¥ - Coronavirus (covid-19) suivi et évolution en Chine & Asie (pas de débats ici, utiliser "Politique de gestion du covid en Chine assouplie")

Vos inquietudes a propos de la situation sanitaire due au coronavirus (2019-ncov)

  • Je ne suis pas inquiet !

    Votes: 56 37,6%
  • Je suis tres inquiet !

    Votes: 36 24,2%
  • Je n'envisage pas de quitter la Chine !

    Votes: 40 26,8%
  • A partir de 500 victimes je quitte la Chine !

    Votes: 6 4,0%
  • A partir de 1000 victimes je quitte la Chine !

    Votes: 4 2,7%
  • Au dessus de 2000 victimes je quitte la Chine !

    Votes: 4 2,7%
  • Pensez vous que le gouvernement va stabiliser la situation dans les jours a venir ? Oui

    Votes: 31 20,8%
  • Pensez vous que le gouvernement va stabiliser la situation dans les jours a venir ? Non

    Votes: 38 25,5%
  • J'envisage serieusement de quitter la Chine si les etudes de mes enfants sont compromises !

    Votes: 7 4,7%
  • J'envisage serieusement de quitter la Chine si cette situation dure trop longtemps !

    Votes: 49 32,9%

  • Nombre total d'électeurs
    149
Quand on ne prend pas des mesurettes comme en France, on dirait bien que ça paie.

C'est sur que quand tu te barricades a double tour chez toi il ne risque pas de t'arriver grand chose. A part l'apparition de qq troubles mentaux du genre schizophrenie et paranoia. Mais bon. Ce serait pas la premiere fois.
 
Le "zéro COVID" devient de plus en plus difficile à atteindre, mais la Chine s'y tient By Dennis Normile / Dennis writes about research and science policy developments in Asia, particularly China and Japan

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17 Novembre 2021

Le gouvernement veut renforcer l'immunité avant d'assouplir les contrôles

Article : Alors que la Chine est confrontée à sa troisième grande épidémie de COVID-19 cette année, le pays redouble d'efforts pour appliquer la stratégie "zéro COVID", qui consiste à effectuer des tests de masse, à rechercher les contacts et à endiguer l'épidémie, stratégie que nombre de ses voisins d'Asie-Pacifique ont abandonnée.

La flambée de la variante Delta, hautement infectieuse, avec plus de 1 000 cas signalés depuis la mi-octobre dans 21 des 34 provinces et régions du pays, a conduit la Chine à prendre des mesures extraordinaires. Les habitants de Pékin qui ont eu la malchance de se rendre dans ce qui est devenu des points chauds du COVID-19 se sont tout simplement vu interdire de rentrer chez eux. Le 31 octobre, après qu'un seul cas confirmé ait été lié au Disneyland de Shanghai, les autorités ont testé 34 000 visiteurs du parc avant de les autoriser à partir. Les tests ont duré jusqu'à près de minuit et n'ont donné que des résultats négatifs.

Ces difficultés logistiques, la lassitude croissante à l'égard des mesures de confinement et l'opposition grandissante de l'opinion publique ont conduit la Nouvelle-Zélande, Singapour et certaines parties de l'Australie à renoncer à la lutte contre le COVID, à ouvrir leurs économies et à accepter une augmentation du nombre de cas qui, bien que faible au regard des normes internationales, dépasse de loin tout ce qu'ils avaient connu auparavant. Mais la Chine a l'intention de maintenir le cap jusqu'à ce que les taux de vaccination - tant dans le pays qu'à l'étranger - soient si élevés que le SRAS-CoV-2 ne puisse faire que peu de dégâts.

Le coût actuel de l'adoption d'une politique de "transmission zéro" est effectivement élevé, mais il le serait encore plus si nous vivions avec [le virus] et si nous nous ouvrions", a déclaré Zhong Nanshan, spécialiste des maladies respiratoires à l'université de médecine de Guangzhou et principal conseiller chinois sur le COVID-19, dans une interview accordée début novembre à CGTN, une chaîne de télévision publique.

