Entretien :Le politiquement correct se radicalise au rythme où la société diversitaire se décompose

lafoy-china

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08 Mar 2009
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FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Dans une charge contre le multiculturalisme et le politiquement correct, le sociologue québécois puise dans l'actualité récente des exemples éloquents : suppression du mot «race» de la Constitution, passages piétons aux couleurs de la gay pride à Paris... Un entretien sans concession.


FIGAROVOX.- Sur fond de moralisation de la question migratoire et de radicalisation féministe, les députés ont voté en commission le retrait du terme «race» de l'article 1er de la Constitution et y ont également introduit l'interdiction de «distinction de sexe». Que cela vous inspire-t-il?

Mathieu BOCK-CÔTÉ.-
Cela faisait un bon moment que la proposition d'un retrait du terme «race» de la Constitution traînait dans le paysage politique. On rappelle avec raison que François Hollande en avait fait la promesse lors de l'élection présidentielle de 2012. Le raisonnement est le suivant: si les races n'existent pas, comme on le dit aujourd'hui, pourquoi les mentionner? Ils y voient l'aboutissement constitutionnel d'un antiracisme authentique. Pourquoi pas?

Mais il y a néanmoins un paradoxe étonnant sur lequel on doit se pencher: c'est au moment où on veut bannir le mot race que la question raciale resurgit au cœur de la vie politique, à travers l'action des groupuscules identitaires d'extrême-gauche, dont les Indigènes de la République sont emblématiques. La mouvance indigéniste entend achever la décolonisation en dénationalisant la France, ce qui implique à la fois sa soumission et sa conversion à un multiculturalisme qui veut non seulement réintroduire la race dans le débat public, mais qui veut en faire la catégorie fondatrice de la citoyenneté et de la représentation. Elle pousse à une racialisation des appartenances qui accule ensuite au séparatisme racial revendiqué, comme on le voit avec la multiplication des «rencontres non-mixtes pour personnes racisées» dans le milieu universitaire, pour emprunter les termes de la novlangue diversitaire. En fait, si on se penche un peu sur les textes de référence de cette mouvance, on constate qu'elle cultive un racisme antiblanc décomplexé. S'il y a une tentation raciste en France, elle vient de là. La mouvance indigéniste excite le repli communautariste et cherche à fissurer le noyau intime de la nation. Mais cela ne semble pas troubler exagérément les grands médias, qui accueillent les représentants de cette mouvance à la manière de grands démocrates. La haine raciale est officiellement proscrite, sauf lorsqu'elle vise ceux qu'on nous invite à appeler les «Blancs» parce qu'il s'agirait simplement d'une critique des «dominants» par les «racisés». La mauvaise conscience occidentale a de l'avenir.

Qu'on me permette un mot sur cette sociologie racialiste qui s'impose de plus en plus dans l'université. Faut-il mettre le Français, l'Allemand, l'Écossais, l'Anglais, le Russe, le Letton, le Québécois et le Néerlandais dans la même catégorie parce qu'ils sont «Blancs»? Faut-il faire de même avec le Malien, l'Haïtien, le Kenyan et l'Afro-Américain parce qu'ils sont «Noirs»? Cette racialisation débile des appartenances est incroyablement régressive: elle pousse à l'abolition de l'histoire et de la culture pour naturaliser les groupes humains en grandes catégories zoologiques. Mais puisque cette proposition vient de la gauche, ou du moins, d'une certaine frange de la gauche radicale, on l'accueille favorablement, ou du moins, sans trop la condamner.

Alors devant cela, je me demande quel est le sens de ce vote des députés, qui me semblent incroyablement détachés du réel politique, auquel ils devraient pourtant porter attention. Que pensent les députés qui se sont ralliés à cet amendement de cette effrayante racialisation des appartenances?

Suite de l'entretien >>>


Source : LE FIGARO
 
J'ai hésité à le mettre dans le con de la semaine, mais il semble avoir sa place ici.

https://twitter.com/Revue_elements/status/1013038966285758466

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Attention aux stéréotypes, je ne suis pas en train d écrire sur bonjour Chine, ni participer a ce sujet.
 
