Hauts-de-france : un nuage de fumée « irritant et odorant mais sans toxicité aiguë »

tu n'est guere prodigue dans ce domaine et ce depuis de nombreuses annees , le forum en serait reduit a l'etat de fossilisation , si on attendait ta participation active dans l'elaboration des sus mentionnes au quotidien !
La fossilisation prend quelques années. Depuis 2015 en fait et encore une étape en 2017 avec le départ de @rugbygirl.
Après je parle essentiellement de la qualité des topics, le traffic sur le forum j'en sais foutre rien mais en actif la liste est short.
 
La fossilisation prend quelques années. Depuis 2015 en fait et encore une étape en 2017 avec le départ de @rugbygirl.
Après je parle essentiellement de la qualité des topics, le traffic sur le forum j'en sais foutre rien mais en actif la liste est short.

moi je fais dans la qualitay
jalouse pas
 
Rouen : incendie éteint, consignes de sécurité, pollution... Le point sur la situation

Le spectaculaire incendie qui s'est déclenché dans la nuit de mercredi à jeudi dans l'usine Lubrizol de Rouen, classée Seveso seuil haut, est éteint.

Extrait :
Au sur-lendemain du spectaculaire incendie dans une usine chimique classée comme particulièrement dangereuse à Rouen, en Seine-Maritime, qui n'a pas fait de victime, les inquiétudes demeurent sur les conséquences sanitaires et écologiques de cet accident industriel et la sécurité du site.



 
Incendie à Rouen : «un état habituel de la qualité de l'air» (Préfet)

Extrait : Le préfet de Seine-Maritime Pierre-André Durand a indiqué samedi 28 septembre que la situation de l'air à Rouen était habituelle, trois jours après l'incendie de l'usine Lubrizol. «Nous avons un état habituel de la qualité de l'air à Rouen, à l'exception du site où il y a des relevés de benzène», a-t-il dit. Toutefois, il a reconnu qu'il y avait une odeur persistante et anxiogène dans la ville.



C'est une bonne nouvelle !
 
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Incendie à Rouen : l'Aisne et la Somme gèlent les récoltes

Après la préfecture de Seine-Maritime, les préfectures de la Somme et de l'Aisne interdisent «à titre conservatoire» sur une cinquantaine de communes la récolte des cultures et de denrées alimentaires d'origine animale «en raison de la suspicion de contamination liée» aux retombées des fumées de l'incendie de l'usine Seveso de Lubrizol à Rouen.

Extrait :
Le lait, le miel collectés et les œufs d'élevage en plein air pondus depuis jeudi «sont consignés sous la responsabilité de l'exploitant jusqu'à l'obtention de garanties sanitaires sur les productions, sur la base de contrôles officiels,» peut-on lire dans les arrêtés publiés dimanche. «A défaut de garanties sanitaires satisfaisantes, ces productions seront retirées de la consommation humaine et de l'alimentation animale et détruites», ajoutent les textes.

Des suies relevées à Lille

Les cultures végétales non récoltées avant jeudi ou susceptibles d'avoir été exposées aux contaminations sont également consignées. Le non-respect de cette mesure est puni de deux ans de prison et d'une amende de 300.000 euros. Une fois la consignation levée, la mise sur la marché «s'effectuera sous la responsabilité de l'exploitant» qui devra faire lui-même des contrôles de conformité sanitaire de ses produits.





 
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Catastrophe de Lubrizol à Rouen : questions autour de la gestion d'une crise

Après le gigantesque incendie qui a ravagé le dépôt de l'usine Lubrizol à Rouen dans la nuit de mercredi à jeudi, de plus en plus de voix s'élèvent parmi les élus pour dénoncer la communication lacunaire pour ne pas dire infantilisante des services de l'Etat.

Extrait :
Retour de week-end compliqué pour les Rouennais qui avait profité de la pause de la fin de semaine pour fuir l'atmosphère nauséabonde de leur ville. Dimanche soir en dépit d'un vent soutenu, des odeurs persistantes, mélange d'hydrocarbures et d'œuf pourri, planaient encore sur tout l'ouest de l'agglomération. « J'ai l'impression de rentrer dans une cuve de fuel. Même si je ne suis pas d'un naturel inquiet, ce n'est pas franchement rassurant », confie une habitante de retour après deux jours d'absence. Comment des centaines d'autres, sa maison a été survolée par l'énorme panache de fumée pendant toute la matinée du jeudi et reste imprégnée.
Communication lacunaire et consignes désordonnées