La stratégie d'endiguement de la Chine "a été un grand succès en termes de réduction du nombre d'infections et de décès dus au COVID-19", affirme Benjamin Cowling, épidémiologiste à l'Université de Hong Kong. La Chine n'a déclaré que * 127 018 cas de COVID-19 et 5697 décès, selon l'Organisation mondiale de la santé. Les États-Unis, dont la population représente environ un quart de celle de la Chine, ont enregistré 46,5 millions de cas et plus de 750 000 décès. Mais ce succès "a un prix élevé dans d'autres domaines", déclare Dale Fisher, spécialiste des maladies infectieuses à l'université nationale de Singapour, notamment en ce qui concerne le bilan économique et social. Il s'agit notamment des restrictions sévères imposées aux voyages internationaux : Le tourisme entrant est interdit, les visas d'entrée à d'autres fins sont difficiles à obtenir et les voyages à l'étranger pour les Chinois sont découragés.

Les experts extérieurs au pays sont divisés sur la question de savoir s'il est judicieux de poursuivre cette politique. Le virologue évolutionniste Edward Holmes, de l'université de Sydney, estime que la Chine ne fait que repousser l'inévitable. "Je pense que la politique zéro de la Chine est totalement insoutenable et mal conçue pour un virus qui va manifestement devenir endémique", déclare Holmes. Mais Nick Wilson, chercheur en santé publique à l'Université d'Otago, à Wellington, estime que le maintien de la politique du zéro COVID "pourrait bien être la meilleure stratégie, même à ce stade, si cela donne à la Chine le temps d'augmenter la couverture vaccinale, y compris chez les enfants, d'administrer davantage de doses de rappel et de permettre le développement de vaccins améliorés".

L'offre croissante de vaccins, le désir d'ouvrir les frontières et la difficulté d'éradiquer les épidémies de Delta ont conduit la Nouvelle-Zélande à passer d'une stratégie d'élimination à une stratégie de "suppression", explique Michael Baker, également spécialiste de la santé publique à Otago. Mais ce changement "implique des compromis complexes et une incertitude considérable", ajoute-t-il.

À l'heure actuelle, plus de 75 % des adultes chinois sont entièrement vaccinés, et même les enfants de 3 ans sont désormais vaccinés, selon Caixin Global, un site d'information basé en Chine. Cela est loin d'être suffisant pour tenir la variante Delta à distance ; même les pays où le taux de vaccination est supérieur à 85 %, comme Singapour, signalent un nombre important de nouvelles infections.


George Gao, directeur du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, prévoit que la Chine atteindra un taux de couverture de 85 % au début de l'année prochaine, mais affirme que "nous travaillons très dur" pour faire progresser ce taux. Des rappels seront effectués au cours du premier semestre de l'année prochaine, a déclaré M. Zhong à la CGTN, ce qui, selon lui, pourrait aider la Chine à atteindre l'immunité collective, une étape qui s'est avérée difficile à franchir ailleurs. Après cela, la Chine pourrait assouplir ses restrictions de voyage pour les pays ayant un taux de vaccination élevé, a déclaré M. Zhong, probablement d'ici la fin de 2022.

Mais les mesures de quarantaine pour les visiteurs resteront probablement en place, selon M. Cowling. Elles deviennent encore plus strictes. Guangzhou, une métropole en plein essor près de Hong Kong, vient d'achever la construction d'un établissement de 5000 chambres où les voyageurs entrants - même ceux qui sont vaccinés - devront passer 14 jours en quarantaine ; auparavant, ils séjournaient dans des hôtels dispersés dans la région. D'autres villes construisent ou prévoient des installations similaires. Les voyageurs étrangers qui arrivent dans la ville de Shenyang, dans le nord du pays, sont désormais soumis à un mois de quarantaine à l'hôtel, suivi d'un autre mois de confinement à domicile. Dans certaines villes, même les voyageurs nationaux en provenance de zones à haut risque sont soumis à des quarantaines.

En fin de compte, la vaccination pourrait ramener la mortalité due au COVID-19 au niveau de celle de la grippe saisonnière, que M. Zhong estime entre 0,1 et 0,5 % en Chine. À ce niveau, "nous pourrons peut-être nous en accommoder", a-t-il déclaré. Mais pas maintenant, a-t-il averti : "La Chine s'en tiendra encore longtemps à la politique de "zéro infection"."


