Assassinat de l'ambassadeur US en Libye

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ah mais oui, suis-je bête, ils envoient un porte-avion, c'est pas pour balancer des missiles, c'est juste pour faire le plein d'essence!
 
En effet, tous les donateurs sont "juifs" disent tous les medias. Pourquoi pas juste donateurs anonymes tout court ?

Si ils sont vraiment anonymes, comment les medias peuvent le savoir? Ou meme si ils se declarent juifs sans donner leur nom, ca peut etre juste de la manipulation car pas verifiable, ah les medias...
 
Maintenant c'est au tour de l'Ambassade américaine à Sanaa, Yemen d'être prise pour cible par des manifestants ...
 
Les medias repetent ce qu ils entendent sans verifier... Ils sont a la botte du pouvoir, mais ca on sait.
Ce film, ce navet, ressemble de plus en plus en une manipulation.
Par les consequences que cette merde qui se veut etre un film, a eut, on devine aussi la legitimite de l armee americaine d etre fortmenet installee dans la region... Proche de la Syrie par exemple. Les jours de ces derniers sont comptes et dans un second temps, ceux de l Iran aussi, car de plus en plus esseule.
 
Responsables musulmans: calme requis

Les responsables musulmans de France ont appelé aujourd'hui les membres de leur communauté au "calme", alors que l'"effervescence" montait dans les mosquées après la diffusion d'un film jugé hostile à l'islam et l'attaque de Benghazi.

"Il est indigne de prétendre défendre la dignité de l'islam en portant atteinte à la vie de personnes innocentes", écrit le président du Conseil français du culte musulman (CFCM) Mohammed Moussaoui dans un communiqué.

De même, la Grande mosquée de Paris a appelé les musulmans de France "au calme et à la vigilance afin d'éviter cette provocation sciemment perpétrée contre l'Islam." "Il y a une effervescence certaine autour de cette affaire, j'espère qu'il n'y aura pas de manifestations en France", a déclaré le président de l'Observatoire contre l'islamophobie, Abdallah Zekri, qui se dit "inquiet" des répercussions en France. "Il suffirait d'un fanatique ou deux pour que ça dégénère", a-t-il ajouté.

Quatre Américains, dont l'ambassadeur des Etats-Unis en Libye, ont été tués le 11 septembre lors d'une attaque contre le consulat américain à Benghazi, dans l'est de la Libye.

L'attaque a eu lieu alors que des musulmans manifestaient contre un film jugé hostile à l'islam. Les protestations contre le film "Innocence of Muslims" ("L'innocence des musulmans") ont commencé à faire tâche d'huile avec des rassemblements devant les représentations américaines à Casablanca, Tunis, Khartoum, Sanaa et Téhéran.


Source:http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2...585-responsables-musulmans-appel-au-calme.php
 
Zones d'ombre et révélations d'une traque autour de Sam Bacile

Le Monde.fr | 13.09.2012

Lien retiré

Qui est donc le mystérieux réalisateur qui se cache derrière le brûlot anti-islamInnocence des musulmans ? Quels sont les acteurs et les groupes qui se cachent derrière la production et la diffusion du film ? Comment le film a-t-il fait son chemin jusqu'au monde arabe ? Ce film a-t-il jamais existé ? Heure après heure, les zones d'ombre et les révélations se multiplient sur la genèse du film qui a embrasé lundi le monde arabe. Les médias américains se sont lancés dans une traque pour retrouver le mystérieux Sam Bacile, celui qui s'était présenté mardi à la presse comme le réalisateur du film. Premiers éléments d'une enquête qui n'a pas encore révélé tous ses mystères...


  • Qui est le réalisateur ?

