Diplomatie & Commerce International après l'élection du President Trump ...

Trump dit qu'il pourrait «assurément» demander à Pékin d'enquêter sur Biden

Communique : Donald Trump, menacé par une procédure de destitution pour avoir demandé à son homologue ukrainien d'enquêter sur son rival démocrate Joe Biden, s'est dit jeudi prêt à faire une requête similaire au président chinois.
«C'est assurément une chose à laquelle nous pouvons commencer à penser», a-t-il répondu à un membre de la presse qui lui demandait s'il envisageait de demander à Xi Jinping de lancer des investigations sur l'ancien vice-président de Barack Obama.


On aura decidement tout lu ou entendu de la part de Monsieur Trump !

Comme disait le regrette Michel Audiard ! " ... .... .. ... ... ..... .... ...... " Je me demande si il se rend compte des propos qu'il tient , avec les tracasseries qu'il occasionne a la Chine ! :hum:

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Washington valide la vente de missiles à l'Ukraine évoquée dans l'appel Trump-Zelensky

Les Etats-Unis ont validé jeudi la vente à l'Ukraine de lance-missiles antichar Javelin, évoquée dans la conversation téléphonique entre Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky à l'origine de l'enquête ouverte contre le président américain en vue d'une destitution.

Communique :
Le département d'Etat a officiellement informé le Congrès de l'intention de l'administration de procéder à cette vente de 150 missiles Javelin pour 39,2 millions de dollars, a indiqué la diplomatie américaine dans un communiqué.

 
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Donald Trump suggère publiquement à la Chine d'enquêter sur Joe Biden

Déjà en proie à une procédure de destitution pour avoir suggéré au président ukrainien d'enquêter sur son adversaire démocrate, le président américain a publiquement invité Pékin à faire de même ce jeudi.

Extrait
: Donald Trump a publiquement invité ce jeudi l'Ukraine et la Chine à enquêter sur son adversaire démocrate Joe Biden alors qu'une initiative identique lui a déjà valu l'ouverture d'une enquête du Congrès en vue d'une possible procédure de destitution. Alors qu'il quittait la Maison-Blanche pour un déplacement en Floride, le président américain a déclaré aux journalistes présents que la Chine devrait s'intéresser à Joe Biden, qui pourrait être son adversaire à la prochaine élection présidentielle aux Etats-Unis en 2020, et à son fils et homme d'affaires Hunter Biden.



Un conseil de neophyte Monsieur Trump , je vous invite vigoureusement et avec attention a parcourir les ecrits de Sun Tzu !
 
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Sanctions américaines : les Etats-Unis déconseillent l'UE de prendre des mesures de rétorsion

Le conseiller économique de la Maison-Blanche a enjoint jeudi 4 octobre l'Union européenne à ne pas prendre des mesures de rétorsion après que l'Organisation mondiale du commerce (OMC) a autorisé les Etats-Unis à surtaxer des produits européens.


Extrait : Les Etats-Unis ont invité l'Union européenne à ne pas exercer de représailles en réaction à la surtaxe de produits européens dans le cadre du litige sur les subventions au secteur aéronautique. S'exprimant dans un entretien à la chaîne de télévision Fox Business, Peter Navarro, le conseiller économique de la Maison-Blanche, a déclaré que l'UE n'avait pas à prendre de mesures de rétorsion pouvant mener à une "surenchère" puisque les Etats-Unis se sont conformés aux règles de l'OMC. L'Union européenne "ne doit rien faire en retour", a-t-il conclut. Il a fait cette déclaration plusieurs heures après que le ministre français de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a averti que l'UE était prête à infliger des sanctions aux Etats-Unis si ceux-ci laissaient sans réponse son offre de dialogue.
"Nous tendons la main. Nous avons tendu la main depuis plusieurs mois parce que nous pensons que c'est dans l'intérêt économique et politique des Etats-Unis comme de Europe. Si l'administration américaine refuse la main tendue par la France et par l'Union européenne, nous nous tenons prêts à réagir par des sanctions (...), des sanctions que l'OMC nous autoriserait à prendre", a-t-il déclaré.


 
Affaire ukrainienne: des SMS compromettants pour Donald Trump

Les premières auditions à la Chambre des Réprésentants, à majorité démocrate, ont permis de mettre à jour une série de messages échangés entre diplomates au fait de l’appel du 25 juillet entre les président américain et ukrainien. Vendredi soir, les parlementaires en charge de l’enquête ont officiellement sommé la Maison Blanche de leur livrer des documents liés à l’affaire ukrainienne d’ici au 18 octobre.


Extrait :
Nouvelle journée, nouvelle escalade à Washington, qui vit désormais au rythme haletant de l’enquête des démocrates en vue de destituer le président américain. Après la publication de SMS explosifs démontrant que la diplomatie américaine a bien fait pression sur le président ukrainien pour qu’il enquête sur son rival démocrate Joe Biden, Donald Trump jouait la montre vendredi, laissant planer le doute sur sa coopération avec le Congrès dans ses investigations. «Je ne sais pas, cela dépendra des avocats», a-t-il déclaré à propos de l’envoi au Congrès de documents que lui réclament l’opposition. Devant son refus, les chefs démocrates supervisant l’enquête ont donc transmis vendredi soir à la Maison Blanche une injonction officielle le sommant de coopérer d’ici au 18 octobre.

Mais Trump garde un joker dans sa manche. Selon le site américain Axios, le président américain pourrait désomais aller jusqu’à mettre Nancy Pelosi, la chef de file des démocrates, au défi de faire voter solennellement une mise en accusation par la Chambre des Réprésentants, faute de quoi il refuserait de collaborer à une enquête qu’il juge illégale. Dans les faits, les démocrates sont majoritaires à la Chambre basse, mais une trentaine d’entre eux est issue de circoncriptions qui ont voté pour Trump. Le milliardaire sait que ses adversaires pourraient être réticents à organiser un vote à l’issue incertaine. Si ce dernier échoue, c’en serait fini de la procédure de destitution. «Cette assignation à comparaître ne change rien - juste davantage de demandes de documents, de temps perdu et d’argent des contribuables qui montreront que le président n’a rien fait de mal», a réagi dans la soirée la porte-parole de la Maison blanche, Stephanie Grisham.


 
USA : un deuxième lanceur d'alerte disposé à témoigner sur Trump

Cet individu serait membre des services de renseignement et aurait une connaissance directe de l'appel entre le président américain et son homologue ukrainien.


Extrait :
Un deuxième lanceur d'alerte est prêt à témoigner sur le président américain Donald Trump, visé par une enquête parlementaire en vue d'une procédure de destitution du président américain, a indiqué son avocat cité dimanche 6 octobre par la chaîne de télévision ABC.

Mark Zaid, qui représente le premier lanceur d'alerte dont le signalement a provoqué l'ouverture de cette enquête, a indiqué à ABC News que son client était également membre des services de renseignement et avait une connaissance directe de certains des éléments évoqués par son confrère et qui avaient trait à une conversation téléphonique entre Donald Trump et son homologue ukrainien le 25 juillet dernier. Selon The New York Times, ce 2e lanceur d'alerte figure parmi les personnes interrogées par l'inspecteur général des services, Michael Atkinson, pour corroborer les dires du premier. Mais il n'a pas encore contacté ou été contacté par les commissions parlementaires menant l'enquête.


 
Affaire ukrainienne : Trump accuse Pelosi de trahison

Le président américain accuse les démocrates de «mensonges» et de «fraudes massives».

Communique : Donald Trump s'en est pris dimanche 6 octobre à la présidente démocrate de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, estimant que celle-ci pourrait être coupable de trahison pour avoir eu connaissance d'une déclaration d'un représentant démocrate que le président américain juge frauduleuse.

S'exprimant sur Twitter, il a déclaré que «Nancy Pelosi savait tout des nombreux mensonges et des fraudes massives perpétrées devant le Congrès et le peuple américain» par Adam Schiff, le président démocrate de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, qui enquête dans le cadre de la procédure de destitution (impeachment) entamée contre Donald Trump. Le président républicain avait accusé lundi dernier Schiff de trahison et suggéré son arrestation.

Trois commissions de la Chambre des représentants, contrôlée par les démocrates, ont annoncé vendredi avoir assigné la Maison-Blanche afin qu'elle transmette des documents concernant la conversation téléphonique de juillet dernier entre Donald Trump et son homologue ukrainien Volodomir Zelenski, au cœur de leur enquête.

Un deuxième lanceur d'alerte s'est dit prêt à témoigner sur la tentative de Trump de convaincre Zelenski d'ouvrir une enquête sur Joe Biden, favori de la primaire démocrate en vue de la présidentielle de novembre 2020, et du fils de Biden, ont annoncé dimanche ses avocats.


 
Syrie: Trump dit vouloir laisser Turcs et Kurdes «résoudre la situation»

Donald Trump a justifié ce lundi la décision des États-Unis de retirer leurs soldats du nord de la Syrie en expliquant qu'il voulait laisser aux protagonistes impliqués dans ce conflit le soin de «résoudre la situation».


Communique :
«La Turquie, l'Europe, la Syrie, l'Iran, l'Irak, la Russie et les Kurdes devront maintenant résoudre la situation», a expliqué le président américain dans une longue série de tweets, sa première réaction depuis que la Maison-Blanche a annoncé le retrait des Américains du nord de la Syrie, ouvrant la voie à une offensive militaire turque contre les Kurdes.

«Les Kurdes ont combattu avec nous mais ils ont reçu énormément d'argent et de matériel pour le faire. Cela fait des décennies qu'ils combattent la Turquie. Je me suis tenu à l'écart de ce conflit pendant presque trois ans, mais il est temps pour nous de sortir de ces guerres ridicules et sans fin, dont beaucoup sont tribales», a expliqué le milliardaire républicain, qui avait annoncé à la fin de l'année dernière le retrait des troupes américaines de Syrie.

«Nous nous battrons là où nous y trouvons un avantage, et seulement pour gagner», a-t-il également déclaré, accusant l'Europe de penser que les États-Unis étaient un «pigeon». Concernant les djihadistes européens détenus par les Kurdes, le président américain a expliqué que l'Europe avait demandé aux États-Unis de «les garder». «J'ai répondu: ''Non, on vous a rendu un grand service et maintenant vous voulez que nous les gardions dans des prisons américaines, pour un coût élevé. Ils sont à vous pour que vous les jugiez''», a-t-il détaillé.

Lindsey Graham, un des sénateurs républicains les plus proches de Donald Trump, a appelé ce lundi le président américain à «revenir» sur sa «décision» de retirer les troupes américaines du nord de la Syrie, estimant que ce choix était «porteur de désastre». «Si ce plan», qui ouvre la voie à une offensive militaire turque contre les Kurdes, «est appliqué, j'introduirai une résolution au Sénat demandant à ce que l'on revienne sur cette décision. Je m'attends à ce qu'elle soit largement soutenue par les deux partis», a expliqué l'élu républicain dans un tweet.



En gros j'ai bien foutu ma merde en Syrie , maintenant debrouillez vous avec le probleme Kurde !
 
Sanctions américaines : les Etats-Unis déconseillent l'UE de prendre des mesures de rétorsion

Le conseiller économique de la Maison-Blanche a enjoint jeudi 4 octobre l'Union européenne à ne pas prendre des mesures de rétorsion après que l'Organisation mondiale du commerce (OMC) a autorisé les Etats-Unis à surtaxer des produits européens.


Extrait : Les Etats-Unis ont invité l'Union européenne à ne pas exercer de représailles en réaction à la surtaxe de produits européens dans le cadre du litige sur les subventions au secteur aéronautique. S'exprimant dans un entretien à la chaîne de télévision Fox Business, Peter Navarro, le conseiller économique de la Maison-Blanche, a déclaré que l'UE n'avait pas à prendre de mesures de rétorsion pouvant mener à une "surenchère" puisque les Etats-Unis se sont conformés aux règles de l'OMC. L'Union européenne "ne doit rien faire en retour", a-t-il conclut. Il a fait cette déclaration plusieurs heures après que le ministre français de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a averti que l'UE était prête à infliger des sanctions aux Etats-Unis si ceux-ci laissaient sans réponse son offre de dialogue.




Etats-unexit
 
Trump se met le camp républicain à dos sur la Syrie

La décision de Donald Trump de retirer les soldats américains du nord de la Syrie provoque un tollé à Washington, jusque dans son propre camp, au moment où le président a un besoin crucial d’alliés pour contrer la procédure de destitution qui le menace.


