Elections Etats Unis 2024 - Trump ? vs Biden ?

Pensez vous que Donald Trump sera reelu President des Etats Unis ?

  • Oui !

    Votes: 31 50,8%
  • Non !

    Votes: 11 18,0%
  • Joe Biden Elu President des Etats Unis : Oui !

    Votes: 13 21,3%
  • Joe Biden Elu President des Etats Unis : Non !

    Votes: 7 11,5%
  • Ni l'un ni l'autre votez Pangolinou !

    Votes: 12 19,7%

  • Nombre total d'électeurs
    61
Live Updates: Le groupe bipartisan demande à l'administration Trump d'entamer le processus de transition post-électorale

Le conseil consultatif du Centre pour la transition présidentielle demande instamment à l'administration Trump d'aller de l'avant " pour commencer immédiatement le processus de transition post-électoral ".

Communique :
En attendant, le président élu Joe Biden a indiqué dimanche qu'il prévoit d'agir rapidement pour construire son gouvernement, alors que le président Donald Trump continue de contester les résultats de l'élection et refuse la concession.
M. Biden lance un groupe de travail sur les coronavirus, qui sera coprésidé par l'ancien chirurgien général, le Dr Vivek Murthy, et l'ancien commissaire de l'administration des aliments et des médicaments, le Dr David Kessler.

Un calendrier pour Biden et le vice-président élu Kamala Harris a été dévoilé dimanche, selon les rapports.


Le Centre pour la transition présidentielle du Partenariat pour le service public est la première source d'information et de ressources non partisane du pays, conçue pour aider les candidats à la présidence et leurs équipes à jeter les bases d'une nouvelle administration ou du second mandat d'un président.

Extrait :
Le Centre fournit une assistance essentielle sur la manière d'organiser et de mettre en œuvre une transition, aide les cadres de carrière des agences à se préparer à la nouvelle direction politique, offre des conseils aux personnes nommées pour des raisons politiques sur les aspects uniques de la direction du gouvernement et collabore avec le Congrès pour promouvoir les réformes de transition. En outre, le Centre offre des conseils pour aider les présidents en exercice à se préparer à un second mandat et des conseils sur les étapes nécessaires à un transfert de pouvoir en douceur dans le cas où un nouveau président est élu.

 
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Erdogan félicite Biden, espère un renforcement des relations bilatérales

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Le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui entretient de bons rapports avec Donald Trump, a adressé mardi 10 novembre un message de félicitations à Joe Biden, vainqueur de l'élection présidentielle aux Etats-Unis, et dit espérer un renforcement des relations entre Ankara et Washington.

Extrait :
«Les épreuves auxquelles nous faisons face à l'échelle mondiale et régionale rendent nécessaires le développement et le renforcement de nos relations sur la base de l'intérêt partagé et des valeurs communes», a déclaré Erdogan dans ce message publié par la présidence turque.

«Dans cette nouvelle période, je réitère ma détermination à travailler étroitement avec l'administration américaine dans ce cadre-là», a ajouté Erdogan, qualifiant la relation entre la Turquie et les Etats-Unis d'«ancienne» et de «stratégique». «Je vous félicite pour votre succès électoral et vous transmets mes voeux les plus sincères de paix et de prospérité pour le peuple américain», a conclu le président turc.

Remplace par :
Il font vraiment tout pour l'enerver si meme son grand ami Erdogan expert en coups tordus lui met un coup de poignard dans le dos , ca risque de tourner au tragique dans les 2 mois a venir ! :)
Nettement plus preoccupant le limogeage du secretaire de la defense monsieur Mark Esper , qui etait un excellent patron du Pentagone et qui a refuse de ceder au psychopathe , tout comme ses 2 predecesseurs ! Monsieur Esper aurait toute sa place dans le gouvernement du president Biden , mais bon !
 