L'homme qui s'est présenté mardi au Wall Street Journal et à Associated Presscomme l'auteur, le réalisateur et le producteur du film anti-islam semble bien ne pas exister, du moins pas tel qu'il s'est présenté à la presse. L'homme s'est présenté sous le nom de Sam Bacile, un promoteur immobilier israélo-américain de 54 ans originaire du sud de la Californie. Dans la fiche technique du film apparaît le nom de Sam Bassiel, proche de celui du producteur supposé. Le nom du réalisateur est Alan Roberts. C'est sous le pseudonyme de Sam Bacile que le producteur s'est présenté à l'équipe du film. Cindy Lee Garcia, une actrice qui a joué dans le film, a déclaré jeudi à Reuters que le producteur du film, qu'elle appelle Sam Bassil, était un homme âgé, les cheveux grisonnants, avec un accent. Il l'a payée avec un chèque.

Dans un entretien au journal The Atlantic, Steve Klein, consultant sur le film, a reconnu que le réalisateur n'était pas israélien et Sam Bacile était un pseudonyme. L'homme a avoué ne pas connaître son vrai nom, ni ses origines, ne l'ayant rencontré qu'une seule fois pendant une heure. Sur Internet, aucune occurrence ne peut d'ailleurs être trouvée à ce nom avant la diffusion de la bande-annonce du film en arabe. Steve Klein a par ailleurs mis la presse sur une autre piste, celle de coptes égyptiens vivant aux Etats-Unis, en précisant que des membres de la famille de Bacile vivant en Egypte se cachaient désormais. C'est d'ailleurs la piste qui avait été privilégiée par les médias égyptiens quand la polémique autour du film a enflé en Egypte la semaine dernière.

L'agence AP a retrouvé mercredi soir la trace d'un copte d'origine égyptienne vivant dans la banlieue de Los Angeles, Nakoula Basseley Nakoula, qui a confirmé être le responsable de la société de production du film. Nakoula Basseley Nakoula, âgé de 55 ans, a nié être le producteur du film, tout en reconnaissant connaître Sam Bacile. Le numéro de téléphone par lequel AP avait contacté mardi Sam Bacile renvoie toutefois à la même adresse que M. Nakoula. Un journaliste de l'AFP qui s'est rendu sur place a trouvé que la porte d'entrée de la maison, ornée de deux fenêtres semi-circulaires aux motifs originaux, présentait une similitude flagrante avec une porte apparaissant dans plusieurs scènes du film, dont des extraits sont visibles sur Internet.

L'homme aurait déjà eu des problèmes avec la justice. Des documents judiciaires dont l'AFP a eu copie confirment que Nakoula Basseley Nakoula a été condamné à 21 mois de prison en 2010 pour escroquerie bancaire et qu'il résidait à Cerritos, dans la banlieue sud de Los Angeles. Dans le dossier judiciaire, il est indiqué que M. Nakoula a par le passé utilisé des pseudonymes, à l'instar de Nicola Bacily et Erwin Salameh.


  • Qui est Steve Klein ?

Steven Klein, un assureur de Hemet en Californie, se présente comme consultant et porte-parole de la production du film. Selon le groupe Southern Poverty Law Center, qui combat les extrémismes, Klein est un chrétien lié à des milieux d'extrême droite. Le site électronique Al-Monitor a retrouvé une biographie de l'homme dans un ouvrage qu'il a écrit en 2010 : Is Islam Compatible with The Constitution ? ("L'Islam est-il compatible avec la constitution ?"). Il s'y présente comme un vétéran de la guerre au Vietnam qui a utilisé ses contacts au sein de la diaspora copte comme traducteurs lorsqu'il parcourait les mosquées du sud de la Californie pour traquer les cellules terroristes. Dans un entretien de 2007, Steve Klein dit avoir fait de l'expertise pour le FBI et le corps des marines avec le groupe qu'il a créé, la Middle Eastern Experts' Team (MEET) et ses contacts au sein de la communauté copte.


  • Qui est Morris Sadek ?