Bonjour Monsieur Lafoy,

Je suis un Amérloque hétérosexuel de la race blanche. Il est très agréable que la plupart des Chinois considèrent que ce sont des aspects positifs et non un stigmate.

Dans deux ou trois ans, j'aurai économisé suffisamment d'argent pour continuer mes études en Belgique, en France, en Espagne ou en République de Chine. Si on va étudier dans un pays étranger, il est utile pendant les premières années difficiles que les indigènes ne soient pas hostiles. En ce sens, l'Espagne, Taïwan et la Belgique pourraient être meilleurs pour moi que la France.

Bien cordialement,

Stephen唐士明Thomas
 
Bonjour Monsieur Lafoy,

Je suis un Amérloque hétérosexuel de la race blanche. Il est très agréable que la plupart des Chinois considèrent que ce sont des aspects positifs et non un stigmate.

Dans deux ou trois ans, j'aurai économisé suffisamment d'argent pour continuer mes études en Belgique, en France, en Espagne ou en République de Chine. Si on va étudier dans un pays étranger, il est utile pendant les premières années difficiles que les indigènes ne soient pas hostiles. En ce sens, l'Espagne, Taïwan et la Belgique pourraient être meilleurs pour moi que la France.

Bien cordialement,

Stephen唐士明Thomas
Bonjour Stephen
Merci de me prendre pour temoin mais je poste un sujet dont le debat peut etre constructif , mais rien ne peut vous laisser penser que j'adhere a ce constat sur le fond pas plus que sur la forme car tout ceci demande une profonde reflexion !

L'evolution de la societe est trop complexe pour tout jugements a l'emporte piece ...

Bonne journee et agreable semaine a toutes et a tous ...
 
les indigènes ne soient pas hostiles.

Petit rappel : le continent américain a été découvert depuis 526 ans et aller de l'Europe vers l'Asie, ne nécessite plus de contourner le Cap de Bonne Espérance ...
 
Bonjour Monsieur Malang,

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Bien cordialement,

Stephen唐士明Thomas

On est joueur, alors on va jouer ...

Les Inuits ...

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Il y a 23.000 ans, venant de Sibérie, la glaciation sévissant à l'époque permettant la traversée du détroit de Béring, sur une période de 6.000 ans ...

Qui dit mieux ?
 
Bonjour Monsieur Malang,

En fait, les indigènes de la France ont découvert l'Amérique - 10 000 ans avant les Inuits.

Adding to the weight of evidence is fresh analysis of stone knife unearthed in the US in 1971 that revealed it was made of French flint.

https://www.telegraph.co.uk/news/ne...e-the-first-to-set-foot-on-North-America.html

Bien cordialement,

Stephen唐士明Thomas

C'est une théorie en effet mais les derniers tests et regroupements génétiques des populations sur le continent américain, réfutent totalement cette hypothèse ...

Même en affinant les recherches avec d'autres prélèvements d'ADN, les chances que cette théorie soit validée, sont minces, voir nulles ...
 
Le sociologue attaque le gauchisme boboïsé mais il oubli au passage le libéralisme, son allié objectif.

Le dénigrement de la nation et la logorrhée anti-frontière fait le jeu aussi bien du grand capital que du multiculturalisme -en vérité de l'uniculturalisme en tant que destruction de la diversité au profit d'un globalisme nauséeux insipide et sans consistance.

Même si je partage assez son constat il n'est pas très honnête d'attaquer sur un seul des tableaux. Mais cela plaît sans doute d'avantage à l'electorat du Figaro.
Il est évident que ces deux forces s'épaulent pour arriver à la situation qu'il expose. Si ce n'était pas le cas, les abbérations qui nous parviennent ((car pour ma part je ne la regarde plus depuis 7 ans)) de ce qu'il se dit sur les plateaux de télé n'existeraient pas.

Sur la question raciale, je trouve tout de même assez cocace que le mot "race" soit tabou dans deux pays uniquement : Allemagne et France.
Pour 95% de la population mondiale, il ne fait aucun doute que les races sont un fait. Ici, on ne parle pas de "pureté" raciale, qui n'existe pas. Mais d'un certain patrimoine génétique de grands ensembles de population qui se démarque assez facilement d'autres grands ensembles de population.