Quatre jours après le sinistre qui a ravagé le dépôt de l'usine Lubrizol, l'inquiétude demeure vive parmi la population et la colère monte chez les élus. Si la gestion de l'incendie par les services de secours est unanimement saluée, il n'en va pas de même de la gestion de la communication par les services de l'Etat. Incriminés ? Des consignes désordonnées et des messages par trop lacunaires, telle cette promesse d'une « absence de toxicité aigüe » répétée en boucle par la préfecture pendant les premières 48 heures sans autre forme de précision. « Aigüe, c'est le contraire de grave non ? » ironisait un confrère journaliste en salle de presse. Résultat, des maires déboussolés bien en peine de répondre aux interrogations légitimes de leurs administrés. « Faute d'information claire, les élus ont été livrés à eux-mêmes et des gens ont littéralement fui », peste le député PS de Seine-Maritime, Christophe Bouillon. « Si 14 communes ont été efficacement prévenues, d'autres très proches voire à proximité immédiate du site ont été informées de manière aléatoire », constate pour sa part la sénatrice centriste, Catherine Morin-Dessailly.

Pour Cyrille Moreau, vice-président EELV de la Métropole Rouen Normandie en charge de l'environnement, cet accident remet en cause la doctrine de l'Etat. « Tant que l'information n'est pas validée par trois cachets, elle n'est pas rendue publique. * Cette culture du secret, qui a pour but d'éviter la panique, s'apparente à du déni. Elle produit en réalité un effet exactement contraire. Sans compter qu'elle expose la population à des fake news ».



* Le changement dans la continuite avec les declarations a chaud des procureurs , prefets et autres ministres , dormez tranquilles braves gens tout va bien !
 
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Catastrophe de Lubrizol à Rouen : questions autour de la gestion d'une crise

Après le gigantesque incendie qui a ravagé le dépôt de l'usine Lubrizol à Rouen dans la nuit de mercredi à jeudi, de plus en plus de voix s'élèvent parmi les élus pour dénoncer la communication lacunaire pour ne pas dire infantilisante des services de l'Etat.

Extrait :
Retour de week-end compliqué pour les Rouennais qui avait profité de la pause de la fin de semaine pour fuir l'atmosphère nauséabonde de leur ville. Dimanche soir en dépit d'un vent soutenu, des odeurs persistantes, mélange d'hydrocarbures et d'œuf pourri, planaient encore sur tout l'ouest de l'agglomération. « J'ai l'impression de rentrer dans une cuve de fuel. Même si je ne suis pas d'un naturel inquiet, ce n'est pas franchement rassurant », confie une habitante de retour après deux jours d'absence. Comment des centaines d'autres, sa maison a été survolée par l'énorme panache de fumée pendant toute la matinée du jeudi et reste imprégnée.
Communication lacunaire et consignes désordonnées

Quatre jours après le sinistre qui a ravagé le dépôt de l'usine Lubrizol, l'inquiétude demeure vive parmi la population et la colère monte chez les élus. Si la gestion de l'incendie par les services de secours est unanimement saluée, il n'en va pas de même de la gestion de la communication par les services de l'Etat. Incriminés ? Des consignes désordonnées et des messages par trop lacunaires, telle cette promesse d'une « absence de toxicité aigüe » répétée en boucle par la préfecture pendant les premières 48 heures sans autre forme de précision. « Aigüe, c'est le contraire de grave non ? » ironisait un confrère journaliste en salle de presse. Résultat, des maires déboussolés bien en peine de répondre aux interrogations légitimes de leurs administrés. « Faute d'information claire, les élus ont été livrés à eux-mêmes et des gens ont littéralement fui », peste le député PS de Seine-Maritime, Christophe Bouillon. « Si 14 communes ont été efficacement prévenues, d'autres très proches voire à proximité immédiate du site ont été informées de manière aléatoire », constate pour sa part la sénatrice centriste, Catherine Morin-Dessailly.

Pour Cyrille Moreau, vice-président EELV de la Métropole Rouen Normandie en charge de l'environnement, cet accident remet en cause la doctrine de l'Etat. « Tant que l'information n'est pas validée par trois cachets, elle n'est pas rendue publique. Cette culture du secret, qui a pour but d'éviter la panique, s'apparente à du déni. Elle produit en réalité un effet exactement contraire. Sans compter qu'elle expose la population à des fake news ».



Le changement dans la continuite avec les declarations a chaud des procureurs , prefets et autres ministres , dormez tranquilles braves gens tout va bien !

d'où on voit l'importance des maires, et surtout qu'ils sont et seront les premiers visés ou à qui on demandera des comptes
https://sosmaires.org/
 
d'où on voit l'importance des maires, et surtout qu'ils sont et seront les premiers visés ou à qui on demandera des comptes
https://sosmaires.org/
Mon bon Mahu
J'ai decide de ne plus me poser de questions ou tout du moins de les afficher sur le forum au niveau des declarations des procureurs et autres prefets qui affirment sur les ruines encore fumantes les causes ou retombees des sinistres . J'ai pris la resolution de ne plus etre un vil comploteur parano !