Extrait : «Enorme erreur», «désastre»: en annonçant abruptement qu’il laissait le champ libre à la Turquie dans le nord de la Syrie, Donald Trump a suscité de vives réactions au sein même du parti républicain. Cette spectaculaire annonce, qui renforce l’image d’un président isolé au sein de son propre camp, intervient au moment où il a un besoin crucial de ses alliés politiques pour contrer la procédure de destitution qui le menace. Preuve du malaise, son administration s’est employée lundi, dans l’urgence -et une certaine confusion- à rétropédaler et à minimiser la portée du communiqué présidentiel de dimanche soir qui a suscité la stupeur.

Les réactions de la plupart des ténors du parti républicain ont été cinglantes. Pour le sénateur Lindsey Graham, proche du président américain, avec lequel il joue régulièrement au golf, cette décision est «un désastre en puissance» et «l’abandon des Kurdes sera une tache sur l’honneur de l’Amérique». Et l’influent sénateur conservateur de Caroline du Sud de menacer de proposer une résolution au Sénat pour revenir sur cette décision. Pour mieux souligner l’isolement du président, il précise s’attendre à un fort soutien des élus des deux bords sur ce dossier emblématique.




 
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Sanctions américaines : les Etats-Unis déconseillent l'UE de prendre des mesures de rétorsion

Le conseiller économique de la Maison-Blanche a enjoint jeudi 4 octobre l'Union européenne à ne pas prendre des mesures de rétorsion après que l'Organisation mondiale du commerce (OMC) a autorisé les Etats-Unis à surtaxer des produits européens.

Extrait : Les Etats-Unis ont invité l'Union européenne à ne pas exercer de représailles en réaction à la surtaxe de produits européens dans le cadre du litige sur les subventions au secteur aéronautique. S'exprimant dans un entretien à la chaîne de télévision Fox Business, Peter Navarro, le conseiller économique de la Maison-Blanche, a déclaré que l'UE n'avait pas à prendre de mesures de rétorsion pouvant mener à une "surenchère" puisque les Etats-Unis se sont conformés aux règles de l'OMC. L'Union européenne "ne doit rien faire en retour", a-t-il conclut. Il a fait cette déclaration plusieurs heures après que le ministre français de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a averti que l'UE était prête à infliger des sanctions aux Etats-Unis si ceux-ci laissaient sans réponse son offre de dialogue.



L’UE n’appliquera que les sanctions que l’OMC ne pourra pas manquer d’autoriser, d’ici quelques mois, dans le cadre de la plainte relative aux subventions de Boeing....
 
Syrie: pas de retrait américain, 50 à 100 soldats redéployés à l'intérieur du pays

La décision de Donald Trump de retirer les soldats américains stationnés en Syrie près de la frontière turque ne concerne que 50 à 100 membres des forces spéciales qui seront «redéployés vers d'autres bases» à l'intérieur du pays, a déclaré lundi un haut responsable américain.

Communique :
«Il ne s'agit pas d'un retrait de Syrie», a assuré ce responsable, ajoutant que ce redéploiement ne représentait en aucun cas «un feu vert» à une offensive militaire turque contre les forces kurdes dans le nord-est syrien.


Du grand guignol a l'etat pur ! Et une incertitude a propos du debut de l'offensive turque contre les kurdes ? :hum:

 
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L’UE n’appliquera que les sanctions que l’OMC ne pourra pas manquer d’autoriser, d’ici quelques mois, dans le cadre de la plainte relative aux subventions de Boeing....
Bonjour Chris
C'est exact et legal . Cela eviterait une escalade totale niveau taxes sans attendre cette decision ! Faut-il encore que cette plainte aboutisse en notre faveur ?

...
 
Faut-il encore que cette plainte aboutisse en notre faveur ?
Bonjour Lafoy,
Il faudra patienter jusqu’au printemps, mais cela semble en bonne voie ...

En effet, « en parallèle, dans l'affaire Boeing, l'Union européenne aura également, dans quelques mois, le droit d'imposer des contre-mesures à l'encontre des Etats-Unis en raison du non-respect persistant des règles de l'OMC. Une liste préliminaire de produits américains concernés par les contre-mesures a été publiée en avril dernier ».
Source https://www.lesechos.fr/monde/enjeu...nis-pour-taxer-des-produits-europeens-1136723
 
Bonjour Chris
C'est exact et legal . Cela eviterait une escalade totale niveau taxes sans attendre cette decision ! Faut-il encore que cette plainte aboutisse en notre faveur ?

