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G20 : « l'enjeu pour l'Europe et les Etats-Unis est d'éviter une fragmentation du monde » (Thomas Grjebine,CEPII)

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9 septembre 2023

ENTRETIEN - Les dirigeants du G20 se retrouvent à New Delhi ce week-end pour un sommet crucial sur le plan géopolitique et climatique. L'économiste du CEPII Thomas Grjbebine redoute que les divisions entre les BRICS et la guerre en Ukraine relèguent les questions de financement de la transition écologique ou de sécurité alimentaire au second plan

LA TRIBUNE- Après le sommet de Paris sur le nouveau pacte financier mondial en juin dernier, que faut-il attendre du G20 ce week-end à New Delhi ?


THOMAS GRJEBINE- Le G20 est une occasion importante pour commencer à concrétiser la feuille de route lancée au sommet de Paris. Le risque est que les dissensions, notamment entre les BRICS, l'emportent. Le président chinois Xi Jinping a annoncé qu'il n'allait pas se rendre à ce sommet. Les rivalités entre l'Inde et la Chine sont de plus en plus fortes.

Ce sommet est important car le G20 est une des seules instances où une discussion est possible entre les pays du Nord et ceux du Sud. Un des enjeux pour l'Inde est de pousser pour qu'il y ait des discussions autres que la guerre en Ukraine qui cristallise les tensions. Par exemple, la sécurité alimentaire, la crise de la dette dans les pays du Sud, le financement de la transition écologique.

L'élargissement des Brics va-t-il changer le rapport de force avec les puissances occidentales ?

THOMAS GRJEBINE-Les rivalités entre les BRICS ne favorisent pas l'émergence d'un pôle puissant face aux pays du Nord. Avec un ordre international bouleversé et des tensions géopolitiques très fortes, l'enjeu pour l'Europe et les Etats-Unis est d'éviter une fragmentation du monde ou la constitution d'un bloc de pays autour de la Chine. Il faut pour cela que les pays du Nord regagnent la confiance des pays du Sud.

C'était l'un des enjeux du sommet de Paris. Les pays du Nord s'étaient engagés à verser à partir de 2020 près de 100 milliards de dollars par an aux pays du Sud pour faire face au changement climatique, un objectif qui n'a jamais été atteint. De nouveaux engagements ont été pris lors du sommet de Paris. Mais il y a une forme de scepticisme des pays du Sud sur les engagements réels des pays du Nord. Sur la scène géopolitique, il y a des pôles qui se reforment autour des Etats-Unis et de la Chine. L'enjeu pour les pays du Nord est de ne pas perdre la confiance des pays du Sud.

Dans l'ouvrage du CEPII consacré à l'économie mondiale en 2024 (*), vous évoquez un monde en recomposition. Quels sont les principaux facteurs qui ont contribué à ces bouleversements ?

THOMAS GRJEBINE-Avec l'économiste Isabelle Bensidoun, nous décrivons comment les Etats-Unis ont décidé de changer leur logiciel pour faire de la réindustrialisation une priorité et la condition pour réussir la transition écologique. L'Inflation Reduction Act (IRA) symbolise ce changement de paradigme avec un recours à des subventions massives et la mise en place de mesures de nature protectionniste.

Avec cette reconfiguration de la mondialisation, la sécurité devient également une priorité. Cela ne vient pas seulement de la montée des tensions géopolitiques entre les Etats-Unis et la Chine. La crise sanitaire et la guerre en Ukraine ont fait prendre conscience aux pays du Nord des vulnérabilités que les interdépendances occasionnent.

L'une des préoccupations majeures et de « dérisquer » les échanges avec la Chine, c'est-à-dire de réduire notre dépendance à cette nouvelle puissance, en diversifiant nos relations économiques et en recherchant des nouveaux partenaires. C'est le sens de la stratégie sur la sécurité économique annoncée en juin par la Commission européenne. Les Etats-Unis poussent de leur côté pour que les échanges, le commerce ou les investissements se fassent avec des pays « amis », c'est-à-dire partageant les mêmes valeurs ou les mêmes intérêts économiques. C'est ce qu'on appelle « le friendshoring ».

Cette reconfiguration de la mondialisation n'implique pas pour autant une démondialisation. En diversifiant les sources d'approvisionnement ou en recherchant de nouveaux partenaires, il n'y a en effet pas de raison de réduire les flux commerciaux.

En quoi consiste le nouveau consensus de Washington évoqué dans l'ouvrage ?