L'agence AP aurait obtenu mardi le numéro de téléphone de Sam Bacile par le biais de Morris Sadek, un copte égypto-américain connu aux Etats-Unis pour ses positions anti-islam. M. Sadek est à la tête d'un petit groupe appelé "Lien retiré. Son implication dans la promotion du film a amené les médias à soupçonner l'implication de groupes coptes dans la production du film. De nombreux groupes de la communauté copte ont pris leur distance avec Morris Sadek et le film.


  • Qui a financé le film ?

A la presse américaine, Sam Bacile a affirmé qu'il avait reçu cinq millions de dollars d'une centaine de donateurs juifs pour réaliser le film. Une information qui serait infondée. Des médias américains ont par ailleurs mis en doute le fait que le film, dont seule une bande annonce de quatorze minutes a été diffusée, ait pu nécessiter autant de moyens. Pour certains, à l'instar du journal américainChristian Science Monitor, "il pourrait bien ne pas y avoir de film anti-islam du tout."


  • Des acteurs trompés sur le sujet du film ?

Mardi, Sam Bacile a déclaré avoir travaillé avec 60 acteurs et 45 techniciens sur le film. Mercredi, l'équipe du film a fait part de sa colère, dans un communiqué publié par le Los Angeles Times. "Tous les acteurs et toute l'équipe sont bouleversés et ont l'impression d'avoir été exploités par le producteur", écrivent-ils. "Nous sommes à 100 % contre ce film et avons été grossièrement trompés sur ses intentions et objectifs. (...) Nous sommes choqués par les réécritures radicales du scénario et les mensonges proférés à toutes les personnes impliquées", ajoute le communiqué. "Nous sommes profondément attristés par les tragédies" survenues en Libye et en Egypte.

Cindy Lee Garcia, une Américaine de Bakersfield en Californie, a dit avoir été trompée sur la véritable nature du film dans un entretien au site Internet Gawker. Elle a affirmé qu'elle ignorait que le film était une propagande anti-musulmane, ajoutant que des dialogues avaient été doublés après le tournage. Elle dit avoir répondu l'an dernier à une annonce pour un film intitulé Desert Warrior ("Le guerrier du désert") et présenté comme un film historique à petit budget se déroulant dans le désert d'Arabie. Dans la fiche de distribution retrouvée sur Backstage.com, aucun personnage n'est désigné sous le nom de Mahomet. L'actrice Cindy Lee Garcia, qui joue une femme dont la fille est proposée en mariage à Mahomet, a raconté que dans le film, le personnagequ'elle jouait était obligé dans une scène de remettre son enfant à un certain "Maître Georges". La fiche du film décrit ce "Maître Georges" comme un "dirigeant autoritaire" et un "tyran". En fait, ce personnage est censé représenter le prophète Mahomet dans la vidéo.

Le doublage est parfaitement visible sur les quatorze minutes du film diffusées sur le Web, où des mots sont grossièrement insérés au beau milieu de séquences. Cindy Lee Garcia a précisé que le film avait été tourné durant l'été 2011 à l'intérieur d'une église proche de Los Angeles. Les acteurs, qui étaient une cinquantaine, jouaient devant un "écran vert", sur lequel devaient être fixés plus tard les décors. Sur le blog Joemygod, un autre acteur du film raconte le tournage. Tim Dax, aisément reconnaissable dans le film à ses tatouages sur le crâne, joue occasionnellement dans des films de porno gay. "Mon personnage s'appelait Samson dans le dialogue de quelques lignes que je recevais chaque matin en arrivant sur le plateau. Nous n'avons jamais reçu de scénario et n'avons pu garder aucun dialogue après le tournage. Beaucoup de questions ont été posées sur l'absurdité des dialogues et des scènes. Dans la vidéo que j'ai vue aujourd'hui, il semble que ce ne soit pas ma voix", raconte-t-il.