Le terme "race" a été confondu volontairement avec le terme "espèce". Il est évident qu'il y a une seule espèce humaine et non plusieurs.
Comme il est évident qu'il existe plusieurs races, sans même analyse génétique il suffit d'ouvrir les yeux. (avec plus ou moins de métissage bien évidemment)
Tout comme il est évident qu'il existe différentes ethnies.

Si l'on suit la logique gauchiste, on devrait aussi amener au tabou le terme "ethnie". Nous n'en sommes pas encore là, mais c'est sans doute pour bientôt.

ps : j'oubliais, en dessous de l'ethnie il y a la tribu, le clan et la famille.
Pour la famille, le travail de sape a déjà été fait...
 
Dernière édition:
C'est une théorie en effet, mais les derniers tests et regroupements génétiques des populations sur le continent américain, réfutent totalement cette hypothèse ...

Même en affinant les recherches avec d'autres prélèvements d'ADN, les chances que cette théorie soit validée, sont minces, voir nulles ...

Bonjour Monsieur Malang,

En effet.

Même les racialistes blancs de Metapedia ne sont pas vraiment enthousiasmés par l'hypothèse solutréenne.

Cependant, les rares tests génétiques que les autochtones permettent semblent indiquer que l'un de leurs présumés ancêtres (il y a 12 600 ans) est en partie issu d'Européens. (L'article suivant provient d'un magazine politiquement correct de haute qualité en provenance d'Allemagne.)

Un segment intéressant qui montre les problèmes idéologiques (righteous science) dans la recherche :

Although American museums house the remains of many pre-historic inhabitants of North America, DNA analysis of them has largely been blocked by resistance from their descendants.

http://www.spiegel.de/international...ve-americans-had-european-roots-a-954675.html

Bien cordialement,

Stephen唐士明Thomas




 
Sur la question raciale, je trouve tout de même assez cocace que le mot "race" soit tabou dans deux pays uniquement : Allemagne et France.
Pour 95% de la population mondiale, il ne fait aucun doute que les races sont un fait. Ici, on ne parle pas de "pureté" raciale, qui n'existe pas. Mais d'un certain patrimoine génétique de grands ensembles de population qui se démarque assez facilement d'autres grands ensembles de population.

En fait pas vraiment. Le "probleme" c'est qu'il n'y a pas vraiment de frontiere claire entre, par exemple, un noir et un blanc. Il existe une infinite de variations possibles entre les deux.
C'est un peu le meme principe que pour les couleurs, y a pas de frontiere claire entre du rouge et de l'orange, de l'orange et du jaune, etc. Pour les couleurs le probleme est un peu plus facile a resoudre puisqu'on peut decider arbitrairement de definir un intervalle allant d'une longueur d'onde X a une longueur d'onde Y comme etant telle ou telle couleur. Mais ca ne marche pas pour des caracteristiques morphologiques, ou la couleur n'est pas le seul critere de differenciation (un aborigene ou un indien peuvent avoir la meme couleur de peau qu'un africain par exemple).

On pourrait alors se dire qu'il suffirait de comparer le materiel genetique de telle "race" supposee face a une autre pour determiner une sorte de pattern definissant tel ou tel groupe. Il semble que cela ait ete fait et les resultats (de ce que je sais en tout cas) indiquent qu'il existe davantage de differences au sein d'une "race" supposee qu'entre deux personnes de races differentes en moyenne.
Du coup c'est pour ca que parler de race n'a pas de sens du point de vue scientifique, c'est pas juste un truc de bobo bien pensant comme on pourrait le croire.
 
Le sociologue attaque le gauchisme boboïsé mais il oubli au passage le libéralisme, son allié objectif.

Le dénigrement de la nation et la logorrhée anti-frontière fait le jeu aussi bien du grand capital que du multiculturalisme -en vérité de l'uniculturalisme en tant que destruction de la diversité au profit d'un globalisme nauséeux insipide et sans consistance.