THOMAS GRJEBINE-L'ancien consensus de Washington privilégiait les privatisations, les libéralisations, moins d'Etat. L'administration Biden met au contraire en avant un nouveau « consensus de Washington » dont la politique industrielle est le pilier. On assiste à un retour de l'Etat dans la gestion économique. Le libre-échange n'est plus une fin en soi. Pour les Etats-Unis, l'objectif est vraiment d'éviter que l'innovation et l'emploi partent en Chine.

C'est aussi le sens du décret présidentiel du 9 août dernier qui vise à limiter les investissements technologiques vers la Chine. Et c'est là aussi un signe de changement important. Ce décret annonce des interdictions pour les investissements américains en Chine dans les semi-conducteurs, le quantique ou l'intelligence artificielle. Les Etats-Unis poussent par ailleurs activement leurs alliés, notamment européens, pour adopter des mesures semblables.

La guerre en Ukraine a provoqué une onde de choc sur les marchés de l'énergie et de l'alimentation. Les prix ont reflué depuis plusieurs mois en Europe mais l'inflation demeure à un niveau bien plus élevé qu'avant la guerre. Comment expliquez-vous cette persistance de l'inflation ?

THOMAS GRJEBINE-Un des facteurs qui permet d'expliquer cette persistance de l'inflation est l'augmentation des profits dans certains secteurs. Selon le FMI, entre début 2022 et début 2023, les profits auraient contribué pour près de 45 % à l'inflation dans la zone euro. Une étude récente du CEPII par Axelle Arquié et Malte Thie a montré qu'en France ce sont tout particulièrement les secteurs les moins concurrentiels, comme l'industrie agro-alimentaire, qui ont augmenté leurs prix de vente au-delà de la hausse des coûts de production.

L'autre facteur qui pourrait jouer concerne les salaires. Mais jusqu'à présent, on n'a pas observé de boucle prix-salaires. On a même assisté à une forte baisse des salaires réels (c'est-à-dire corrigés de l'inflation) de 3 % entre 2020 et fin 2022 dans la zone euro.

Le décrochage entre l'Europe et les Etats-Unis peut-il s'amplifier ?

THOMAS GRJEBINE-Il existe un vrai risque de décrochage. En 2023, la croissance devrait être deux fois plus forte aux Etats-Unis que dans la zone euro, selon le FMI. Une des causes de cet écart de croissance est la demande qui est beaucoup plus atone dans la zone euro. Au 1er trimestre, la consommation dans la zone euro n'avait toujours pas retrouvé son niveau de fin 2019. Aux Etats-Unis, la consommation dépassait au contraire ce niveau de près de 10 %.

En outre, la politique budgétaire aux Etats-Unis est beaucoup plus expansionniste. Entre juillet 2022 et juillet 2023, le déficit budgétaire américain a plus que doublé en milliards de dollars. Dans la zone euro, les politiques budgétaires risquent à l'inverse d'être plus restrictives dans les mois qui viennent.

Les critères du Pacte de stabilité avaient été suspendus depuis la crise du Covid mais ils pourraient être remis en vigueur en 2024. C'est ce qu'a annoncé la Commission européenne la semaine dernière, excluant une nouvelle prolongation de la suspension.

La plupart des banques centrales dans les pays développés poursuivent leur politique monétaire restrictive. Quels sont les principaux risques ?

THOMAS GRJEBINE-La poursuite de cette politique monétaire restrictive est délicate dans la mesure où il n'y a pas de surchauffe de l'économie, en particulier dans la zone euro. Surtout que la politique monétaire affecte l'activité avec un certain retard -une étude récente des économistes américains Romer et Romer a ainsi montré que l'effet maximal d'une hausse des taux de la Fed sur le taux de chômage intervenait plus de 2 ans après cette hausse. Le risque est ainsi que la hausse des taux comprime l'activité dans un ou deux ans, à un moment où l'inflation pourrait avoir baissé significativement d'elle-même.

Le second risque du durcissement monétaire concerne la stabilité financière. On se souvient des tensions l'année dernière sur la dette britannique qui ont conduit à la démission du gouvernement Trust. Aux Etats-Unis, il y a eu plusieurs faillites de banques régionales au printemps dernier. On assiste également à un retournement du marché de l'immobilier dans beaucoup de pays de l'OCDE et en Chine. Ce retournement peut avoir des conséquences très importantes dans les pays où l'économie est très dépendante de la construction. En Chine par exemple, le secteur de l'immobilier représente près de 30 % du PIB.