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« Maïdan » à Washington ? La présidentielle américaine vue de Moscou par Cyrille Bret & Florent Parmentier
9 novembre 2020

L’année politique 2016 avait marqué la fin d’une « exception américaine ». Suite aux campagnes de déstabilisation du parti démocrate par des hackers russes , les pouvoirs publics américains s’étaient donné pour priorité de disposer d’un système politique et électoral à l’abri de conflits intérieurs majeurs, et immunisé contre les ingérences étrangères. Loin de fermer la « parenthèse Trump », l’élection de 2020 accroît les divisions internes aux États-Unis, au détriment du rôle international de Washington. Et la Russie s’en réjouit explicitement.

La déception Trump

Extrait : Il y a quatre ans Donald Trump avait suscité un intérêt incontestable en Russie. Cela avait été noté à de nombreuses reprises à l’époque, le nouveau président prétendait être en mesure de pouvoir améliorer les relations avec la Russie. Il préférait aussi ouvertement le style de leadership de Vladimir Poutine à celui de Barack Obama.
Ses prises de position pour une Amérique isolationniste allaient à rebours des souhaits d’un establishment américain (démocrate et républicain) insistant sur le rôle de gendarme du monde des États-Unis. Mais la défense et la promotion des intérêts nationaux américains rentraient davantage dans le logiciel de puissance du Kremlin.
La fin du multilatéralisme devait consacrer le retour des puissances nationales. La doctrine exprimée dans le discours de politique étrangère du candidat Trump au National Interest le 27 avril 2016 devait, de fait, laisser plus de place pour des États comme la Russie sur la scène internationale.
Pour Moscou, cela rendrait peut-être plus compatibles certains intérêts russes et américains, et à tout le moins remettrait en cause un système global d’institutions et unions dont la Russie pouvait se sentir exclue.

Les dirigeants russes ont donc observé avec intérêt l’extension de cette logique au sein du parti républicain, puis dans tout le pays à la faveur de l’élection de 2016. L’espoir de Moscou consistait ainsi à envisager que le leadership des États-Unis change sa perception du système afin de mieux servir ses intérêts et ceux de la Russie.

Suite de l'analyse >>>


Les positions de la Russie et de la ( Chine )sont tres habiles , ne pas reconnaitre le president Biden n'a pas grand chose a voir avec la deontologie electorale ils n'en n'ont strictement rien faire (sic) , mais de mon point de vu donne des ailes a monsieur Trump * qui se sent legitimement floue et conforte , entrainant un chaos indescriptible dans la transmission du pouvoir , ce qui discredite et affaibli les Etats Unis quelque soit l'issue de l'action de monsieur Trump !

" Si quelqu'un t'a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre." - Lao-Tseu
* " Si ton ennemi te semble colérique, cherche à l'irriter encore davantage. " - Sun Tzu
" L'art de la guerre, c'est de soumettre l'ennemi sans combat. " - Sun Tzu
 
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États-Unis : le pape François a félicité Joe Biden dans un entretien téléphonique

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Le président-élu Joe Biden deviendra, après son investiture, le deuxième président américain catholique après John F. Kennedy.

Communique : Le pape François a félicité le président américain élu Joe Biden, a annoncé jeudi 12 novembre l'équipe de ce dernier, qui deviendra une fois investi le deuxième président catholique des États-Unis après John F. Kennedy.

«Le président élu Joe Biden a parlé ce matin avec Sa Sainteté le pape François. Le président élu a remercié Sa Sainteté d'avoir fait part de sa bénédiction et de ses félicitations», indique un communiqué de l'équipe démocrate. Joe Biden, qui a des origines irlandaises, a été éduqué dans une école catholique, vit sa foi ouvertement et toutes les semaines ou presque, assiste à la messe dans une petite église de sa ville de Wilmington, dans le Delaware.
Le démocrate s'est dit désireux de «travailler» avec le pape, «sur la base de la croyance partagée dans la dignité et l'égalité de toute l'humanité, sur des questions comme l'attention portée aux personnes marginalisées et aux pauvres, la crise du changement climatique, et l'accueil et l'intégration des migrants et des réfugiés dans nos communautés».
Sa victoire, annoncée samedi, n'a toujours pas été reconnue par son rival, le républicain Donald Trump, qui crie au «vol» du scrutin. En 2016, interrogé sur Trump, à l'époque candidat improbable à la Maison Blanche, le pape avait lancé : «une personne qui veut construire des murs et non des ponts n'est pas chrétienne». Le milliardaire avait jugé «honteux» qu'un responsable religieux «mette en doute la foi d'une personne».