Même si je partage assez son constat il n'est pas très honnête d'attaquer sur un seul des tableaux. Mais cela plaît sans doute d'avantage à l'electorat du Figaro.
Il est évident que ces deux forces s'épaulent pour arriver à la situation qu'il expose. Si ce n'était pas le cas, les abbérations qui nous parviennent ((car pour ma part je ne la regarde plus depuis 7 ans)) de ce qu'il se dit sur les plateaux de télé n'existeraient pas.

Sur la question raciale, je trouve tout de même assez cocace que le mot "race" soit tabou dans deux pays uniquement : Allemagne et France.
Pour 95% de la population mondiale, il ne fait aucun doute que les races sont un fait. Ici, on ne parle pas de "pureté" raciale, qui n'existe pas. Mais d'un certain patrimoine génétique de grands ensembles de population qui se démarque assez facilement d'autres grands ensembles de population.

Le terme "race" a été confondu volontairement avec le terme "espèce". Il est évident qu'il y a une seule espèce humaine et non plusieurs.
Comme il est évident qu'il existe plusieurs races, sans même analyse génétique il suffit d'ouvrir les yeux. (avec plus ou moins de métissage bien évidemment)
Tout comme il est évident qu'il existe différentes ethnies.

Si l'on suit la logique gauchiste, on devrait aussi amener au tabou le terme "ethnie". Nous n'en sommes pas encore là, mais c'est sans doute pour bientôt.

ps : j'oubliais, en dessous de l'ethnie il y a la tribu, le clan et la famille.
Pour la famille, le travail de sape a déjà été fait...

Eh ben ! En lisant ce commentaire ça m'a rappelé Desproges a propos du "journal" Minute, on a à la fois la nausée et les mains sales ( les yeux pour le coup) quel talent !
 
En fait, si on se penche un peu sur les textes de référence de cette mouvance, on constate qu'elle cultive un racisme antiblanc décomplexé. S'il y a une tentation raciste en France, elle vient de là.

Est-ce qu'on peut prendre au sérieux quelqu'un qui parle encore de racisme anti-blanc en France ? Et qui ose dire que la tentation raciste vient des personnes qui sont justement visées par le racisme ? Je suis assez d'accord, pour des raisons différentes, avec le rejet du politiquement correct ou même avec l'instrumentalisation faite de la xénophobie mais j'ai du mal à accorder du crédit à un sociologue qui refuse justement de voir les inégalités telles qu'elles sont dans nos sociétés occidentales.

Ce que Bock-Côté appelle le "racisme anti-blanc" n'est qu'une simple réaction de groupes minoritaires qui subissent le racisme, social ou institutionnel, et qui ne vise pas une personne / un groupe en tant que blanc mais en tant que dominant.

Sur la question de la démarche des mouvements non-mixtes et racisés il se trouve que j'ai récemment remis en cause mon opinion dessus, alors que j'y étais assez opposé au départ. Je pense que pour lutter contre ces problématiques (racisme, discrimination due au sexe ou à l'orientation sexuelle etc) il est indispensable que des personnes du groupe dominant se mobilisent, puisque ce faisant elle participe à la légitimation du mouvement. Pour autant, il est absolument nécessaire que les groupes dominés aient la possibilité d'avoir des espaces où ils puissent s'exprimer et se construire en tant que tels sans se plier aux normes des dominants dans la construction même. Bien sûr ça ne sous-entend pas que les normes de ces groupes sont systématiquement différentes de celles des dominants, mais c'est simplement poser l'exigence de leur laisser le choix (d'être libre donc) dans la définition des normes.

Quant à l'obsession autour de la "société diversitaire", voici une lecture intéressante sur ce que cette caricature pourrait désigner : Qu'est-ce que la pensée post-coloniale, Achille Mbembe.
 
Est-ce qu'on peut prendre au sérieux quelqu'un qui parle encore de racisme anti-blanc en France ? Et qui ose dire que la tentation raciste vient des personnes qui sont justement visées par le racisme ? Je suis assez d'accord, pour des raisons différentes, avec le rejet du politiquement correct ou même avec l'instrumentalisation faite de la xénophobie mais j'ai du mal à accorder du crédit à un sociologue qui refuse justement de voir les inégalités telles qu'elles sont dans nos sociétés occidentales.

