Problème : plus il y a eu de cas réels à Wuhan et moins il est probable que les autres grandes villes chinoises aient pu échapper à l'épidémie.
Autre problème :
S'il l'écart entre le nombre de cas réels et le nombre de cas connus (ou publié, le problème est le même) est important et non constant, les taux de reproductions annoncés sont faux.
Il reste possible que cet écart (réel/connu) soit à peu près constant et que les taux de remproduction aient été exacts, mais alors le départ de la pandémie doit être fixé à une date antérieure (hypothèse qui est revenue très fréquement).
A une date antérieure, et pourquoi pas à une origine totalement différente si l'on prend en compte ces bizareries de Covid-19 trouvé dans des échantillons d'eaux usées prélevées bien avant la crise de Wuhan en Europe. On pourrait alors avoir eu un virus répandu sur toute la planète mais qui aurait été identifié comme pathogène à Wuhan fin 2019...
Que de brouillard au bout d'un an...
Autre problème :
S'il l'écart entre le nombre de cas réels et le nombre de cas connus (ou publié, le problème est le même) est important et non constant, les taux de reproductions annoncés sont faux.
Il reste possible que cet écart (réel/connu) soit à peu près constant et que les taux de remproduction aient été exacts, mais alors le départ de la pandémie doit être fixé à une date antérieure (hypothèse qui est revenue très fréquement).
A une date antérieure, et pourquoi pas à une origine totalement différente si l'on prend en compte ces bizareries de Covid-19 trouvé dans des échantillons d'eaux usées prélevées bien avant la crise de Wuhan en Europe. On pourrait alors avoir eu un virus répandu sur toute la planète mais qui aurait été identifié comme pathogène à Wuhan fin 2019...
Que de brouillard au bout d'un an...