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" URBI ET ORBI " « Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu se lever une grande lumière » (Is 9, 1)." Vade retro Satana " ... ;)
 
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Fraude fiscale, entrave à la justice, conflits d'intérêts : ces dossiers judiciaires qui menacent Donald Trump

Avec la Maison-Blanche, le président vaincu s'apprête à perdre l'immunité présidentielle et risque de devoir faire face à de nombreuses procédures judiciaires.

Extrait : Donald Trump, derrière les barreaux ? Au cours de sa carrière, le président vaincu a déjà survécu à une procédure de destitution, 26 accusations de harcèlements sexuels et près de 4000 poursuites judiciaires, selon la presse américaine. Lors de sa défaite samedi 7 novembre aux élections, Donald Trump s'apprête à renoncer avec la maison blanche à une protection essentielle : l’immunité présidentielle. Celle-ci ne figure pas en tant que telle dans la Constitution américaine, mais procède d'une décision de la Cour suprême de 1867 qui la circonscrit à l'exercice de la fonction présidentielle...et protège le chef de l’État de toute condamnation au cours de son mandat. Les «casseroles» judiciaires qui précèdent les quatre années de présidence Trump pourraient désormais être autant de bombes à retardement qui entraînerait le milliardaire dans des années de procédures devant les tribunaux. Quels sont les principaux dossiers qui menacent le président ?

 
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Monsieur Trump devrait entamer la transition du pouvoir immediatement au benefice du gouvernement Biden comme il est l'usage apres une election pour apprehender les dossiers strategiques , et d' arreter son delire psychotique , il est en train de se passer des choses catastrophiques pour les Etats Unis actuellement , et dans ce domaine les heures voir les minutes comptent ! Enfin a eux de voir ! Aucun gouvernement a l'etranger dans le domaine de la diplomatie ne prend plus les Etats Unis au serieux , vu la situation rocambolesque ...
....
 
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Macron reçoit Pompeo mais regarde déjà vers Biden

Le président de la République reçoit, «en toute transparence» avec l'équipe de Joe Biden, le secrétaire d'État américain, à la demande de ce dernier.

Extrait : Emmanuel Macron est contraint lundi 16 novembre à un exercice d'équilibriste. Il reçoit le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo, qui n'a toujours pas reconnu la défaite de Donald Trump, tout en se tournant déjà vers sa relation avec le futur président des États-Unis, Joe Biden. Le président de la République doit rencontrer le secrétaire d'État à l'Élysée, mais l'entretien devrait se faire en toute discrétion, à l'abri des micros, tout comme celui entre Mike Pompeo et son homologue Jean-Yves Le Drian.
Paris souligne en effet avoir accepté de recevoir Mike Pompeo à sa propre demande, et «en toute transparence avec l'équipe du président élu Joe Biden», et alors que le gouvernement français souhaite une refondation de la relation transatlantique à l'occasion du changement d'administration américaine.

Peut etre une demande d'asile pour lui et monsieur Trump , les services des hopitaux en reanimations sont surcharges mais dans ceux des etablissements specialises en ce qui concerne leurs cas , il doit rester au moins 2 places a cette adresse ! :hum:

 
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Que dire ... :hum:

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Elect a clown, expect a circus !

iu
 
Peut etre une demande d'asile pour lui et monsieur Trump , les services des hopitaux en reanimations sont surcharges mais dans ceux des etablissements specialises en ce qui concerne leurs cas , il doit rester au moins 2 places a cette adresse ! :hum:

Ils ne seraient pas trop dépaysés, puisqu'il s'agit du Centre Hospitalier Maison Blanche, et celle de Washington a des airs de maison de fous également, ces dernières années. ;)
 
Iran, Chine, Afghanistan... Les dernières décisions de Trump à la Maison-Blanche

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Le président des États-Unis sortant multiplie les décisions hâtives et mène certains dossiers au pas de charge pour conclure son mandat avant de laisser le pouvoir à Joe Biden.

Extrait :
Après avoir reconnu brièvement et partiellement, dimanche 15 novembre, la victoire de Joe Biden car les élections étaient, selon lui, «truquées», Donald Trump est finalement revenu sur ses mots et a revendiqué sa réélection sur Twitter.

Le président sortant ne compte pas faciliter la tâche à son successeur en multipliant les recours en justice pour contester la légalité des élections. En poste jusqu'au 20 janvier, Donald Trump semble également enclin à mener sa politique à son terme, quitte à prendre des décisions contraignantes pour son successeur.

Menace d'une frappe en Iran

Donald Trump aurait, selon le New York Times, demandé jeudi 12 novembre à plusieurs de ses collaborateurs dont le vice-président Mike Pence, le secrétaire d'État Mike Pompeo et le chef d'état-major Mark Milley, «s'il avait des options pour agir contre» le site de Natanz, en Iran, «dans les prochaines semaines». La question ferait suite à un rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) qui indique que Téhéran continuait d'accumuler de l'uranium, selon le quotidien américain. Les hauts responsables, pourtant proches du milliardaire l'auraient «dissuadé d'aller de l'avant avec une frappe militaire» car le risque le conflit dégénère serait trop important.


Ce cingle va bien finir par nous declencher un cataclysme dans les 2 mois ! Enlevez lui les commandes , mettez le a l'isolement ...
 
Éditorial : Si Biden gagne, ne vous attendez pas à ce que Trump accepte la défaite et se dirige vers la sortie Par Lawrence Douglas professeur de droit, de jurisprudence et de pensée sociale à Amherst College.
12 août 2020
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Si le président Trump devait perdre aux élections de 2020, ne vous attendez pas à ce qu'il cède sa place - ce n'est tout simplement pas dans son ADN.

Retour versle futur :
Considérez la course de 2016, lorsque le candidat Trump a perdu le caucus de l'Iowa face au sénateur texan Ted Cruz. Alors que les autres candidats perdants viennent de passer à autre chose, Trump demande que la victoire de Cruz soit annulée, en tweetant le lendemain matin : "Ted Cruz n'a pas gagné l'Iowa, il l'a volé." Et lorsque le Colorado a donné à Cruz les voix de sa convention après que des caucus non contraignants aient fortement favorisé le sénateur du Texas, Trump a tweeté : "Comment est-il possible que les habitants du grand État du Colorado n'aient jamais pu voter lors de la primaire républicaine ? Une grande colère - totalement injuste !"

Pour Trump, une défaite personnelle est toujours le résultat d'une fraude. Pourquoi s'attendrait-on à ce qu'il réagisse différemment en cas de victoire de Biden ? Il a déjà télégraphié ses intentions, prédisant que le vote de 2020 sera le plus corrompu de notre histoire. Dans son scénario électoral, la seule façon pour notre système électoral de démontrer sa fiabilité serait qu'il gagne ; une perte confirmerait simplement que l'élection a été truquée.


Néanmoins, si Trump devait perdre de manière décisive, il n'aurait d'autre choix que de se soumettre à la défaite. Contrairement à la concession, se soumettre à la défaite est simplement la reconnaissance de facto par le candidat perdant qu'il est inutile de continuer à se battre. En se soumettant sans concéder, Trump pourrait certainement commettre des méfaits. Il pourrait, par exemple, encourager ses partisans à descendre dans la rue, ce qui déclencherait des contre-protestations qui se traduiraient par de vilaines démonstrations de force fédérale. Mais en perdant gros, Trump pourrait difficilement s'engager dans des actes de défiance constitutionnelle plus agressifs, comme essayer d'enrôler les assemblées législatives des États républicains pour qu'ils le certifient comme vainqueur dans leurs États.