Comment les Etats peuvent-ils concilier réindustrialisation et transition écologique dans des économies ouvertes alors que les marges de manœuvre budgétaires se resserrent ?

THOMAS GRJEBINE-La réindustrialisation apparaît comme une condition de réussite de la transition écologique. Notre empreinte carbone n'est en effet pas seulement constituée des émissions directes sur notre territoire. Elle est aussi constituée des émissions associées aux biens et services qu'on importe.

En France, par exemple, près de la moitié des émissions liées à la consommation sont produites en dehors du territoire. La réindustrialisation doit ainsi permettre de rapprocher les lieux de production des lieux de consommation, et de réduire les importations de pays dans lesquels les normes environnementales sont moins fortes et les mix énergétiques plus carbonés. Concilier réindustrialisation et transition écologique suppose aussi de décarboner l'industrie existante, et d'éviter la surconsommation de biens industriels, a fortiori lorsqu'ils sont importés.

Un an après l'adoption de l'IRA par le Congrès américain, quel bilan tirez-vous de ce programme d'investissements sur l'économie européenne ?

THOMAS GRJEBINE-Il est encore trop tôt pour dresser un bilan sur l'économie européenne. Des entreprises européennes ont annoncé qu'elles allaient faire des investissements plus importants aux Etats-Unis. Mais il est encore difficile d'identifier les effets sur l'économie européenne, et en particulier s'il y a eu véritablement des délocalisations de l'Europe vers les Etats-Unis. Il est aussi difficile de savoir si des investissements qui devaient se faire en Europe vont finalement se faire outre-Atlantique.

Il existe en tout cas un contexte favorable à l'investissement industriel aux Etats-Unis, grâce notamment à la politique américaine et aux prix de l'énergie qui restent plus faibles qu'en Europe. Depuis un an, on observe un boom de la construction d'usines aux Etats-Unis. Le contraste est fort avec l'Allemagne où on observe au contraire une dynamique plutôt négative dans la construction d'usines.

Face à la concurrence intense des Etats-Unis et de la Chine, l'enjeu pour l'Europe est de ne pas passer à côté de la révolution induite par la transition écologique et l'intelligence artificielle. C'est un enjeu crucial pour maintenir notre niveau de vie, notamment par rapport aux Américains.

Propos recueillis par Grégoire Normand

 
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G20 : accord sur l'entrée de l'Union africaine, pas sur l'Ukraine et le climat


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Le président américain Joe Biden et le Premier ministre indien Narendra Modi lors de l'événement "Partenariat pour l'infrastructure et les investissements mondiaux", samedi, lors du sommet du G20 à New Delhi (Inde). Photo de l'événement : Reuters
9 septembre 2023

Le G20 a confirmé l'entrée dans son cénacle de l'Union africaine qui représente 55 pays du continent. La déclaration finale ne parle pas d'« agression » russe en Ukraine et évoque a minima la lutte contre le réchauffement climatique.

Communique : A défaut de se mettre d'accord sur l'Ukraine ou le climat, les dirigeants du G20, réunis en Inde, font le choix d'accueillir davantage de membres à leur table. Le G20 a en effet accueilli officiellement samedi l'Union africaine (UA), qui représente 55 pays, dans son cercle, main tendue à l'Afrique et à l'Inde, hôte cette année du sommet, qui s'affiche comme leader des pays du Sud. La décision du G20 a été chaleureusement saluée en Afrique. Le continent n'était jusque-là représenté au G20 que par un seul Etat, l'Afrique du Sud.

Cette intégration va donner « une voix et une visibilité » à l'Afrique, et lui permettra de faire valoir ses intérêts et ses points de vue au sein de l'instance, a souligné samedi le président kényan William Ruto. « En tant que continent, nous nous réjouissons de faire davantage avancer nos aspirations sur la scène mondiale, en utilisant la plateforme du G20 », a aussi réagi sur X (anciennement Twitter) la présidence du Nigeria, également invitée à la réunion de Delhi.

Fragile consensus

Le Premier ministre indien Narendra Modi est également parvenu à faire adopter une déclaration finale même si trouver un consensus au sein du G20 s'avère ardu tant les pays divisés sur les sujets brûlants de l'Ukraine et du climat. Si la déclaration finale dénonce ainsi l'« emploi de la force » pour obtenir des gains territoriaux, le texte ne parle pas d' « agression » russe en Ukraine, expression qu'avait utilisée en 2022 le communiqué de fin du sommet du G20 à Bali. « En ce qui concerne l'agression de la Russie contre l'Ukraine, le G20 n'a pas de quoi être fier », a fustigé le porte-parole du ministère ukrainien des Affaires étrangères, Oleg Nikolenko.