  • La diffusion du film

Steven Klein a évoqué une tentative de projeter le film dans un cinéma du sud de la Californie, avec un titre légèrement différent, mais une demi-heure après le début de la projection aucun billet n'avait été vendu. La version en anglais de la bande-annonce a été postée pour la première fois sur YouTube le 1[SUP]er[/SUP] juillet 2012 par une personne utilisant le pseudonyme "sambacile", rapporte la BBC. La vidéo en anglais n'a pas vraiment fait le buzz sur la Toile. En revanche, la vidéo a été traduite en dialecte égyptien et diffusée deux fois sur YouTube dans les jours qui ont précédé le 11 septembre, s'attirant plus d'un million de vues. Les chaînes de télévision égyptiennes ont largement polémiqué autour de cette vidéo avant que n'éclatent les violences. La vidéo a également fait l'objet d'une promotion par des représentants de la diaspora copte aux Etats-Unis et par le très controversépasteur Terry Jones.





 
[h=1]Sur internet, des Libyens demandent "pardon"[/h]Créé le 13-09-2012 à 17h09 - Mis à jour à 17h15
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Par Lien retiré




[h=2]Plusieurs comptes Facebook font circuler des photos de manifestations de Libyens condamnant les violences.[/h]Mots-clés : violences, Ambassade, islam, chris Stevens



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Lors d'une manifestation à Tripoli (Martyr SQ Media)

Après la mort de l’ambassadeur américain à Benghazi, et alors que les manifestations contre le brûlot anti-islam se multiplient au Yémen ou encore en Irak, de nombreuses photos de Libyen demandant "pardon" circulaient, jeudi 13 septembre, sur les réseaux sociaux.
Plusieurs manifestations auraient en effet été organisées mercredi et jeudi en Libye pour dénoncer le terrorisme et rendre hommage à Chris Stevens, l’ambassadeur américain tué dans l’attaque de Benghazi.
Des clichés de ces défilés ont été compilés sur le compte Facebook "The Sorry Project" ("Le projet pardon"), créé par un groupe intitulé "Les Libyens contre le terrorisme". Le compte de photographes "Martyres square media" a, lui aussi, mis en ligne plusieurs albums photos de manifestations "contre l’extrémisme" dont l’une ayant eu lieu ce jeudi à Tripoli.
Si ces images sont abondamment reprises su les réseaux sociaux, il est cependant impossible de connaître le nombre de manifestants ayant participé à ces rassemblement, ni de savoir à quel point ces derniers sont représentatifs de l’opinion publique.

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Un manifestant à Tripoli (DR)

 
Paris : manifestation devant l'ambassade américaine

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Environ 150 personnes, présentées comme proches des salafistes et soupçonnées d'avoir pris part à un rassemblement non-déclaré, ont été interpellées. Quelques policiers ont été légèrement blessés.

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Alors que des manifestations anti-américaines, parfois meurtrières, se multiplient à travers le monde musulman, environ 150 personnes ont été interpellées à Paris, soupçonnées d'avoir participées à un rassemblement non déclaré près de l'ambassade américaine et du ministère de l'Intérieur. L'un des manifestants, disant simplement s'appeler Mohamed, a affirmé sur BFM-TV que les manifestants dénonçaient, comme dans le monde arabe, le film américain «Innocence of Muslims» (»L'innocence des musulmans»), qui tourne en ridicule Mahomet, le prophète de l'islam.

Parmi les manifestants, de nombreux hommes, dont certains habillés à la mode salafiste, mais aussi des jeunes vêtus de manière plus classique, venus car, explique l'un d'eux, Suleimane, 24 ans, ils n'acceptent pas que le «Prophète soit tourné en dérision». Selon une source policière, des appels à manifester avaient été repérés dans la journée sur les réseaux sociaux, certains avec une «tonalité salafiste». La manifestation non déclarée, qui a réuni plus de 200 personnes selon la Préfecture de police, a débuté en milieu d'après-midi.

Selon une source policière citée par l'AFP, les manifestants «se sont heurtés aux forces de police». «Ils ont été maintenus au niveau des Tuileries. Des petits groupes se sont ensuite éclatés», a indiqué une autre source policière. Ils ont alors contourné l'ambassade des États-Unis et certains des manifestants se sont dirigés vers la place Beauvau, non loin de là, où d'importantes forces de police étaient présentes, notamment en raison des Journées du patrimoine.