Faut il... rien du tout... puisque les décisions de l'OMC n'ont rien de contraignantes.
Trump a pris la décision de l'OMC comme alibi pour quelque chose qu'il menaçait de faire depuis longtemps et qu'il a d'ailleurs appliqué avant au Mexique et à la Chine sans nécessairement attendre une décision de l'OMC.
 
Faut il... rien du tout... puisque les décisions de l'OMC n'ont rien de contraignantes.
Trump a pris la décision de l'OMC comme alibi pour quelque chose qu'il menaçait de faire depuis longtemps et qu'il a d'ailleurs appliqué avant au Mexique et à la Chine sans nécessairement attendre une décision de l'OMC.

Bonjour Mathieu

C'est exact egalement , mais le risque de guerre ouverte est trop grand avec entre autres les automobiles de Madame Merkel qui risquent d'etre taxees a 25% voir plus * et le risque que l'Allemagne s'oppose a une telle decision est probable voir inexorable , avec Monsieur Trump dans tout les cas il est a prevoir dans le cas ou l'OMC accorde ces contres mesures a l'Europe que ce meme Monsieur Trump fera monter les encheres de toutes facons en represailles car effectivement il n'en a rien a faire de l 'OMC a part si elle abonde dans son sens ...

De plus vu la situation ou se trouve Boeing en additionnant GM qui perd selon les experts 100 millions de dollars par jour vu les greves depuis mi septembre cela n'arrange rien ! Les 2 fleurons industriels des Etats Unis immobilises de quoi rendre Monsieur Trump encore plus agressif !

* Ce qui n'a pas l'air d'etre le cas pour le moment ...


Extrait : D'après des experts, cette grève historique risque de coûter jusqu'à 100 millions de dollars par jour au groupe. Près de 50.000 salariés du constructeur sont en grève depuis le 16 septembre

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Syrie : La France oppose sa "cohérence" aux "hésitations" américaines

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PARIS (Reuters) - La France a opposé mardi sa "cohérence" sur le conflit syrien aux "hésitations manifestes" des Etats-Unis, dont le président a ouvert la voie à une offensive turque dans le nord-est de la Syrie tout en envoyant, sous la pression de son propre camp, des signaux contradictoires sur la portée de sa décision.

Communique :
Donald Trump a annoncé dans la nuit de dimanche à lundi sa décision de retirer les troupes américaines du Nord-Est syrien, laissant le champ libre à Ankara face à leurs alliés kurdes qui ont dénoncé "un coup de poignard dans le dos". Confronté à la réprobation du camp républicain, notamment, il a ensuite infléchi ses propos en prévenant que la Turquie verrait son économie "détruite" si elle dépassait les limites.

"Les combattants des forces démocratiques syriennes (...) ont joué un rôle clé pour permettre la défaite territoriale de Daech en Syrie", a déclaré le Premier ministre français, Edouard Philippe, lors des questions au gouvernement à l'Assemblée.

"Le courage des hommes et des femmes des FDS, les sacrifices qu'ils ont consentis face à l'ennemi, face à Daech, appellent notre reconnaissance", a-t-il souligné, alors que la députée socialiste Valérie Rabault reprochait aux autorités françaises leur "silence" depuis les déclarations de Donald Trump.

"Vous nous reprochez de ne pas réagir à des déclarations, ou plus exactement à des déclarations rapportées, soit communiquées par tweets, soit le cas échéant dont certains feraient état", a répondu Edouard Philippe en visant les tweets de Donald Trump.

"Je crois au contraire que dire les choses avec constance et cohérence est préférable plutôt que de réagir au gré d'hésitations manifestes de certains acteurs, notamment de nos amis américains", a-t-il ajouté



On se reveille un peu tard , mais meme si nous sommes impuissants devant cette situation , ca fait plaisir a lire ,sommes nous sorti de notre lethargie ? :francais:

Le genocide Armenien a suffit comme tache indelebile , inutile d'en ajouter un supplementaire !
 
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Les pays en développement, victimes collatérales de la guerre commerciale Chine-Etats-Unis

Les conflits commerciaux compromettent la capacité des pays émergents et en voie de développement à s'extirper de la pauvreté, a souligné mardi 8 octobre l'économiste en chef de la Banque mondiale, Pinelopi Koujianou Goldberg, dans un entretien à l'AFP.