Sur le volet du climat, les chefs d'Etat du G20 n'ont même pas fait état de leur désaccord sur la réduction des énergies fossiles, comme l'avaient fait leurs ministres de l'Energie en juillet à Goa. Ils se sont contentés d'appeler à « accélérer les efforts vers la réduction de la production d'électricité à partir de charbon » non accompagnée de dispositifs de captage ou de stockage de carbone. Cela exclut de facto le gaz et le pétrole. « C'est un terrible message envoyé au monde, en particulier aux pays les plus pauvres et les plus vulnérables, qui souffrent le plus du changement climatique », a regretté Friederike Roder, vice-présidente de l'ONG Global Citizen, alors que les pays du G20 sont responsables de 80% des émissions de gaz à effet de serre.



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9 septembre 2023


 
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Bonjour Dgibe

Routes terrestres et ferroviaires qui passerons par le Pakistan ou l'Iran ou bien encore l'Afghanistan ! Restons serieux a un moment il faut arreter de delirer , l'Inde est completement enclavee , a couteaux tires avec le Pakistan , et de pays sous embargos occidental dans la lignee , nonobstant les conditions de securite inexistantes , sans meme citer la Chine au niveau economique , la seule possibilite concevable pour l'Inde est de rejoindre le reseau chinois des routes de la soie terrestres , avec une extension Inde - Chine - INSTC reseau que la Chine finance en grande partie ....

Dans le domaine maritime et aerien a l'inverse c'est realiste et ca fonctionne deja , mais il faudra doper les infrastructures logistiques indiennes qui sont insuffisantes pour de telles ambitions , en commencant par reconstruire le reseau ferre Indien datant de l'epoque coloniale britannique et qui est en cours de modernisation , ( circulation nationale ) ....

Quand au president Biden il ferait mieux de se soucier du reseau ferroviaire aux Etats Unis qui date du debut du XX siecle et qui est completement delabre mis a part un ou deux troncons , ce sont des effets d'annonces tout ca , rien que du sensationnel , de l'appat a Gogos ...


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Des nouvelles de tontonze et Nico? Ça fait déjà 2 jours qu’il est à Pékin.
Sont ils entrain de signer le contrat du siècle?
 
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G20 New Delhi Leaders’ Declaration / Pdf 37 pages 45-451954_uk-round-flag-png.png
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De mon point de vu l'adhesion de l'Ethiopie aux BRICS , Ethiopie qui est le siege de l 'Union Africaine est un meilleur calcul pour les membres actuels des BRICS , ce choix n' est pas le fruit du hasard mais une projection d'influences sur le continent Africain , * pays par pays dans l'objectif d'adhesions individuelles prochaines et influentes dans les BRICS en 2024 , * Algerie , Nigeria , afin de peser sur les decisions du continent dans l'organisation et par ricochets a l'ONU et autres organisations ...

L'adhesion soudaine et subite de l'UA au G20 est certes une avancee , mais personne n' est dupe au vu de la situation et des tensions geopolitiques Nord / Sud , de plus l'Afrique etant un continent patriarcal , par exemple certaines valeurs familiales ou des genres vehiculees par les parties occidentales risquent d'etres mal interpretees , lors des discussions ... :hum:


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.

 
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On a des nouvelles de Nico. Tout va bien pour lui à priori, il a visité Shenzhen et Shanghai pendant le week-end.


Mais il ne semble pas encore avoir rencontré Tontonze. Donc on ne sait toujours pas ce que Tontonze avait de mieux à faire que le G20.

Bonjour Dgibe

Nonobstant le petrole ( situation OPEP )+ situation economique du Venezuela , il y a d'autres interets en jeu ,* interets publies par mes soins sur le forum le 16 janvier 2023 ,entre la tournee des ministeres et presidentiels ,le repos compensatoire et les bouleversements internationaux lies a la guerre en Ukraine entrainant une redistribution des cartes au niveau geopolitique , cela expliquerai potentiellement la duree de la visite du president Maduro qui est de 6 jours ...


* Eventualites

1 /Le Venezuela propose un nouveau bloc économique régional LatAm Caraïbes > lié à la Chine et à la Russie - 2/ Les investissements chinois près du canal de Panama et du détroit de Magellan constituent une préoccupation majeure pour le Commandement Sud des États-Unis. - 3 / Les nouveaux pays candidats à l'expansion des BRICS .


