« En Syrie, le viol était le maître mot »

Aucun respect les gens vraiment... Sujet sérieux qui part en vrille
 
Apparemment balancer des noms, des endroits, des dates precises, un dossier complet.
Apres, a qui? Puisqu' apparemment on ne peut pas faire confiance aux journalistes, ni aux hommes politiques ou meme aux institutions supra nationales telles que le TPI...
Donc tout un tas de trucs qui de toutes facons ne calmeront pas les doutes des sceptiques, ca ne fera que repousser leurs questionnements d'un cran.

A ceux qui doutent (a tort ou a raison, peu m'importe, je ne juge pas vu que la possibilite que vous ayez raison n'est pas nulle, moi meme je n'en sais rien), posez vous la question de ce qui pourrait effectivement vous convaincre reellement, en etant honnetes avec vous meme.

En y pensant, les articles du journal Le monde déjà. Ils ont jamais été vraiment objectifs sur des sujets de politique international / témoignages et autres, tu as souvent d'une partie de l'histoire ou de la vérité. C'est pour ça que je lis plus leurs articles hormis si ils sont posté sur le forum. J'ai pas compris d'ailleurs pourquoi l'article était indiqué "par Annick Cojean" pour avoir ensuite que des référence à cette personne ? A t'elle écrit l'article puis parle d'elle à la 3eme personne, quelqu'un d'autre à écrit l'article ?

Après je regarde la tournure du témoignage une nouvelle, et non je me dis réellement que quelque chose cloche à certains endroits. Je regarderai peut être ce week end le documentaire en question, en espérant y voir des témoignages de femmes du régime Syrien prisonnière des rebelles afin d'avoir également leur point de vue sur leur détention. Ou le témoignages de femmes prisonnières qui avaient réellement aucun lien avec les rebelles. De mon point de vue, afin d'être convaincu, j'ai besoin de plusieurs sons de cloches. Un récit pas assez. Un récit avec preuve, on peut commencer à y croire. Plusieurs récits indépendants avec preuves, le top.

Mais dans un élan de vérité, si vous vous croyez complètement à ce témoignage, et penser que c'est Bachar qui devrait être jugé, je vous invite trouver le coupable en vous regardant dans un miroir. C'est en grande partie la France qui a financé (avec nos impôts) cette belle rébellion dans un état qui était stable avant celle ci, tout ça pour faire échouer la construction d'un projet de pipeline qui passait par la Syrie et L'Iran, mais ne favorisait pas nos autres alliés du monde arabes. C'est donc l'utilisation de gens "épris de liberté" que nous avons bien utilisé pour nos intérêts en les faisant crever pour cela, tout en créant DAESH au passage. Donc c'est normal qu'on en ai rien à foutre d'eux et qu'on évite d'en parler, puisqu'on les a utilisé comme chair à canon pour des intérêts économiques.

C'est tellement plus occidental de peindre Bachar en boucher pour justifier nos guerres. On se sent mieux de le bombarder et de tuer ces soldats, qui sont des humains également tiens, plutôt que de trouver une solution pour les gens et non pas pour notre portefeuille.
 
J'ai la certitude que les articles émotions avec les titres "Un cri dans la nuit syrienne", "Le maitre mot était le viol", "Il n'y avait plus que l'horreur" etc. sont des procédés bien connus et qui fonctionnent pour orienter l'opinion vers un camps. Tout a été mis en œuvre au niveau des médias pour faire apparaitre Bachar comme le mal absolu, même Fabius s'y était mis! J'ai personnellement plus confiance dans une armée d'un pays et donc structure que dans les bandits de Daesh ou les "rebelles". Le vent ayant tourne Bachar est aujourd'hui plus fréquentable, comme quoi! Mais il est vrai qu'un petit article avec un témoignage par Skype peut ressurgir parfois. Et je pense aussi que ces gens ne font pas un métier de journaliste. Après on peut discuter sans fin sur l'absence de preuve ou la preuve de l'absence comme le dit Taleb... Et puis pour aller jusqu'au bout cet article est déjà du troll a la base, le relayer aussi. Donc après cela n'est pas étonnant que ça parte en troll tout simplement.
 
Vive Bachar Al ASsad ! Que la résistance de Bachar puisse perdurer et remettre de l'ordre dans ce pays qui était merveilleux sous le reigne de la famille Assad jusqu'en 2011.
 
Reportage : "Syrie, le cri étouffé"