* 'D "apres les statistiques du site Politologue qui est relatibement fiable

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Dernière édition:
Ce que je trouve surprenant dans toutes ces analyses c’est que n’est jamais soulevée la question de la durée de quarantaine. Quelle est la justification du 28j+28j de Shenyang quand la durée d’incubation est de 4-5j en moyenne, 14j étant déjà une limite haute?

Mon opinion est que c’est pour décourager les voyageurs et donc limiter le nombre d’arrivées, sinon ils faut des infrastructures très importantes pour gérer les quarantaines. Mais c’est jamais vraiment formulé, même par les analyses hors de Chine.
 
Le "zéro COVID" devient de plus en plus difficile à atteindre, mais la Chine s'y tient By Dennis Normile / Dennis writes about research and science policy developments in Asia, particularly China and Japan


17 Novembre 2021

Le gouvernement veut renforcer l'immunité avant d'assouplir les contrôles

Article : Alors que la Chine est confrontée à sa troisième grande épidémie de COVID-19 cette année, le pays redouble d'efforts pour appliquer la stratégie "zéro COVID", qui consiste à effectuer des tests de masse, à rechercher les contacts et à endiguer l'épidémie, stratégie que nombre de ses voisins d'Asie-Pacifique ont abandonnée.

La flambée de la variante Delta, hautement infectieuse, avec plus de 1 000 cas signalés depuis la mi-octobre dans 21 des 34 provinces et régions du pays, a conduit la Chine à prendre des mesures extraordinaires. Les habitants de Pékin qui ont eu la malchance de se rendre dans ce qui est devenu des points chauds du COVID-19 se sont tout simplement vu interdire de rentrer chez eux. Le 31 octobre, après qu'un seul cas confirmé ait été lié au Disneyland de Shanghai, les autorités ont testé 34 000 visiteurs du parc avant de les autoriser à partir. Les tests ont duré jusqu'à près de minuit et n'ont donné que des résultats négatifs.

Ces difficultés logistiques, la lassitude croissante à l'égard des mesures de confinement et l'opposition grandissante de l'opinion publique ont conduit la Nouvelle-Zélande, Singapour et certaines parties de l'Australie à renoncer à la lutte contre le COVID, à ouvrir leurs économies et à accepter une augmentation du nombre de cas qui, bien que faible au regard des normes internationales, dépasse de loin tout ce qu'ils avaient connu auparavant. Mais la Chine a l'intention de maintenir le cap jusqu'à ce que les taux de vaccination - tant dans le pays qu'à l'étranger - soient si élevés que le SRAS-CoV-2 ne puisse faire que peu de dégâts.

Le coût actuel de l'adoption d'une politique de "transmission zéro" est effectivement élevé, mais il le serait encore plus si nous vivions avec [le virus] et si nous nous ouvrions", a déclaré Zhong Nanshan, spécialiste des maladies respiratoires à l'université de médecine de Guangzhou et principal conseiller chinois sur le COVID-19, dans une interview accordée début novembre à CGTN, une chaîne de télévision publique.

La stratégie d'endiguement de la Chine "a été un grand succès en termes de réduction du nombre d'infections et de décès dus au COVID-19", affirme Benjamin Cowling, épidémiologiste à l'Université de Hong Kong. La Chine n'a déclaré que * 127 018 cas de COVID-19 et 5697 décès, selon l'Organisation mondiale de la santé. Les États-Unis, dont la population représente environ un quart de celle de la Chine, ont enregistré 46,5 millions de cas et plus de 750 000 décès. Mais ce succès "a un prix élevé dans d'autres domaines", déclare Dale Fisher, spécialiste des maladies infectieuses à l'université nationale de Singapour, notamment en ce qui concerne le bilan économique et social. Il s'agit notamment des restrictions sévères imposées aux voyages internationaux : Le tourisme entrant est interdit, les visas d'entrée à d'autres fins sont difficiles à obtenir et les voyages à l'étranger pour les Chinois sont découragés.