Si les autorites ont affirmes dans les minutes et les heures qui on suivi la catastrophe: Tout va bien , l'air est pur comme avant , il n'y a pas de risque de pollution majeure ,c'est que c'est vrai ! :dieu:

....
 
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Mon bon Mahu
J'ai decide de ne plus me poser de questions ou tout du moins de les afficher sur le forum au niveau des declarations des procureurs et autres prefets qui affirment sur les ruines encore fumantes les causes ou retombees des sinistres . J'ai pris la resolution de ne plus etre un vil comploteur parano !

Si les autorites ont affirmes dans les minutes et les heures qui on suivi la catastrophe: Tout va bien , l'air est pur comme avant , il n'y a pas de risque de pollution majeure ,c'est que c'est vrai ! :dieu:

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nan mais, y a pas de complotisme à effrayer les petites filles de crédible quand on a affaire à des déclarations de pensez-printemps-mes-amis
 
nan mais, y a pas de complotisme à effrayer les petites filles de crédible quand on a affaire à des déclarations de pensez-printemps-mes-amis

Meme eux on des doutes , comment ne pas embrouiller mon pauvre esprit pertube , met toi a ma place ! :cry:

Extrait : «Cette usine est fermée évidemment», a-t-elle indiqué. «Il ne devait pas y avoir un incendie de ce type donc tant qu'on n'aura pas compris pourquoi on y a eu un incendie important, alors qu'il y a beaucoup de dispositifs pour éteindre l'incendie dès qu'il y a le moindre échauffement, évidemment ce site restera fermé.» «Cet incendie n'est pas normal. Ce site a été contrôlé dix fois en deux ans», a-t-elle ajouté.

 
Extrait : «La vidéosurveillance et des témoins oculaires indiquent que le feu a tout d'abord été observé et signalé à l'extérieur du site de Lubrizol Rouen, ce qui suggère que l'origine du feu est extérieure à Lubrizol et que le feu s'est malheureusement propagé sur notre site», détaille le groupe. «Nous continuons de soutenir les forces de l'ordre pour les besoins de l'enquête afin de déterminer l'origine et la cause du feu», ajoute-t-il.


 
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Une usine Seveso seuil haut «mise à l'arrêt» dans l'agglomération de Rouen

Une usine chimique, classée Seveso seuil haut à Grand-Quevilly, près de Rouen, a été «mise à l'arrêt» depuis 7h45, a annoncé la préfecture de Seine-Maritime, précisant qu'il n'y avait pas d'incendie.


Communique :
«L'usine Borealis (production d'engrais) (...) a déclenché son POI (Plan d'Organisation Interne) à la suite d'une perte d'alimentation électrique qui nécessite sa mise à l'arrêt pour mise en sécurité de l'installation», a indiqué la préfecture dans un communiqué, cinq jours après l'accident de l'usine chimique Lubrizol à Rouen.

 
Calais: début d'incendie rapidement maîtrisé dans une usine Seveso seuil haut

Un début d'incendie s'est déclaré mercredi après-midi dans l'usine Interor de Calais, classée Seveso seuil haut, mais a été rapidement maîtrisé par les personnels de sécurité du site, a indiqué la préfecture du Pas-de-Calais.

Communique :
Ce «début d'incendie s'est déclaré aux alentours de 16h30» au sein de l'entreprise, qui «produit des intermédiaires de synthèse de chimie organique destinés en majorité à l'industrie pharmaceutique et à la chimie fine», détaille la préfecture dans un communiqué, évoquant un «feu de 50 litres de Toluène», un hydrocarbure aromatique.
Mais «l'équipe de sécurité présente sur le site en permanence est intervenue» et l'a «rapidement maîtrisé». Les pompiers ont constaté dès leur arrivée «que l'incident était circonscrit et qu'il n'y avait pas de risque de propagation ni de risque de pollution par fuite d'eau», assurent les autorités.

La cause du sinistre n'est «pas connue à ce stade» mais «l'inspection des installations classées» s'est rendue sur place, ajoute la préfecture. Quatre salariés ont été «conduits au centre hospitalier par mesure de précaution».
Il y a près d'un mois, un important incendie avait ravagé l'usine Lubrizol de Rouen, classée Seveso seuil haut. Quelque 5253 tonnes de produits chimiques avaient brûlé, ainsi que 4250 tonnes de produits dans des entrepôts de l'entreprise voisine Normandie Logistique, également touchée (dont 1691 tonnes venant aussi de Lubrizol).