Alors, qu'est-ce qui constituerait une perte décisive pour Trump ? Étant donné notre système particulier d'élection du président, lui faire subir une grande perte au niveau du vote populaire ne garantit rien. Même battre Trump de manière convaincante au sein du collège électoral pourrait ne pas suffire. Il a clairement indiqué que ce qui compte pour lui, c'est la façon dont le décompte des voix se fera le jour du scrutin.

Le 30 juillet, quelques heures seulement après avoir lancé l'idée de retarder le vote, le président a tweeté " Doit connaître les résultats du scrutin le soir de l'élection, pas des jours, des mois ou même des années plus tard".

Dans la tempête de reportages qui a entouré l'idée scandaleuse d'un report du scrutin, ce tweet est passé largement inaperçu. Pourtant, il offre un aperçu troublant de la façon dont les attaques de M. Trump sur le vote par correspondance pourraient laisser présager un acte de défi électoral.

Nous savons que lors des élections de 2020, un nombre sans précédent de citoyens voteront par correspondance, en particulier dans les zones urbaines où les risques pour la santé liés au vote en personne seront probablement élevés. Nous savons également qu'il faudra des jours, voire des semaines, pour que les États fassent tout leur travail de prospection sur les votes par correspondance. Et quelle que soit la durée de ces comptages, ils feront inévitablement pencher les votes en faveur de Biden et des démocrates à faible majorité, puisque les électeurs urbains votent majoritairement en faveur du bleu.

Trump le sait aussi. Tous les républicains se souviennent du sort de Martha McSally, la candidate du GOP au poste de sénateur des États-Unis en Arizona en 2018. Le jour de l'élection, McSally avait une avance de 15 000 voix sur son rival démocrate Kyrsten Sinema. Au moment où l'Arizona a terminé son décompte des bulletins de vote par correspondance et des bulletins provisoires, McSally avait perdu contre Sinema par 56 000 voix.

C'est pourquoi le tweet de Trump du 30 juillet devrait déclencher des alarmes. Il suggère que si Trump a une avance provisoire le 3 novembre, il considérera cela comme une victoire. En outre, il suggère qu'il chercherait à écarter tout "décalage bleu" survenant dans les jours ou les semaines suivantes comme étant le produit d'une fraude. Pour étayer son argumentation, il fera valoir la rhétorique qu'il a utilisée dernièrement, à savoir que les votes par correspondance ne sont pas fiables et, surtout, ne devraient pas être comptés.

Depuis sa puissante plateforme à la Maison Blanche, on peut compter sur M. Trump pour travailler sans relâche afin de s'assurer que le décompte des bulletins de vote par correspondance soit entaché de retards, de questions et de confusion, en déployant des équipes d'avocats dans de nombreux États pour contester le vote de toutes les manières possibles. Il peut également compter sur la Russie pour bombarder les médias sociaux de fausses nouvelles destinées à ébranler la confiance dans le décompte des votes des États. La situation est faite sur mesure pour un président qui se nourrit du chaos et qui est prêt à céder à toute théorie de conspiration qui fait avancer ses intérêts politiques.

Notre meilleur espoir d'éviter une crise électorale est donc de battre Trump de manière si décisive que sa défaite soit claire le 3 novembre. Tout ce qui ne le fera pas aidera Trump à rejeter la défaite et à déclencher une crise électorale comme nous n'en avons jamais vu dans notre histoire.



;)
 
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Le député NJ Democrate a demandé que M. Trump soit jugé pour "crimes contre les États-Unis".

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Pascrell : " Il s'est livré à la trahison, à la trahison "

Communique :
Bill Pascrell Jr, D-N.J., a demandé que le président Trump et les membres de son administration fassent l'objet d'une enquête et de poursuites dès qu'il quittera ses fonctions.
Bien que M. Trump n'ait pas encore concédé sa course à la présidence, le président élu Joe Biden devrait être investi le 20 janvier 2021 - à ce moment-là, M. Pascrell pense que le ministère de la Justice devrait ouvrir une enquête.