Les experts extérieurs au pays sont divisés sur la question de savoir s'il est judicieux de poursuivre cette politique. Le virologue évolutionniste Edward Holmes, de l'université de Sydney, estime que la Chine ne fait que repousser l'inévitable. "Je pense que la politique zéro de la Chine est totalement insoutenable et mal conçue pour un virus qui va manifestement devenir endémique", déclare Holmes. Mais Nick Wilson, chercheur en santé publique à l'Université d'Otago, à Wellington, estime que le maintien de la politique du zéro COVID "pourrait bien être la meilleure stratégie, même à ce stade, si cela donne à la Chine le temps d'augmenter la couverture vaccinale, y compris chez les enfants, d'administrer davantage de doses de rappel et de permettre le développement de vaccins améliorés".

L'offre croissante de vaccins, le désir d'ouvrir les frontières et la difficulté d'éradiquer les épidémies de Delta ont conduit la Nouvelle-Zélande à passer d'une stratégie d'élimination à une stratégie de "suppression", explique Michael Baker, également spécialiste de la santé publique à Otago. Mais ce changement "implique des compromis complexes et une incertitude considérable", ajoute-t-il.

À l'heure actuelle, plus de 75 % des adultes chinois sont entièrement vaccinés, et même les enfants de 3 ans sont désormais vaccinés, selon Caixin Global, un site d'information basé en Chine. Cela est loin d'être suffisant pour tenir la variante Delta à distance ; même les pays où le taux de vaccination est supérieur à 85 %, comme Singapour, signalent un nombre important de nouvelles infections.


George Gao, directeur du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, prévoit que la Chine atteindra un taux de couverture de 85 % au début de l'année prochaine, mais affirme que "nous travaillons très dur" pour faire progresser ce taux. Des rappels seront effectués au cours du premier semestre de l'année prochaine, a déclaré M. Zhong à la CGTN, ce qui, selon lui, pourrait aider la Chine à atteindre l'immunité collective, une étape qui s'est avérée difficile à franchir ailleurs. Après cela, la Chine pourrait assouplir ses restrictions de voyage pour les pays ayant un taux de vaccination élevé, a déclaré M. Zhong, probablement d'ici la fin de 2022.

Mais les mesures de quarantaine pour les visiteurs resteront probablement en place, selon M. Cowling. Elles deviennent encore plus strictes. Guangzhou, une métropole en plein essor près de Hong Kong, vient d'achever la construction d'un établissement de 5000 chambres où les voyageurs entrants - même ceux qui sont vaccinés - devront passer 14 jours en quarantaine ; auparavant, ils séjournaient dans des hôtels dispersés dans la région. D'autres villes construisent ou prévoient des installations similaires. Les voyageurs étrangers qui arrivent dans la ville de Shenyang, dans le nord du pays, sont désormais soumis à un mois de quarantaine à l'hôtel, suivi d'un autre mois de confinement à domicile. Dans certaines villes, même les voyageurs nationaux en provenance de zones à haut risque sont soumis à des quarantaines.

En fin de compte, la vaccination pourrait ramener la mortalité due au COVID-19 au niveau de celle de la grippe saisonnière, que M. Zhong estime entre 0,1 et 0,5 % en Chine. À ce niveau, "nous pourrons peut-être nous en accommoder", a-t-il déclaré. Mais pas maintenant, a-t-il averti : "La Chine s'en tiendra encore longtemps à la politique de "zéro infection"."


* 'D "apres les statistiques du site Politologue qui est relatibement fiable

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Cela ne fait que confirmer ce que l’on dit et entend depuis un moment, ce n’est pas demain la veille que la Chine rouvrira …
 
Cela ne fait que confirmer ce que l’on dit et entend depuis un moment, ce n’est pas demain la veille que la Chine rouvrira …

Enfin, apres 2 ans de reflexion. Moi je suis arrive a la meme conclusion des le premier jour.
 
Enfin, apres 2 ans de reflexion. Moi je suis arrive a la meme conclusion des le premier jour.

Tu sais lire le français ? Ou tu as juste des problèmes de compréhension ?

Je penche plus pour le syndrome dévastateur du "moi, je" ... Je compatis ...
 
Tout porte à croire à une ouverture potentiellement très lointaine :
- non délivrance de passeports à ses ressortissants,
- durcissement des quarantaines,
- constructions de centres de quarantaine : ce n’est pas du provisoire.
 
Tout porte à croire à une ouverture potentiellement très lointaine :
- non délivrance de passeports à ses ressortissants,
- durcissement des quarantaines,
- constructions de centres de quarantaine : ce n’est pas du provisoire.