Extrait :
Les conflits commerciaux qui opposent la Chine et les Etats-Unis sont sources de dommages collatéraux. Les victimes : les pays en développement. "Les tensions commerciales ont accru l'incertitude, ce qui a soudainement diminué les investissements", explique Pinelopi Koujianou Goldberg, chef de la Banque mondiale, dans un entretien à l'AFP. Or ces pays fragiles, qui ne disposent pas de capital propre à l'instar des pays pauvres d'Afrique, ont fondamentalement besoin d'investissements étrangers pour se développer. La guerre commerciale déclenchée par Donald Trump l'an passé contre la Chine, qui s'est traduite par l'imposition de tarifs douaniers réciproques sur des centaines de milliards de dollars, inquiète les économistes et a créé des soubresauts sur les marchés.

La diminution "significative" de ces investissements est d'autant plus problématique que ceux-ci ne s'étaient "jamais vraiment redressés après la crise financière" de 2008, souligne Mme Koujianou Goldberg, économiste greco-américaine, qui a mis entre parenthèse son poste de professeur à l'Université de Yale pour rejoindre la Banque mondiale l'an passé. Si cette tendance se poursuit, "certains pays ne parviendront jamais à sortir de la pauvreté", prévient-elle. Pire, des pays qui avaient réussi à s'extirper de la pauvreté, aujourd'hui considérés comme économies à revenus intermédiaires, pourraient revenir en arrière, pronostique-t-elle. Et sans croissance, les gens resteront englués dans la pauvreté, condamnés à survivre avec moins de 5,5 dollars par jour. Mme Koujianou Goldberg reconnaît que de nombreux économistes avaient sous-estimé les répercussions de la guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine lancée en mars 2018.

"Plus de 30 millions de personnes pourraient sombrer dans la pauvreté et le revenu mondial pourrait chuter, jusqu'à 1.400 milliards de dollars", selon les calculs de l'institution.


 
Syrie : La France oppose sa "cohérence" aux "hésitations" américaines


PARIS (Reuters) - La France a opposé mardi sa "cohérence" sur le conflit syrien aux "hésitations manifestes" des Etats-Unis, dont le président a ouvert la voie à une offensive turque dans le nord-est de la Syrie tout en envoyant, sous la pression de son propre camp, des signaux contradictoires sur la portée de sa décision.

Communique :
Donald Trump a annoncé dans la nuit de dimanche à lundi sa décision de retirer les troupes américaines du Nord-Est syrien, laissant le champ libre à Ankara face à leurs alliés kurdes qui ont dénoncé "un coup de poignard dans le dos". Confronté à la réprobation du camp républicain, notamment, il a ensuite infléchi ses propos en prévenant que la Turquie verrait son économie "détruite" si elle dépassait les limites.

"Les combattants des forces démocratiques syriennes (...) ont joué un rôle clé pour permettre la défaite territoriale de Daech en Syrie", a déclaré le Premier ministre français, Edouard Philippe, lors des questions au gouvernement à l'Assemblée.

"Le courage des hommes et des femmes des FDS, les sacrifices qu'ils ont consentis face à l'ennemi, face à Daech, appellent notre reconnaissance", a-t-il souligné, alors que la députée socialiste Valérie Rabault reprochait aux autorités françaises leur "silence" depuis les déclarations de Donald Trump.

"Vous nous reprochez de ne pas réagir à des déclarations, ou plus exactement à des déclarations rapportées, soit communiquées par tweets, soit le cas échéant dont certains feraient état", a répondu Edouard Philippe en visant les tweets de Donald Trump.

"Je crois au contraire que dire les choses avec constance et cohérence est préférable plutôt que de réagir au gré d'hésitations manifestes de certains acteurs, notamment de nos amis américains", a-t-il ajouté



On se reveille un peu tard , mais meme si nous sommes impuissants devant cette situation , ca fait plaisir a lire ,sommes nous sorti de notre lethargie ? :francais:

Le genocide Armenien a suffit comme tache indelebile , inutile d'en ajouter un supplementaire !
Enfin surtout parce que ce sont eux qui ont mis la branlé à ISIS. Du coup on n’a pas trop envi qu’ils se fassent massacrés, surtout qu’ils gardent nos djiadistes.