Dans une déclaration publiée mardi dernier, le membre du Congrès récemment réélu a publié une litanie d'exemples qui, selon lui, montrent que le président et son administration ont " commis d'innombrables crimes contre les États-Unis ".

" Il a mis en danger notre sécurité nationale. Il a déchiré des familles. Il a empoisonné le recensement. Il a personnellement profité de sa fonction. Il a attaqué nos élections et a cherché à étouffer la démocratie. Il a été mis en accusation à juste titre par la Chambre des représentants. Il s'est livré à la trahison, à la trahison. Il a pratiquement renoncé à gouverner et à protéger notre nation et s'il avait une once de dignité, il démissionnerait aujourd'hui"
, a écrit M. Pascrell.

Pascrell a également déclaré que toute tentative de Trump d'utiliser les pouvoirs de grâce du président pour aider son personnel serait une " obstruction à la justice " et que la question de sa capacité à s'auto-pardonner serait " illégale ".

Le député du New Jersey n'a pas pu être joint pour confirmer si d'autres membres du Congrès ont déclaré soutenir sa mesure, mais le représentant Matt Gaetz, R-Fla, a condamné cette initiative jeudi, la qualifiant de " dégoûtante ".

"C'est maintenant le but de la gauche - jeter le président Trump, ses fonctionnaires de l'administration, sa famille et ses partisans en prison", a écrit Gaetz sur twitter. "C'est là où nous sommes maintenant. C'est dégoûtant."
Pascrell, tout comme Trump, s'est fortement appuyé sur Twitter pour attaquer ses opposants, appelant le président un " pleurnichard " dans un tweet du jeudi pour condamner les récentes actions de Trump concernant la vérification des votes dans le Michigan.

Le membre du Congrès du New Jersey, qui siège à la Commission des voies et moyens de la Chambre et qui a mené l'effort pour obtenir les déclarations d'impôts de Trump, a déclaré que l'absence d'enquête sur le président et son administration " encourage encore plus la criminalité de nos dirigeants nationaux et continue l'Amérique sur la voie de l'anarchie et de l'autoritarisme ".

"Il doit y avoir une responsabilité" , a-t-il ajouté.

Nonobstant cette declaration qui a peu de chances d'aboutir , une chose est certaine il risque d'y avoir du sport en 2021 pour Baby Trump dans d'autres domaines !
 
Joe Biden dénonce l'«incroyable irresponsabilité» de Donald Trump

Le président américain élu a qualifié jeudi le comportement de son prédécesseur, qui conteste le résultat de la présidentielle du 3 novembre, de «scandaleux».

Extrait : Le président américain élu Joe Biden, qui était resté jusque-là mesuré, a dénoncé jeudi 19 novembre l'«incroyable irresponsabilité» de Donald Trump, qui refuse toujours d'accepter le résultat des élections du 3 novembre. «Je pense que (les Américains) sont les témoins d'une incroyable irresponsabilité, de messages incroyablement préjudiciables envoyés au reste du monde sur le fonctionnement de la démocratie», a-t-il ajouté. «Je ne connais pas ses motivations mais je pense que c'est totalement irresponsable», a-t-il encore déclaré lors d'un point de presse à Wilmington, dans le Delaware. «Il est difficile de comprendre comment cet homme raisonne», a-t-il martelé. «Je suis convaincu qu'il sait qu'il a perdu et que je prêterai serment le 20 janvier», a-t-il poursuivi. «Ce qu'il fait est tout simplement scandaleux».

Une chose est certaine monsieur Trump ne maitrise rien du tout , tout part a vau-l'eau notamment en ce qui concerne le Covid * , et il reste 2 mois avant l'echeance ! :hum:
Certains vont s'empresser d'ajouter " oui mais ailleurs c'est pareil " a quoi je retorque " Oui mais ailleurs ce ne sont pas la premiere puissance mondiale militaro economique " les moyens d'actions ET de preventions , voir de dependances politiques comme dans le cas de l'UE ne sont pas les memes ... Voila
 
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