«Un rassemblement marginal», selon le CFCM


La police a procédé à une centaine d'interpellations au total, en majorité des hommes, qui ont été conduits dans divers commissariats parisiens pour vérification d'identité. Un ou deux manifestants ont été placés en garde à vue pour outrage et violences sur des fonctionnaires, a ajouté une source judiciaire. Quatre policiers ont été légèrement blessés. Les manifestations dans ce quartier sont rarissimes. La question de savoir s'il y a eu manquement au niveau du renseignement a été posée par des sources policières, mais reste à confirmer.

En fin d'après-midi, de nombreux CRS et gendarmes mobiles empêchaient toujours de circuler aux abords de l'ambassade américaine. Un groupe de quelques dizaines de manifestants restaient d'autre part encerclés par les forces de l'ordre près de la place de la Concorde. «On est venu pour redorer le blason de Mahomet. On est dans la liberté d'expression, on voulait marcher comme Gandhi. On demande un minimum de respect», a expliqué Abdelnour Karzaï, 23 ans, originaire de banlieue parisienne, évoquant une manifestation «pacifique».

Le président du Conseil français du Culte musulman (CFCM) Mohamed Moussaoui a déploré cette manifestation, ajoutant qu'elle n'était pas représentative de l'opinion des musulmans de France. «Nous déplorons que cette manifestation ait eu lieu, surtout s'il y a eu usage de violence contre les forces de l'ordre» mais «il ne faut pas associer l'ensemble des musulmans de France à des événements marginaux comme celui-ci», a-t-il commenté. Le recteur de la mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, qui s'exprimait sur I-Télé, a lui jugé «assez grave» que des salafistes aient «réussi à mobiliser quelques centaines de personnes» à Paris.

Source:http://www.lefigaro.fr/actualite-fr...nifestation-devant-l-ambassade-americaine.php
 
Dernière édition:
heureusement que pour la sortie du film (la passion du crhist)que les cretiens ne fasse de meme.le monde musulman fait respecter sa religion!!!bien sur dans cette histiore les tuerie sont a deplorees .
 
Premières manifestations violentes en Indonésie et Afghanistan..

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Aux cris de «Mort à l'Amérique» des centaines de protestataires Afghans se sont rassemblés dans les rues de Kaboul, le 17 septembre 2012.
(Photo Omar Sobhani. REUTERS)

L'article ici :Lien retiré



 
Film anti-islam: heurts au Cachemire

[h=2]Des heurts ont éclaté au Cachemire indien entre des centaines de manifestants musulmans et les forces de l'ordre lors de manifestations contre un film anti-islam réalisé aux Etats-Unis. Les heurts se sont notamment produits à Srinagar, la principale ville de cette région à majorité musulmane, lorsqu'un groupe d'environ 300 manifestants voulant rejoindre un bureau local des Nations-Unies a été stoppé par la police.

Les manifestants ont jeté des pierres sur la police et brûlé l'un de leurs véhicules tandis que les forces de sécurité ont tiré des salves de gaz lacrymogène pour les maintenir en retrait. Lors d'autres manifestations dans la périphérie de Srinagar, des groupes de jeunes hommes ont scandé des slogans anti-américains et brûlé des drapeaux israéliens et américains ainsi que des effigies du président des Etats-Unis, Barack Obama.

Les commerces et bureaux étaient fermés mardi dans cette région himalayenne du nord de l'Inde en réponse à un appel à la grève pour protester contre "Innocence of Muslims", un film amateur à petit budget dénigrant le prophète Mahomet. L'Inde, qui compte environ 150 millions de musulmans, a condamné le film, le qualifiant d'"insultant".
[/h]Source:http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2...8FILWWW00410-film-des-heurts-au-cachemire.php
 
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