bureau nommé Gaston Lagaffe, travaillant au journal de Spirou, grand fainéant et commettant chaque semaine de nombreuses gaffes.

Son supérieur sera d'abord Fantasio qui disparaîtra de la série quand Franquin arrêtera de dessiner les aventures de Spirou et Fantasio. Il sera remplacé par Prunelle jusqu'à la fin de la série. Parmi les gags récurrents il y a le Gaffophone, les contrats non signés avec M. de Mesmaeker, les appeaux ou encore la chimie amusante. Bricoleur et inventeur, Gaston fabrique de nombreuses inventions qui échouent la plupart du temps à la suite d'une gaffe.

La série est d'abord publiée chaque semaine dans le journal Spirou, puis éditée en albums chez Dupuis jusqu'en 1992. Depuis lors, elle est publiée par Marsu Productions, maison monégasque d'édition de bandes dessinées. L'ordre de publication, chronologiquement illogique, de la série originale des albums (0, 2, 3, 4, 1, 5, 6, 7, 8, R1, 9, R2, 10, R3, 11, R4, 12, 13, 14, R0, R5, 15) est dû à la non-réédition des premiers albums de la série sortis au format à l'italienne. Cette décision amènera la série à ne pas avoir de no 5 (au format standard) pendant 20 ans ; ce sera là l'origine de la légende de l'album fantôme. En 1997, les planches ont été triées chronologiquement et publiées dans 18 albums (plus un 19e sorti plus tard et inédit dans l'édition originale), constituant ainsi l'édition définitive.

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Il ne m en manque pas un... Un modele de vie :)
 
Encore une BD et plus, qui a traverse le temps et les frontieres, s est transmis de generation en generation...
Les aventures de Tintin
1er album en 1930... On en a tous tenu au moins un dans nos mains.
Tres a la mode dans les 70's...
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Il y avait aussi le journal de tintin, magasine arrete dans les annees 80's.
 
Bon ok, a la base c est pas un jouet, c etait notre moyen de locomotion ado pour aller bosser. La porte des libertes. Mais c etait aussi un jeu lorsqu on etait enfant ou courses, cross a travers les champs, derapages... etaient nos activites.

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103 SP contre Motobecane ou encore ciao s affrontaient pour notre plus grand plaisir.

J'ai eu en premier un vélo moteur Solex que mon grand père voulait me faire essayer , premier essaie première gamelle car sur les Solex pour ceux qui ne connaisse pas le moteur est devant et il y as une manette qui faut baisser pour faire descendre le moteur afin qu'il touche la roue avant , seulement voila des que le moteur touche la roue zouuuu ça part d'un coup autant dire que je m'y attendais pas du tout .

Voila un exemple de moteur de solex avec la manette qu'on abaisser pour avancer
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Plus tard j'ai eu la meme mobylette en photo que WDW à mis mais en bleu avec des sacoches sur le coté , en dessous du siège la petite plaque métallique se dévissé pour ranger quelques outils du genre tourne visse chiffon.
 
Salut les copains / Numéro 54 - Janvier 1967

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La revue est lancée durant l'été 1962 par Frank Ténot et Daniel Filipacchi comme prolongement écrit de l'émission radiophonique éponyme, diffusée chaque jour sur Europe 1 depuis 1959. Elle connaît d'emblée un succès important qui lui permet, à son apogée, de dépasser le million d'exemplaires vendus et de donner son unité à la génération yé-yé en mettant régulièrement en avant des artistes comme Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Eddy Mitchell, Françoise Hardy, Sheila, Vic Laurens, Claude François, puis Jacques Dutronc, Antoine, Michel Polnareff et France Gall.

L'histoire faillit être cependant de courte durée. Le no 2 met en couverture une photo d'Elvis Presley brandissant un couteau. Daniel Filipacchi est convoqué au ministère de la Justice, devant le rapporteur du juge responsable de la commission de la jeunesse et de l'enfance, chargée de la surveillance de la presse. L'éditeur prouve que ladite photo est extraite d'un film qui n'est pas frappé d'interdiction aux moins de 18 ans et échappe ainsi aux poursuites1.

Le magazine publie de nombreux reportages détaillés sur les faits et gestes, parfois les concerts, des jeunes chanteurs français, plus rarement sur les chanteurs américains et anglais, à l'exception notable des Beatles et des Rolling Stones. Les principaux rédacteurs sont Éric Vincent, Raymond Mouly, Guy Abitan, Régis Pagniez, Michel Taittinger. Les photographies sont le plus souvent confiées à Jean-Marie Périer et à Tony Frank. La photographie la plus ambitieuse tente de regrouper sur une même photo en double page, dite Photo du siècle, toutes les idoles de l'époque, ce qui représente un véritable exploit en termes d'organisation. Pour le no 1, Daniel Prat réalise huit pages de mode avec Sylvie Vartan comme mannequin.

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Salut les copains (émission de radio)

Salut les copains est une émission de variétés radiophonique (pop music) lancée le 19 octobre 1959 sur Europe 1 par Frank Ténot et Daniel Filipacchi sur une idée de Jean Frydman1).
D'abord hebdomadaire, elle est rapidement devenue quotidienne (du lundi au vendredi entre 17 h et 19 h) et a réuni jusqu'à 40 % des 12-15 ans.
Le titre de l'émission est emprunté à la chanson homonyme de Gilbert Bécaud, sortie en 1958 et dont le texte est signé Pierre Delanoë, à l'époque directeur des programmes d'Europe n°1 avec Lucien Morisse3.
L'émission gagna un vaste public, en partie par sa conception très structurée qui lui assura une audience plus fidèle que si elle n'avait été qu'une simple succession de chansons dans le désordre.
La pub était assurée par Vonny qui, par la suite, a été chargée de courts billets dans l'émission.
On a pris conscience de l'importance de ce public et du phénomène social qu'il représentait, lors du concert Place de la Nation, organisé par Europe 1 le 22 juin 1963, (à l'occasion du premier anniversaire du magazine Salut les copains). Deux cent mille jeunes se sont réunis pour applaudir Sylvie Vartan, Richard Anthony, Dick Rivers et les Chats sauvages, Danyel Gérard, les Gams, Nicole Paquin et Johnny Hallyday. Peu après l'évènement, le sociologue Edgar Morin dans un article du Monde titrait « Le temps des yéyés », donnant ainsi naissance à cette appellation qui désormais allait coller à la peau des artistes de cette génération et de cette jeunesse en général2.

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