Dans 4-5 ans je dirais. Le temps qu'on ai des vaccins plus efficaces, des traitements ad-hoc, et que la situation a l'etranger se soit amelioree.
 
Tout porte à croire à une ouverture potentiellement très lointaine :
- non délivrance de passeports à ses ressortissants,
- durcissement des quarantaines,
- constructions de centres de quarantaine : ce n’est pas du provisoire.
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Dans 4-5 ans je dirais. Le temps qu'on ai des vaccins plus efficaces, des traitements ad-hoc, et que la situation a l'etranger se soit amelioree.
pas sûr..........L'argent est le nerf de la guerre......
Le gouvernement chinois veut montrer que la Chine n'a pas besoin des méchants étrangers pour vivre...alors que la Chine est le premier importateur de denrées agricoles au monde et qu'elle achète des terres agricoles en France et dans le monde....Pas sûr qu'il faille attendre si longtemps........
 
Le gouvernement chinois veut montrer que la Chine n'a pas besoin des méchants étrangers pour vivre...alors que la Chine est le premier importateur de denrées agricoles au monde et qu'elle achète des terres agricoles en France et dans le monde....Pas sûr qu'il faille attendre si longtemps........
Quel lien entre l'importation de denrées alimentaires et le fait de faire tomber la politique 0 covid ou les quarantaines d'individus rentrant dans le pays ?
Tu sous traites la rédaction de tes posts à Madagascar ? ou c'est juste complètement emmêlé dans ton cerveau ?
 
Quel lien entre l'importation de denrées alimentaires et le fait de faire tomber la politique 0 covid ou les quarantaines d'individus rentrant dans le pays ?
Tu sous traites la rédaction de tes posts à Madagascar ? ou c'est juste complètement emmêlé dans ton cerveau ?
Bonsoir, ne faites pas semblant de ne pas avoir compris......
 
Tout porte à croire à une ouverture potentiellement très lointaine :
- non délivrance de passeports à ses ressortissants,
- durcissement des quarantaines,
- constructions de centres de quarantaine : ce n’est pas du provisoire.
Il est plus compliqué de renouveler son passeport chinois mais pas impossible, faut juste prouver pourquoi tu veux le renouveler.
 
Enfin, apres 2 ans de reflexion. Moi je suis arrive a la meme conclusion des le premier jour.
le premier jour des 2 ans de reflexions, ou le premier jour apres les 2 ans de réflexions. Dans le premier cas , il n'y avait pas de reflexion car la conclusion etait deja arrivée a terme, tu peux développer ?
 
Quel leadership ! Bravo Singapore ! N'en déplaise à certains...... j'espère que la Chine suivra....et que son vaccin à virus inactivé sera de plus en plus reconnu.

 

Fichiers joints

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Suivi hebdomadaire de Singapour qui a opte pour une strategie differente vs Hong Kong et son objectif zero covid ...
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Singapour n'ayant pas encore publie les statistiques du 18 , nous les editerons plus tard !
 
Dernière édition:
Quel leadership ! Bravo Singapore ! N'en déplaise à certains...... j'espère que la Chine suivra....et que son vaccin à virus inactivé sera de plus en plus reconnu.

Bravo à Singapore et ses 85% de vaccination 2 doses essentiellement ARNm Pfizer, et déjà 21% de 3e dose ARNm Pfizer. Quel leadership en effet.
Ravi de te voir te réjouir du succès de la vaccination de masse à ARNm, de la mise en place d'une 3e dose, et de motiver les gens à le faire par la mise en place d'un pass sanitaire pour accéder à certains lieux comme en France.


On te pensait critique sur la gestion française mais finalement ce que tu salues c'est exactement ce qui a été mis en place en France même si on a un peu moins de vaccinés (75%) et seulement 4.6m de 3e doses :)

Probable en effet que la Chine passe prochainement à des vaccins ARNm une fois en capacité de produire les milliards de doses nécessaires pour sa population (seulement 5.7m d'habitant à Singapore donc pas le même enjeu de production). Bonne nouvelle en tout cas de voir que tu renonces d'avance à gémir quand la vaccination ARNm sera rendue obligatoire en Chine pour toi et tes enfants par la mise en place d'un pass sanitaire similaire à Singapore.
 
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