 
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Bonjour Dgibe

Nonobstant le petrole ( situation OPEP )+ situation economique du Venezuela , il y a d'autres interets en jeu ,* interets publies par mes soins sur le forum le 16 janvier 2023 ,entre la tournee des ministeres et presidentiels ,le repos compensatoire et les bouleversements internationaux lies a la guerre en Ukraine entrainant une redistribution des cartes au niveau geopolitique , cela expliquerai potentiellement la duree de la visite du president Maduro qui est de 6 jours ...


* Eventualites

1 /Le Venezuela propose un nouveau bloc économique régional LatAm Caraïbes > lié à la Chine et à la Russie - 2/ Les investissements chinois près du canal de Panama et du détroit de Magellan constituent une préoccupation majeure pour le Commandement Sud des États-Unis. - 3 / Les nouveaux pays candidats à l'expansion des BRICS .


Oui, mais en fait d'après les médias il n'y a pas eu de rencontre entre les 2 dirigeants ce week-end.
Ca ne serait tarder je suppose.

Mais, ce que j'essaie de déterminer, c'est ce que Tontonze a fait ce week-end pendant le G20.

On sait que Vendredi il était dans le Heilongjiang.
Pendant le week-end, il y avait une grosse fête dans les parages à laquelle il était certainement invité. Fête probablement un peu mieux que celle du G20. Parcequ'avec les dirigeants présents au G20, ça doit être sans viande, sans alcool, sans sel (pour pas que papy Biden nous fasse un infarctus) et j'en passe.

Et puis depuis Dimanche soir, il y a encore une autre fête à Vlad et avec Vlad, toujours dans le même secteur.


Coïncidence?

Les médias occidentaux nous disent que c'est à cause de l'économie qui ne va pas bien patatati patata. Mais bon, ils sont très certainement complétement à côté de la plaque comme d'hab à nous répéter le même refrain encore et toujours....
 
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Oui, mais en fait d'après les médias il n'y a pas eu de rencontre entre les 2 dirigeants ce week-end.
Ca ne serait tarder je suppose.

Mais, ce que j'essaie de déterminer, c'est ce que Tontonze a fait ce week-end pendant le G20.

On sait que Vendredi il était dans le Heilongjiang.
Pendant le week-end, il y avait une grosse fête dans les parages à laquelle il était certainement invité. Fête probablement un peu mieux que celle du G20. Parcequ'avec les dirigeants présents au G20, ça doit être sans viande, sans alcool, sans sel (pour pas que papy Biden nous fasse un infarctus) et j'en passe.

Et puis depuis Dimanche soir, il y a encore une autre fête à Vlad et avec Vlad, toujours dans le même secteur.


Coïncidence?

Les médias occidentaux nous disent que c'est à cause de l'économie qui ne va pas bien patatati patata. Mais bon, ils sont très certainement complétement à côté de la plaque comme d'hab à nous répéter le même refrain encore et toujours....
Bonjour Dgibe

Ca je ne sais pas , mais les Etats Unis se grattent la tete actuellement dans leurs zone d'influences , Amerique Latine/Sud et par extensions logiques les Caraibes ....

11 septembre 2023
24 aout 2023
 
Introduction commerciale et démographique aux pays du G20 et analyse du sommet de 2023 By Michael Barantschik and Chris Devonshire-Ellis

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11 septembre 2023

Edito : Le sommet annuel du G20 s'est déroulé ce week-end à New Delhi, en Inde. Dans cet article complet, nous présentons un aperçu démographique de chacun des membres invités, y compris l'Union africaine, ainsi qu'une analyse des principaux points de discussion de la déclaration du sommet.

Presentation et analyses par pays et organisations >>> 45-451954_uk-round-flag-png.png

11 septembre 2023
 
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En tout cas il n'a pas l'air malade.

Il a peut-etre saisi une opportunite dans le domaine du Soft Power , va savoir ? :hum:

Extrait de ton article : "Les faits ont prouvé que la Chine est un soutien actif, un participant et un contributeur à la cause humanitaire internationale. La Chine est prête à travailler plus étroitement avec le CICR et à apporter des contributions importantes à la paix et au progrès de l'humanité", a déclaré M. Xi.

11 septembre 2023

Extrait : Interrogé sur le financement américain, Robert Mardini a indiqué que les États-Unis étaient le principal donateur de l'organisation et qu'ils avaient réduit leurs contributions pour 2023 par rapport à l'année précédente.

 
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