Ce que Bock-Côté appelle le "racisme anti-blanc" n'est qu'une simple réaction de groupes minoritaires qui subissent le racisme, social ou institutionnel, et qui ne vise pas une personne / un groupe en tant que blanc mais en tant que dominant.

Sur la question de la démarche des mouvements non-mixtes et racisés il se trouve que j'ai récemment remis en cause mon opinion dessus, alors que j'y étais assez opposé au départ. Je pense que pour lutter contre ces problématiques (racisme, discrimination due au sexe ou à l'orientation sexuelle etc) il est indispensable que des personnes du groupe dominant se mobilisent, puisque ce faisant elle participe à la légitimation du mouvement. Pour autant, il est absolument nécessaire que les groupes dominés aient la possibilité d'avoir des espaces où ils puissent s'exprimer et se construire en tant que tels sans se plier aux normes des dominants dans la construction même. Bien sûr ça ne sous-entend pas que les normes de ces groupes sont systématiquement différentes de celles des dominants, mais c'est simplement poser l'exigence de leur laisser le choix (d'être libre donc) dans la définition des normes.

Quant à l'obsession autour de la "société diversitaire", voici une lecture intéressante sur ce que cette caricature pourrait désigner : Qu'est-ce que la pensée post-coloniale, Achille Mbembe.
Bouuuh le méchant blanc dominant.
Qu'est-ce qu'il faut pas lire comme conneries.

Tu confonds un truc fondamental, à savoir l'inégalité des chances et l'inégalité des résultats.
En France et dans toutes les sociétés occidentales, on a accompli l'égalité des chances. Un noir a autant de chance qu'un blanc ou qu'un asiatique de réussir. On peut même devenir président en étant noir, même avec seulement 13% de noirs qui composent la population. Ah ces blancs, des gros racistes.
C'est le genre de raisonnement qui te fait acheter un tapis de prière et une burqa pour ta femme, de peur d'être un peu trop dominant.
S'exprimer et se construire sans se plier aux normes des dominants... Est-ce que tu veux un peu de vaseline.
La white guilt c'est un peu l'exact opposé de la dominance d'ailleurs. As-tu perdu ton groupe dominant en forêt ?

À partir du moment où tu reconnais qu'il y a des "racisés" et que ces "racisés" ne font pas partie du même groupe que les "blancs", c'est que tu es déjà un peu raciste.
Mais le bon raciste, celui qui veut aider les sous races à s'émanciper pour égaler sa propre race supérieure.

C'est juste hyper glauque.
 
Ceux qui prendront la peine de s'intéresser à ce que devient aujourd'hui l'université américaine et aux types de controverses qui l'animent seront sincèrement horrifiés.

http://www.lefigaro.fr/vox/societe/...me-o-la-societe-diversitaire-se-decompose.php

Salut !

Les Chinois ont eu leur grande révolution culturelle prolétarienne. Si vous souhaitez voir comment se développe la révolution culturelle unaméricaine* de taille moyenne** : je suggère de mettre les concepts suivants dans un moteur de recherche : "cultural appropriation", "safe spaces", "microaggressions", "trigger warnings", etc.

Si vous souhaitez vous amuser, je vous propose d'aller sur les forums et les blogs de ces fanatiques autoritaires. S'il vous plaît écrire en français. S'ils vous causent alors problèmes, vous pouvez vous plaindre de la discrimination linguistique contre la minorité francophone (virtuelle) aux États-Unis. Essayez aussi d'aider ces demi-éduqués s'ils font des fautes d'orthographe ou de grammaire en anglais - en corrigeant leurs messages en rouge ... :)

Bien cordialement,

Stephen唐士明Thomas

*Le mot « américain » ici pourrait être considéré comme une discrimination contre tous les autres pays des Amériques. De plus, comme beaucoup de Français, ces militants sont légèrement opposés aux États-Unis. Alors que pour les Français cette xénophobie est surtout à la mode (sans réflexion intellectuelle); pour les social justice warriors, cette haine de soi est plus idéologique.

**Le mot « grand » pourrait être vu comme une discrimination contre les personnes de petite taille.