Devant la nomination quasi certaine de Donald Trump à l'investiture républicaine, Pékin manifeste ses inquiétudes face à un énième discours antichinois du candidat à la Maison-Blanche.
Extrait: La messe semble être dite. Mardi, Donald Trump a remporté haut la main la primaire de l'Indiana, en éliminant son dernier rival de taille, Ted Cruz. Une victoire cruciale qui l'a propulsé vers l'investiture républicaine. Et qui n'a pas laissé Pékin indifférent.
Le candidat populiste a fait monter d'un cran son discours antichinois. «Nous ne pouvons plus continuer de laisser la Chine violer notre pays. C'est ce qu'il est en train de faire. C'est le plus grand vol de l'histoire du monde», a-t-il martelé lors d'un meeting dimanche à Fort Wayne (Indiana).
Depuis le début de la course présidentielle, Donald Trump s'était déjà démarqué de ses adversaires par des critiques virulentes à l'encontre de Pékin. Selon lui, la Chine «vole les emplois aux États-Unis et lui a déclaré une guerre économique». Le milliardaire a même proposé de taxer les produits importés de Chine à 45%. Une mesure pour réduire le déficit commercial dont les États-Unis ont toujours été la victime.
Suitedel'article >>>
Source: LE FIGARO
Dernière édition: